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europe - Page 6

  • Poutine prédit un changement des élites en Europe

    Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2022

    Auteur : 
     

    Les médias russes rapportent des propos de Vladimir Poutine estimant que la situation en Europe conduira à un changement des élites.

    « Les procédures démocratiques, les élections dans cette même Europe – parfois on regarde quelles forces arrivent au pouvoir. Et tout cela ressemble à un filtre, car les autorités sont remplacées par des partis politiques similaires, qui leur ressemblent comme des jumeaux. Cependant, tout reste pareil. Les véritables intérêts des citoyens et des entreprises nationales sont repoussées de plus en plus vers l’arrière-cour, vers la périphérie. Une telle séparation d’avec la réalité, conduira inévitablement à une montée du populisme, à la croissance de mouvements radicaux extrêmes, à de graves changements socio-économiques, à la dégradation et, dans un avenir proche, à un changement des élites », a déclaré Poutine.

    Source : Ria.ru (17 juin 2022)

  • Georges Soros a-t-il tenté de manipuler les élections dans plusieurs pays d’Europe comme l’affirme Russia Today ?

    Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2022

    Posté par Eric Martin  Il y a 3 heures

    Georges Soros a-t-il tenté de manipuler les élections dans plusieurs pays d’Europe comme l’affirme Russia Today ?

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1520754946219687938

     

     

  • Ursula von der Leyen veut faire entrer l’Ukraine dans l’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2022

    Antoine de Lacoste

    Illustration gratuite: Ukraine, La Crimée, La Carte ...

    Non élue et non mandatée par l’Europe pour l’élargir, la sémillante présidente de la Commission européen ne doute de rien et ose tout.

    En visite à Kiev, elle a solennellement remis au président Zelenski un questionnaire, prélude à une prochaine adhésion. Symboliquement établi aux couleurs de l’Europe et de l’Ukraine, ce sésame a ravi le chef de guerre ukrainien, héros démocrate acclamé debout par tous les députés occidentaux. Gare à celui qui ne se lève pas, cela lui coûtera cher. On se croirait à une séance du Soviet suprême de la grande époque.

    europe,ukraineCette unanimité, que l’on dit mondiale mais qui n’est qu’occidentale, entraîne un cortège de folies. Celle de la présidente de la commission en est la manifestation la plus aboutie.

    Se rend-elle compte de l’état économique de l’Ukraine, avant même la guerre ? De son niveau de corruption endémique depuis son indépendance ? Zelenski lui-même est gravement compromis dans l’affaire des Pandora papers. Ces documents le mettant en cause furent abondamment commentés en Ukraine l’automne dernier. Depuis, le silence est d’or.

    « Ce ne sera pas, comme d’ordinaire, une question d’années pour se faire une opinion, mais je pense une question de semaines. » a déclaré la présidente, symbole accablant de la dictature de l’émotion, annihilant toute réflexion.

    Cette initiative très personnelle n’est cependant pas goutée partout. Ainsi le Frankfurter Allgemeine Zeitung a rappelé qu’une majorité de chefs d’Etat et de gouvernements s’est récemment prononcée contre une adhésion accélérée de l’Ukraine. Ce serait en effet une folie économique. Rappelons-nous du cas grec, qui concernait pourtant un pays beaucoup plus petit et moins pauvre que l’Ukraine dont le niveau de vie est très inférieur à tous les autres pays européens.

    Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.

    L’hystérie actuelle n’épargne que peu de monde. Le premier ministre slovaque vient d’offrir à l’Ukraine son système de défense anti-missile tandis que Joseph Borrell annonce une aide supplémentaire de 500 millions d’euros pour l’achat d’armes. Cela fera 1,5 milliards d’euros depuis le début de la guerre, rappelle Le Courrier international.

    Que cherche-t-on ? A prolonger la guerre ? Accessoirement, qui va payer ? Nous, bien sûr.

    Côté sanctions, les initiatives les plus saugrenues se multiplient. Il est impossible de se passer du gaz russe, tout le monde le sait et pourtant on fait comme si. Seule l’Allemagne est plus prudente : il pourrait faire froid l’hiver prochain…

    Il est fascinant de voir comment les Européens se ruent sur des sanctions qui les pénaliseront eux-mêmes. Les Américains n’ont même plus besoin d’ordonner, leurs désirs sont devancés. Et quand Zelenski cite nommément des entreprises françaises exigeant leur départ de Russie, nos députés applaudissent debout. Belle défense de l’intérêt national.

    Cela n’empêche pas les Américains d’assouplir les sanctions quand cela les arrange, comme pour les engrais russes dont ils ont besoin.

    La cerise sur le gâteau étant la livraison de gaz russe passant toujours par l’Ukraine qui continue à percevoir de la Russie de substantiels émoluments pour ce droit de passage, comme l’a récemment rappelé le courageux journaliste Vincent Hervouet.

    Zelenski exige de l’Europe qu’elle coupe le robinet du gaz russe. Qu’il commence donc par donner l’exemple.

     

    Source : lafautearousseau

  • Les alternatives américaines au gaz russe à destination des Européens

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2022

    By rfi.fr 2 min View Original

    Une installation de gaz naturel liquéfié. La part du gaz américain dans les importations européennes est en augmentation constante depuis quelques mois. © Getty Images/Philipp Berezhnoy
    Une installation de gaz naturel liquéfié. La part du gaz américain dans les importations européennes est en augmentation constante depuis quelques mois. © Getty Images/Philipp Berezhnoy

     

    De notre correspondant à Washington,

    C’était il y a plusieurs semaines, en dévoilant un arsenal de possibles sanctions contre la Russie en cas d’invasion de l’Ukraine, un haut responsable américain annonçait, sans pouvoir apporter plus de précisions, qu’un travail avait été lancé avec des entreprises et des pays concernés pour compenser une réduction possible des exportations de gaz russe vers l’Europe.

    Quelques heures plus tard, la Maison Blanche annonçait que l’émir du Qatar, l’un des plus gros producteurs, détenteur des plus importantes réserves du monde, serait reçu à la Maison Blanche. Sauf qu’à son arrivée dans le bureau ovale, le Cheikh al-Thani n’a strictement rien dit sur des exportations à destination de l’Europe. Et pour cause, le Qatar est déjà pratiquement à sa capacité maximale de production et il doit honorer des contrats anciens avec des clients asiatiques.

    Le Qatar n’a donc pas beaucoup de marges de manœuvre pour fournir les Européens, en manque de gaz pour la deuxième partie de l’hiver. Et pourtant, il arrive que dans ce secteur, des méthaniers changent de destination au milieu de l’océan pour se dérouter vers des acheteurs plus offrants. C’est ce qui est arrivé quelques jours plus tard quand le Japon, un pays qui n’est pourtant pas producteur de gaz a annoncé qu’il revendait en Europe certaines de ses importations prévues. Précision, il s’agit d’une revente au prix du marché d’un gaz naturel liquéfié acheté avant la flambée des prix, autrement dit avec un bénéfice à la clé.

    Cette flambée des prix, un pays compte aussi en profiter. Il s’agit des États-Unis, plus important producteur de gaz au monde. Avec les menaces sur le robinet russe, on parle beaucoup moins en Europe, des dégâts causés à l’environnement par le mode de production américain, la fracturation hydraulique. La part du gaz naturel liquéfié américain dans les importations européennes est en augmentation constante depuis quelques mois et la tendance ne devrait pas s’inverser si l’arme gazière est utilisée dans le conflit russo-ukrainien.

    source

  • «Si vous avez une expérience du combat vous pouvez venir dans notre pays pour défendre l’Europe.» Le président ukrainien demande à ce que «tout» soit mis «sur la table» afin d’arrêter la Russie.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2022

    Le président ukrainien demande à ce que «tout» soit mis «sur la table» afin d’arrêter la Russie. «C’est une menace pour nous tous, toute l’Europe», a-t-il ajouté.

    (…)

    Volodymyr Zelensky a également invité les Européens ayant une expérience du combat à se rendre en Ukraine pour repousser l’invasion de l’armée russe : «Si vous avez une expérience du combat (…) vous pouvez venir dans notre pays pour défendre l’Europe».

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