Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

europe - Page 2

  • Vague inédite de cas de diphtérie en Europe : elle serait la conséquence de la mauvaise couverture vaccinale en Syrie et en Afghanistan

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2023

    En 2022, la France a enregistré beaucoup plus de cas importés de l’étranger.

    C’est une maladie qu’on pourrait croire disparue, et pourtant : l’année 2022 s’est distinguée par une vague sans précédent de cas importés de diphtérie, en France mais aussi dans plusieurs pays d’Europe. La diphtérie due à la bactérie Corynebacterium diphtheriae est une maladie hautement contagieuse qui se transmet d’homme à homme, par la salive, les plaies cutanées et bien plus rarement par le biais d’objets souillés par les sécrétions des malades. Principale manifestation : une angine qui peut se compliquer d’atteintes cardiaques ou neurologiques et entraîner le décès.

    (…)

    Les causes de cette vague subite (mais désormais terminée en France) ne sont pas vraiment connues mais les experts supposent que le phénomène est lié à une mauvaise couverture vaccinale dans les pays dont sont originaire les malades (des hommes d’une vingtaine d’années pour la plupart) : essentiellement l’Afghanistan et la Syrie, déstabilisés par des années de conflits. « Le vaccin protège contre la maladie mais pas contre le portage asymptomatique de la bactérie : celle-ci continue donc à circuler. Et quand la couverture vaccinale de la population recule, on assiste à des réémergences de cas », explique le Dr Brisse.

    sante.lefigaro.fr via fdesouche

  • A partir du 25 avril, la France interdite par sa règlementation d’exporter des céréales hors Europe

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    C’est une situation ubuesque pour l’une des principales puissances agricoles mondiales. Un peu plus de 11,5 millions de tonnes de céréales sont concernées par une décision administrative. À partir du 25 avril, la France ne pourra plus exporter sa production céréalière en dehors d’Europe.

    À cette date, l’utilisation de phosphine, un insecticide, sera, en effet, interdite en France pour traiter les cargaisons de céréales dans les cales des bateaux. Or la fumigation de ce produit, utilisé en tablettes, est obligatoire dans de nombreux pays clients de l’Hexagone. Elle permet d’empêcher la propagation d’insectes d’un pays à l’autre. Sans cela, pas de certificat de traitement à l’arrivée au port. 

    La décision remonte à fin octobre 2022. Elle a été prise par l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentaire française (Anses). C’est une spécificité française, l’autorisation d’utilisation de la phosphine ayant été renouvelée ces derniers mois dans la plupart des pays européens voisins.

    Le Figaro via fdesouche

  • Black-out total en Europe sur le scandaleux sabotage de Nord Stream par l’Amérique !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023

    Marc RoussetLe nucléaire, seule énergie d’avenir pour la France ! Le scandale de la ...

    Avant de tirer les conclusions géopolitiques sur « l’acte de guerre » commis par Biden contre les intérêts stratégiques et économiques de l’Europe, il importe de relater les principaux faits ahurissants, selon la très longue chronique «  Comment l’Amérique a détruit le gazoduc Nord Stream », écrite le 8 février 2023 par le journaliste américain Seymour Hersh dans le Scheerpost.

    En juin 2022 des plongeurs de la Marine américaine de la base de Panama en Floride, opérant sous le couvert d’un exercice de l’OTAN très médiatisé, connu sous le nom de « Baltops 22 », ont posé des explosifs déclenchables à distance à 260 pieds sous la surface de la mer Baltique qui, trois mois plus tard, ont détruit trois des 4 tuyaux des gazoducs Nord Stream 1 et 2.

    L’administration Biden a fait tout son possible pour éviter des fuites, tout au long de la planification qui s’est étendue de fin 2021 aux premiers mois de 2022, donc bien avant le déclenchement de l’opération militaire spéciale Z le 24 février 2022. Tant que l’Europe restait dépendante des gazoducs russes pour le gaz naturel, écologique et bon marché, Washington craignait que des pays comme l’Allemagne soient réticents pour fournir à l’Ukraine les armes et l’argent dont elle avait besoin, afin de vaincre la Russie, dans une guerre à venir préparée en fait depuis 2014 par l’Amérique, après le coup d’État de Maïdan par la CIA.

    Dès décembre 2021, Biden a autorisé le Secrétaire d’État Jake Sullivan à réunir un groupe de travail interarmées pour élaborer un plan de sabotage des gazoducs. Ont participé également à l’élaboration de ce plan entre autres le Directeur de la CIA William Burns, Victoria Nuland et Anthony Blinken.

    Dès le 7 février 2022, soit moins de trois semaines avant l’invasion russe, lors de la visite du chancelier Scholz à Washington, Biden déclarait en sa présence : « Si la Russie envahit… il n’y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons fin ». Vingt jours plus tôt, la sous-secrétaire Nuland avait livré le même message lors d’une réunion du département d’État en comité restreint : « Je veux être très claire avec vous aujourd’hui »  a -t-elle déclaré en réponse à une question : « Si la Russie envahit l’Ukraine, d’une manière ou d’une autre, il n’y aura plus de Nord Stream II. Nous y mettrons fin.

    Ceux qui préparaient la mission ont été consternés par ces révélations folles avant même que le plan soit exécuté. La source du journaliste Seymour Hersh a pu même dire : « C’était comme poser une bombe atomique sur le sol à Tokyo et dire aux Japonais que nous allons la faire exploser ». Mais l’avantage pour la CIA fut de ne plus avoir l’obligation légale de signaler l’opération au Congrès car elle n’était plus secrète, selon la loi américaine.
    La Norvège était le pays idéal pour organiser la mission car les États-Unis y ont beaucoup investi dans de nombreuses bases navales et aériennes. La marine norvégienne n’a pas tardé à trouver le bon endroit dans les eaux peu profondes (200 pieds) à quelques milles de l’île danoise de Bornholm. De plus, en cas de destruction des gazoducs, la Norvège pourrait vendre encore davantage de gaz à l’UE, à un prix encore plus élevé…

    Ce sont donc des plongeurs militaires américains de la base Panama en Floride qui, à partir d’un chasseur de mines norvégien, ont placé des charges C4, avec une minuterie déclenchable à distance, pour les quatre gazoducs, dans des cocons en béton. Les charges ont été déposées, en juin 2022, lors des exercices navals « Baltes 22 « de l’OTAN qui impliquent chaque année, depuis 21 ans, des dizaines de navires de la sixième flotte américaine basée à Gaeta, en Italie, au sud de Rome.

    Les charges C4 attachées aux gazoducs ont été déclenchées le 26 septembre 2022 par une bouée sonar. La bouée a été larguée par un avion de surveillance maritime P8 de la marine norvégienne qui effectuait un vol apparemment de routine. Le signal s’est propagé sous l’eau vers les deux gazoducs et quelques heures plus tard, en raison de l’explosion, trois des quatre tuyaux ont été mis hors service.

    Les médias américains ont traité l’attentat comme un mystère impossible à résoudre, la Russie étant le coupable probable, sans jamais indiquer un motif clair. Interrogé lors d’une conférence de presse en septembre 2022, le secrétaire d’État Blinken a déclaré : « C’est une formidable opportunité de supprimer une fois pour toutes la dépendance vis-à-vis de l’énergie russe et ainsi d’enlever à Vladimir Poutine la militarisation de l’énergie comme moyen de faire avancer ses desseins impériaux. C’est très important et cela offre une formidable opportunité stratégique pour les années à venir, mais en attendant, nous sommes déterminés à faire tout notre possible pour nous assurer que les conséquences de tout cela ne soient pas supportées par les citoyens de nos pays ou d’ailleurs, autour du monde ».

    Blinken a simplement oublié de préciser que les Européens imbéciles remplaçaient en fait la dépendance stratégique russe par la dépendance stratégique américaine, avec un gaz de schiste liquéfié américain non écologique, hors de prix, transporté par des méthaniers pollueurs, avec des usines polluantes de liquéfaction et de regazéification . Le gaz russe très bon marché et transporté dans des gazoducs écologiques assurait, lui, la compétitivité des industries européennes qui sont maintenant incitées à délocaliser leur production aux États-Unis, avec en prime la destruction supplémentaire d’emplois industriels bien rémunérés, déjà en voie de disparition en Europe ! Merci ami Biden pour ce coup de poignard dans le dos !

    Quant à Victoria Nuland, lors d’un témoignage devant la commission des relations étrangères du Sénat, elle a pu déclarer, fin janvier 2023 , au sénateur américain Ted Cruz : « Comme vous, je suis, et je pense que l’administration est très heureuse de savoir que Nord Stream 2 est maintenant, comme vous aimez le dire, un morceau de métal au fond de la mer. »

    L’Amérique de Joe Biden a donc fait preuve d’un cynisme le plus total et il n’est plus possible de parler de bloc occidental ! Tous les médias européens se taisent, alors que tous les gouvernements et tous les états-majors européens savent que ce sont les Américains avec les Norvégiens qui ont fait sauter Nord Stream ! Tout le monde sait à quoi s’en tenir de l’« ami américain », mais personne ne dit rien, ce qui est ahurissant ! D’autant plus qu’il y avait des intérêts européens et pas seulement russes pour financer les gazoducs Nord Stream (la société française Engie, par exemple, perd plus de 1 milliard de dollars, suite au sabotage américain). Mais la Vérité étant connue de tous, les répercussions historiques à long terme de ce scandale, de cette trahison par l’Amérique, sont déjà en marche, afin de pouvoir construire une Europe libre, européenne, proche de la Russie, dans un monde multipolaire.

    Le plus cocasse, comme l’écrit André Posokhov sur R/L, c’est que l’Allemagne, « paillasson servile », soit agressée par un attentat qui ruine son économie et qu’elle puisse pourtant décider de rentrer en guerre avec la Russie pour défendre l’intérêt des seuls États-Unis contre ses propres intérêts. À qui profite le crime ? Qui d’autre que Washington avait intérêt à ce sabotage, d’autant plus qu’un procureur allemand vient de confirmer qu’il n’y avait aucune preuve contre la Russie dans ce dossier ? Tout cela constitue un cas d’école historique exceptionnel, difficilement imaginable !

    Les gazoducs Nord Stream ont toujours été considérés par l’Amérique comme une menace. Les puissances maritimes anglaise et américaine ont toujours fait en sorte que jamais n’émerge sur le continent européen une nation dominante que ce soit la France de Napoléon, l’Allemagne de Guillaume II ou la Russie de Poutine. Zbigniew Brzezinski dans le Grand Échiquier a insisté lourdement sur ce thème, afin que les États-Unis puissent maintenir leur suprématie mondiale.

    Il est fondamental pour l’Amérique que les deux économies voisines et complémentaires de l’UE et de la Russie ne fassent pas leur jonction, car ce nouvel ensemble pourrait devenir aussi puissant que les États-Unis et la Chine. L’unification continentale eurasiatique est le cauchemar des géopoliticiens américains, thème traité d’une façon détaillée dans deux de mes livres  : « La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou » (2008), livre pionnier, et « Comment sauver la France/ Pour une Europe des nations avec la Russie » (2021).

    Ce sont les Américains et les Anglais qui ont forcé la main à Zelensky en mars 2022 pour commencer une guerre véritable qu’il souhaitait arrêter avec Poutine. Ils ont fait miroiter à l’Ukraine une défaite rapide de la Russie grâce aux sanctions économiques et monétaires, mais cela n’a pas réussi. Les éléments d’appréciation de l’Amérique en 2022 étaient ceux de 2014, année du coup d’État de Maïdan : les sanctions auraient très certainement réussi en 2014, mais entre-temps la Russie prévoyante, méfiante et réaliste, face aux premières sanctions en vigueur dès cette époque, suite à la prise de contrôle de la Crimée, avait pris des mesures pour augmenter sa souveraineté, l’autarcie et la sécurité de son économie (non dépendance au système Swift contrôlé par l’Amérique plus particulièrement, avec la mise en place d’un système autonome russe de règlement interbancaire ).

    La carpette Zelensky des Anglo-Saxons a déjà sacrifié pour les belles paroles de Boris Johnson et de Joe Biden, la bagatelle de 155 000 soldats ukrainiens tués et 200 000 blessés ! C’est le sang ukrainien qui coule à flot, pas le sang yankee ! La guerre durera-t-elle jusqu’au dernier conscrit ukrainien enrôlé de force à 16 ans ?

    Nous sommes donc en présence d’une guerre américano-russe dans laquelle les Européens se sont laissées entraîner avec une stupidité, une naïveté ahurissante, en devenant même parfois plus royaliste que le roi Biden ! Macron est un des meilleurs exemples car il pense déjà à sa future carrière dans les grandes institutions internationales. Macron trahit la France, tout comme la politique du général De Gaulle qui serait resté neutre dans ce conflit, partant du principe que notre pays n’a aucun intérêt particulier en Ukraine ! Les Européens montrent par là-même au monde entier leur rôle de valet de l’Amérique et leur soumission totale à Washington !

    Mis à part l’extrême gauche allemande, des hommes politiques comme Oskar Lafontaine et surtout les députés très remontés de l’AfD , ni le chancelier Scholz, ni la plupart des députés, ni les médias ne se sont plaints en Allemagne de cette tuile qui tombait sur leur économie. À noter cependant que, selon les sondages, dans l’ancienne Allemagne de l’Est, la population est majoritairement opposée à l’intervention allemande en Ukraine, de même que presque la moitié de l’ensemble des Allemands ! En Italie, Berlusconi, tout comme Viktor Orban en Hongrie, fait aussi entendre sa voix et sa violente opposition à l’attitude actuelle de Européens en Ukraine !

    Devant la veulerie incompréhensible des Européens, il ne manque en fait plus que le droit de cuissage pour Biden en Europe ! Mais le conflit est en train d’évoluer d’une façon différente de ce qu’avait prévu l’Amérique en mars 2022 : non seulement l’écroulement de la Russie sur le plan économique n’a pas eu lieu, mais les économies européennes ont plus de soucis à se faire que l’économie russe ! La mise au ban de la Russie est le seul fait des Européens ; 80 % de la communauté internationale est plutôt favorable à la Russie ! Enfin, ce qui est très grave pour les États-Unis c’est que pour la première fois leur hégémonie politique, économique et militaire dans le monde est véritablement menacée à brève échéance ! La Russie et la Chine sont très actifs pour mettre fin dans un avenir rapproché à l’extraterritorialité américaine et au règne du dollar !

    C’est bien parce qu’elle sent des menaces mortelles venir que l’Amérique s’est cru obligée d’employer des méthodes ahurissantes de gangster telles que l’annulation du contrat français du siècle pour les sous-marins en Australie, le gel incroyable jamais pratiqué jusqu’à ce jour des avoirs en dollars et en euros de la Banque centrale d’un grand pays internationalement reconnu et membre du Conseil de Sécurité à l’ONU, et le scandaleux sabotage par explosifs des gazoducs Nord Stream, vitaux pour la compétitivité économique et la sécurité énergétique de l’Europe, la Russie ayant toujours respecté ses contrats, même pendant la guerre froide !

     

    Source : synthesenationale

  • Covid-19 : pas de « miracle vaccinal » en Europe

    Publié par Guy de Laferrière le 05 février 2023

    Auteur : 

    La vaccination massive et quasi-forcée dans les pays occidentaux n’aurait-elle servi à rien? Ceux qui le disaient il y a encore un an étaient taxés de « complotistes ».

    Voici une longue analyse chiffrée du général Delawarde, et sa conclusion :

    « Comme elles le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les gouvernances des pays de l’OTAN ont imité leur chef de meute US et se sont lancés dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Prétendant agir « au nom » du principe de précaution, mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves, elles ont utilisé des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers pour « vendre » leur produit expérimental à des clientèles captives et à des populations trop crédules, afin de « faire de l’argent ».

    2. Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec monumental. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022 et compter plus de décès en 2022 avec vaccin qu’en 2020 sans vaccin.

    3. En 2022, alors que les otaniens continuent d’essayer de vendre leurs « boosters » à des populations de plus en plus sceptiques et réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 ou 6 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12% de la population mondiale), plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, plus de pertes (625 727 décès) que le reste du monde (88% de la population mondiale) qui en a compté 618 632. Il y aurait vraiment matière à s’interroger sur la gestion de l’épidémie dans ces pays qui ont trop souvent agi à l’imitation de leurs partenaires anglo-saxons USA-UK. Jusqu’à quand s’acharneront-ils à les prendre en références, alors qu’ils se sont montrés parmi les plus mauvais dans la gestion de l’épidémie ? Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoids que les autres, que les occidentaux otaniens décèdent 4,7 fois plus de la Covid que le reste du monde. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?

    4. Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays, occidentaux pour la plupart, mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.

    La simple observation/comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois : On peut débattre de tout, sauf des chiffres.

    5. Il faudra bien un jour se pencher sur les effets secondaires avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité. Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques, des politiques et des autorités de santé qui les ont suivis aveuglément et/ou se sont laissés corrompre.

    6. Sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité COVID de 0,652/1000 h, 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période : 0,088/1000h. Cela veut clairement dire que ces pays se remettent moins vite de l’épisode Covid que le reste de la planète. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par milliers d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. Cherchez l’erreur…

    « On peut débattre de tout, sauf des chiffres. »

     

    Source : medias-presse.info

  • France Inter : « Rien n’est plus faux que d’admettre les racines gréco-latines de l’Europe »

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Une idée reçue construite a posteriori et intellectuellement inexacte selon Florence Dupont. Au micro de l’émission “Histoire De”, l’historienne des langues rappelle que déjà, durant l’Antiquité, Rome ne se réduit pas à une identité, mais à une altérité : “le Romain est celui qui vient d’ailleurs”.

    (…)

    “Il n’y a pas d’identité latine et Rome n’est pas une identité”

    Florence Dupont estime qu’il faut déconstruire les discours identitaires que l’on prête trop souvent à la littérature gréco-antique. Selon elle, “rien n’est plus faux que d’admettre l’expression des racines gréco-latines de l’Europe”. Personne ne peut se prévaloir d’être les héritiers naturels de l’Antiquité gréco-romaine puisque s’ils avaient une vocation culturelle, celle-ci était beaucoup plus universelle qu’on ne le pense : “Cet usage d’une identité gréco-romaine est intellectuellement faux. Il y a une utilisation politique vaine. L’Europe occidentale n’a pas le monopole de l’Antiquité. L’Empire romain s’est étendu absolument sur toute la Méditerranée et a servi de transmetteur en apportant toute une tradition des lettres latines (et grecques) qui ont été jusqu’à aujourd’hui exploitées, réinterprétées, mais pas nécessairement de la façon dont nous, en Occident, nous les utilisons à des fins idéologiques.

    La culture romaine, s’il y en a une, n’a jamais été restreinte par les limites géographiques induites par ses conquêtes militaires : “Elle s’est transmise au-delà de l’Europe, en Orient, à travers aussi la philosophie islamique. Il n’y a pas d’identité latine et Rome n’est pas une identité. Elle se pensait elle-même comme un grand mélange, un projet, une ethnogenèse, mais absolument pas en une origine ni un passé déterminé”.

    France Inter via fdesouche