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femmes - Page 4

  • femmes, les Noirs, les musulmans sont des résistants de fait (…) L’écologie c’est pas des hommes blancs à vélo dans les villes”

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2021

     

     

    Source : fdesouche

     
  • L’élue EELV Alice Coffin veut compter officiellement le nombre de femmes et de Noirs dans les pièces de théâtre à Paris, afin de décider des subventions aux théâtres par la Ville de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2021

     
  • Le père, cet éternel inutile…

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2021

    Oui, les femmes sont plus généreuses que les hommes dans l’engendrement : elles y passent neuf mois sans interruption, souffrent de désordres physiques, hormonaux, psychiques, subissent l’accouchement et les soins post-partum, les modifications temporaires ou permanentes de leur corps, le baby blues…  Jamais les hommes et les enfants ne montreront assez de gratitude envers les mères pour ça.

    femmes,pèreMais la nature n’a pas permis que les rôles de l’homme et de la femme soient interchangeables. Nonobstant les délires des femmes transgenres qui s’identifient comme masculines, mais donnent naissance à des enfants, et tant que le cauchemar de l’ectogenèse ne sera pas devenu réalité, seules des femmes sont des mères et, à ce titre, ce sont elles qui donnent la vie à un enfant.

    Que donne l’homme ? Des gènes, ceux qu’il a hérités de ses parents. Certes, pas tous, mais la moitié. Certains s’exprimeront, d’autres pas, laissant à ceux donnés par la mère ce soin. C’est la loterie biologique. Parfois, il ne donne rien de plus, quand il prend la poudre d’escampette à l’annonce d’une grossesse. Un homme, ça peut être lâche. Il peut aussi donner un abri, une protection à la mère et à son enfant. Il peut aussi – c’est heureux – bâtir une famille, ce truc décrié où les enfants grandissent entourés de l’amour et de la protection de parents qui peuvent aussi s’aimer durablement l’un l’autre. Les  pourraient trouver dans la lutte contre l’obsolescence programmée des couples et des familles une bataille qui mériterait d’être menée et gagnée.

    Et a priori, le père donne son nom de famille. Les féministes ricaneront : ça ne lui coûte pas cher. Indissociable de ce patronyme transmis à la génération suivante, il y a aussi toute la filiation paternelle.

    Le choix des prénoms et de leur ordre peut durer neuf mois, donner lieu à des discussions homériques virant à la dispute et même occasionner chantages, tractations et compromis. Une fois l’enfant né, il faut bien qu’à l’état civil, le bébé ait au moins un prénom.

    Les normes en vigueur à l’état civil français sont tatillonnes : elles exigent aussi un nom de famille. Par défaut, ce sera celui du père. Mais la loi prévoit déjà qu’on puisse déroger à cette norme : l’enfant peut porter celui de la mère, ou les deux accolés. C’est très bien, par exemple pour éviter que des patronymes ne disparaissent. D’autres normes existent ailleurs, par exemple en Espagne, où l’enfant porte les patronymes de son père et de sa mère.

    Une certaine Marine Gatineau Dupré, est la fondatrice et porte-parole de « Porte mon nom », une association qui vise à automatiser le port du double nom par l’enfant. Elle déplore que plus de 80 % des enfants ne portent que le nom du père et dénonce ce respect d’une tradition. Elle demande, en outre, de pouvoir rajouter le nom de la mère en cas de séparation et souhaiterait, enfin, que la mère valide la déclaration des noms et prénoms à l’état civil. Un député  ! la soutient, Patrick Vignal. Avec une pétition de 7.000 personnes, ils souhaitent que le garde des Sceaux et le Premier ministre modifient les règles par simple décret. Pourquoi se gêner et passer par la loi ?

    À l’heure où l’engendrement devient un projet parental modulable (et même révocable avec l’), l’état civil deviendrait une place de marché où serait en quelque sorte marchandée et contractualisée cette composante essentielle de la personne qu’est son identification. Le bon sens commanderait que, préalablement à tout mélange de gamètes, les protagonistes s’assurent de pouvoir trouver assez de consensus durables pour assumer tous les risques induits par la possible procréation due à leur activité sexuelle. Les plus réalistes – mais d’autres les qualifieront de paranoïaques – verront une nouvelle attaque contre la  et la filiation. Le père, cet inutile…

     

    Rémy Mahoudeaux

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Oscars : les films ne mettant pas suffisamment en avant les femmes, les minorités ethniques ou les LGBT seront disqualifiés

    Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2020

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    Oscars : les films ne mettant pas suffisamment en avant les femmes, les minorités ethniques ou les LGBT seront disqualifiés

    A compter de 2024, pour obtenir un Oscar, un film n’aura plus besoin de bons acteurs ou d’un bon scénario, ni même plaire aux spectateurs :

    Régulièrement critiquée pour le manque de diversité en son sein, ou parmi les artistes récompensés aux Oscars, notamment dans la foulée du mouvement #MeToo ou avec la campagne #OscarsSoWhite, la célèbre institution hollywoodienne a levé un coin du voile cette semaine sur l’initiative Academy Aperture 2025, un nouveau mode de représentation et d’inclusion pour être éligible aux Oscars.

    Les premières mesures dévoilées concernent la catégorie de l’Oscar du meilleur film. Seront désormais éligibles à cette catégorie les longs-métrages qui rempliront au moins deux des quatre nouveaux critères de représentation et d’inclusion. Cette mesure sera mise en œuvre à partir de la 94e édition de la cérémonie des Oscars, en 2024.

    Le premier critère porte sur la représentation des minorités à l’écran et les thématiques choisies. L’œuvre devra soit avoir comme acteur principal ou secondaire une personne issue d’une minorité ethnique sous-représentée ; soit avoir un casting composé à 30% de personnes issues de groupes sous-représentés (femmes, minorités ethniques, personnes LGBTQ+, personnes souffrant de handicaps) ; soit avoir au centre de son histoire une personne issue de groupes sous-représentés.

    Le deuxième critère porte sur l’équipe créative, qui doit être composée en partie de personnes issues de groupes sous-représentés.

    Le troisième critère porte sur l’égalité des chances et indique que des personnes issues de groupes sous-représentés doivent avoir accès à des stages rémunérés à toutes les étapes de création du film (préparation, tournage, post-production).

    Le quatrième critère concerne le marketing du film. Le studio et le distributeur du film doivent avoir des équipes dont les responsables sont issus de groupes sous-représentés.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Picasso abusait des femmes, comme Harvey Weinstein », selon l’artiste Olafur Eliasson

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2020

    Par  le 18/02/2020

    Olafur Eliasson juge en effet qu’il est grand temps d’interroger la figure du grand maître. « Cela, vous le savez très bien en Espagne, le pays de Picasso, un homme qui abusait des femmes. Comme un Harvey Weinstein de son époque, mais dont le comportement était alors considéré comme acceptable », poursuit l’artiste, faisant l’analogie entre le peintre et le producteur hollywoodien accusé de viols et agressions sexuelles.

    Ce n’est pas la première fois que le comportement de Pablo Picasso avec les femmes est interrogé. Sophie Chauveau, auteure d’une biographie du peintre a dernièrement souligné la « perversité » de Picasso. « Il aura haï les femmes qu’il a eues au point de les battre et de les enfermer. Marie-Thérèse a employé le mot viol. Françoise a eu une joue percée par une gauloise allumée et ne parlons pas de la tragédie sadomaso avec Dora Maar. Marie-Thérèse et Jacqueline se sont suicidées. Maya, une de ses filles, et Marina, une de ses petites-filles, ont dit des choses sur leur gêne éprouvée gamines…», poursuivait la biographe.

    (…) Le Figaro via fdesouche