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Le Préfet de Police, sur ordre du ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin, veut interdire à Paris, par arrêté, un événement culturel organisé par l’Institut Iliade.
L'Iliade défend la civilisation des libertés, la civilisation européenne, et attend la réponse du tribunal administratif saisi afin de faire valoir ses droits et les libertés publiques.
Consacré à Dominique Venner, écrivain et historien, mais aussi éveilleur, qui n’a cessé de mettre en garde la population des « périls immenses pour notre patrie française et européenne » à venir, ce moment d’hommage à une personnalité reconnue est prévu aujourd’hui 21 mai à 15 heures, Pavillon Wagram à Paris.
L’Institut Iliade, organisme de formation de la jeunesse qui œuvre à une meilleure connaissance de l’histoire, des valeurs et de la culture de la civilisation européenne, fait sienne la devise de Guillaume d’Orange, « nous maintiendrons ».
La population de l’Union européenne devrait amorcer son recul à partir de 2026, prévoit Eurostat.
La population de l’Union européenne devrait atteindre son point culminant en 2026, avant d’entamer un déclin progressif. D’après des données d’Eurostat, la population devrait passer de 446,7 millions en 2022 à 453,2 millions en 2026 (+1,5 %), avant de lentement décroître. A l’horizon 2050, elle devrait retomber à 447,9 millions.
Alors que la barre des 8 milliards d’habitants sur Terre a été dépassée fin 2022, le démographe Laurent Toulemon, directeur de recherche à l’Institut national d’études démographiques (INED) constate :
« En Europe, on constate une stabilisation, voire une baisse modérée de la population sur le temps long. La part de la population européenne dans la population mondiale va connaître une forte baisse, notamment car l’Afrique va voir sa population presque tripler au XXIe siècle ».
Pas d’enfant, pas de retraite. Et comme la nature a horreur du vide, que croyez-vous qu’il va se passer ?
La pollution de l’air tue 1200 enfants par an en Europe et l’avortement 970 300 enfants par an en Europe.
Le Figaro et l’AFP de ce jour, 24 avril 2023, nous alertent de façon dramatique- avec un titre accrocheur à faire peur à toutes les mamans de France et de Navarre – en écrivant « La pollution de l’air tue encore 1200 enfants par an en Europe ».
Et d’en rajouter dans l’angoisse qui devrait tous nous saisir : « La pollution de l’air cause plus de 1200 décès prématurés par an chez les moins de 18 ans en Europe et augmente significativement le risque de maladie plus tard au cours de leur vie ».
Selon un autre rapport publié par l’AEE en novembre, au moins 238.000 personnes – tous âges confondus – sont mortes prématurément en 2020 en Europe à cause de la pollution de l’air dans les pays membres de l’agence (Union européenne, Turquie, Norvège, Suisse, Islande et Liechtenstein).
Nous comprenons que tous ces « morts européens prématurés » posent un cas de conscience à nos confrères du Figaro qui demandent « d’établir des limites plus contraignantes pour les principaux polluants de l’air ».
Mais, nous permettent-ils d’évoquer, même de façon furtive, le bilan annuel des 223 300 petits innocents (1) qui n’ont même pas la chance d’être comptabilisés comme « décès prématurés » puisqu’ils ont été assassinés dans le ventre de leur maman avant de naître ?
Et ce n’est que le chiffre « officiel » des avortements pour la France ! Lorsque l’on comptabilise les chiffres « officiels » pour l’Europe, nous atteignons le nombre terrible de 970 300 bébés empêchés de naître chaque année.
Comparés aux « 1 200 enfants morts par an en Europe à cause de la pollution de l’air », on peut tristement constater que la priorité de certains n’est pas proportionnellement ni directement liée à la réalité des chiffres, mais à l’idéologie dominante. C’est ce qu’a très bien exprimé notre confrère Gilles Colroy dans son éditorial sobrement intitulé “Le permis de tuer“.
Quant à ceux, les mêmes, qui prônent un recours massive à l’immigration pour pallier le manque de naissances en Europe, nous les renvoyons sèchement à leurs contradictions de masochistes consentants !
Paul DEROGIS
(1) Chiffres officiels des avortements « officiels » selon l’étude de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) publiée mardi 27 septembre 2022 : « en 2021, 223 300 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, soit un volume stable par rapport à 2020. »
En 2022, la France a enregistré beaucoup plus de cas importés de l’étranger.
C’est une maladie qu’on pourrait croire disparue, et pourtant : l’année 2022 s’est distinguée par une vague sans précédent de cas importés de diphtérie, en France mais aussi dans plusieurs pays d’Europe. La diphtérie due à la bactérie Corynebacterium diphtheriae est une maladie hautement contagieuse qui se transmet d’homme à homme, par la salive, les plaies cutanées et bien plus rarement par le biais d’objets souillés par les sécrétions des malades. Principale manifestation : une angine qui peut se compliquer d’atteintes cardiaques ou neurologiques et entraîner le décès.
(…)
Les causes de cette vague subite (mais désormais terminée en France) ne sont pas vraiment connues mais les experts supposent que le phénomène est lié à une mauvaise couverture vaccinale dans les pays dont sont originaire les malades (des hommes d’une vingtaine d’années pour la plupart) : essentiellement l’Afghanistan et la Syrie, déstabilisés par des années de conflits. «Le vaccin protège contre la maladie mais pas contre le portage asymptomatique de la bactérie: celle-ci continue donc à circuler. Et quand la couverture vaccinale de la population recule, on assiste à des réémergences de cas», explique le Dr Brisse.
C’est une situation ubuesque pour l’une des principales puissances agricoles mondiales. Un peu plus de 11,5 millions de tonnes de céréales sont concernées par une décision administrative.À partir du 25 avril, la France ne pourra plus exporter sa production céréalière en dehors d’Europe.
À cette date, l’utilisation de phosphine, un insecticide, sera, en effet, interdite en France pour traiter les cargaisons de céréales dans les cales des bateaux. Or la fumigation de ce produit, utilisé en tablettes, est obligatoire dans de nombreux pays clients de l’Hexagone. Elle permet d’empêcher la propagation d’insectes d’un pays à l’autre. Sans cela, pas de certificat de traitement à l’arrivée au port.
La décision remonte à fin octobre 2022. Elle a été prise par l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire française (Anses). C’est une spécificité française, l’autorisation d’utilisation de la phosphine ayant été renouvelée ces derniers mois dans la plupart des pays européens voisins.