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femmes - Page 5

  • Immigration de masse : En Afrique, les hommes disparaissent et les femmes sont obligées de travailler dur

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2020

    Immigration de masse : En Afrique, les hommes disparaissent et les femmes sont obligées de travailler dur

    Voici encore une conséquence néfaste de cette immigration incontrôlée et encouragée par des sociétés occidentales trop généreuses. Inutile d’attendre des féministes une réaction suite à la lecture de cet article du New-York Times traduit par le site Fdesouche : :

    Les femmes choquent leurs villages traditionnels d’Afrique de l’Ouest en gagnant de l’argent et en gérant de grands ménages pendant que leurs maris sont en Europe à la recherche d’un emploi (…)

    Dans toute l’Afrique de l’Ouest, les villages ont été vidés de leurs maris et de leurs fils dans la fleur de l’âge qui étaient partis en Europe pour chercher du travail et ne sont jamais revenus. Les femmes, se rendant compte qu’elles ne verraient peut-être jamais l’argent que leurs hommes leur avaient promis d’envoyer chez elles, ont progressivement assumé ce qui est considéré comme un rôle d’homme, en gagnant de l’argent et en dirigeant de vastes ménages composés de beaux-parents et d’autres membres de la famille élargie (…)

    Le Sénégal est l’un des pays les plus touchés par le phénomène des hommes disparus. Les Sénégalais ont été parmi les 10 premières nationalités à débarquer en Italie lors d’un pic de migration au milieu de la décennie.

    On peut ajouter que la fuite des capitaux de la France vers l’Afrique (19 milliards par an) est une autre conséquence fâcheuse pour l’économie française avec pour corolaire la fuite des cerveaux de l’Afrique vers l’Europe, tout aussi dramatique :

    Alors que la crise migratoire continue en Europe, l’argent que les migrants déjà installés en Occident renvoient vers leurs pays d’origine continue de progresser. Selon la Banque mondiale, les fonds envoyés par les migrants économiques vers les pays à revenus faibles ou moyens ont atteint 466 milliards de dollars l’année dernière. Le total de ces transferts a été multiplié par six depuis 2000, et atteint désormais trois fois le montant total de l’aide publique au développement, c’est à dire du financement de la part des États (…)

    Mais le pays qui reçoit les fonds a vu partir un citoyen au «potentiel économique» souvent au-dessus de la moyenne. La migration n’est pas, contrairement aux apparences, majoritairement le fait des plus pauvres; ceux-là ne peuvent financer le départ vers les pays occidentaux. Si, pour Serge Michailof, «cela permet la constitution de réseaux de diasporas dans le monde entier» et constitue une force pour l’Afrique dans la mondialisation, cela peut aussi «avoir des conséquences dramatiques, lorsque par exemple tout le personnel médical se retrouve à l’étranger (…)

    Certains secteurs dans les pays en développement pâtissent donc largement de ces mobilités, et les pays occidentaux ne cachent pas leur appétit pour des professionnels formés, moins chers et plus disponibles. La santé est la grande perdante de ces migrations à forte valeur ajoutée. Dans les hôpitaux français, des médecins étrangers «faisant fonction d’interne» sont embauchés par centaines, sans compter les médecins venus s’installer en cabinets libéraux. Et selon une étude de la revue médicale The Lancet, en 2004, seuls 50 des 600 médecins formés en Zambie depuis 1964 n’avaient pas quitté le pays (…)

    Avec 19 milliards d’euros envoyés chaque année sur 2300 milliards d’euros de PIB, les transferts d’argent constituent moins d’1% de la richesse française (…) 100000 Maliens installés en France envoient 180 millions d’euros au Mali chaque année, soit en moyenne 150 euros par mois.

     

    Source : lesalonbeige

  • Genderofolie : Interdiction de dire que seules les femmes accouchent

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2019

    Une sage-femme anglaise, Lynsey McCarthy-Calvert, porte-parole de l’association Doula UK, association de sages-femmes et aides-maternelles venant en aide aux femmes enceintes et jeunes mamans, a du démissionner de son poste après avoir écrit sur Facebook quelque chose qu’il ne fallait pas dire : que « seules les femmes accouchent » !

    Affirmation d‘une réalité biologique inacceptable pour les activistes des droits des trans qui ont défini ce langage « absolument dégueulasse ». Selon ces militants de l’idéologie gender, cette affirmation est fausse et il n’est pas vrai « que seules les femmes mettent au monde des enfants ».

    Le plus affligeant dans cette histoire, ce ne sont pas uniquement les fantasmes et la négation de la nature dont ces genderophiles se rendent coupables, mais le soutien que leur folie déconstructiviste et révolutionnaire a reçu de la part de l’association Doula UK. Non seulement la sage-femme n’a pas été soutenue par ses responsables mais elle a été contrainte de démissionner pour avoir violé « les lignes directrices » de l’association.

    « J’ai été victime d’ostracisme pour avoir dit que je suis une femme et aussi mes patientes. L’autorité est paralysée parce qu’elle ne veut pas troubler les activistes des droits transgender » a déclaré la sage-femme qui a été l’objet de la vindicte des Lgbtqi+.

    Doula UK avait proposé à Lynsey McCarthy-Calvert de supprimer son post. Cette dernière a refusé de se soumettre à cette injonction dictée par le politiquement correct, d’où sa démission. Le nouveau porte-parole de l’association s’est fendu d’un communiqué genderophile :

    « Nous sommes orgueilleux de dire que nous cherchons à écouter l’expérience de vie vécue par des groupes marginaux et d’apporter des modifications, y compris concernant le langage que nous utilisons, nous retenons qu’il est nécessaire de rendre la communauté de Doula au Royaume-Uni plus accueillante et solidaire. »

    Et c’est donc au nom de cette solidarité et de cet accueil dont tous ces bien-pensants se gargarisent qu’une mère de 4 enfants, qui n’avait fait que rappeler une donnée biologique fondamentale, que seules les femmes peuvent être enceintes et accoucher, qui a été bannie !

    Énième épisode de la dictature gender et de la déconfiture du bon sens : la révolution anthropologique a un autoroute grande ouverte devant elle à cause de bien trop d’autorités soumises au sexuellement correct !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Carte de l’inégalité entre les hommes et les femmes dans le monde en 2019

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2019

     

     

    On retrouve dans le top 6 l'Iran, le Qatar, la Syrie, l'Arabie Saoudite, le Soudan, les Emirats arabes unis.

    Tous des pays musulmans, ce qui n'empêche pas la gauche de prétendre que l'immigration est un enrichissement pour nos pays tout en prétendant défendre... les droits des femmes. Sommarugaappelant même à ne pas discriminer les mosquées.

    Carte de la Banque mondiale, source AFP.

     

     

     

    Source via lesobservateurs

  • Au Maroc, les femmes se protègent du harcèlement en fuyant les plages

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2019

    Par  le 21/08/2019

    La Grande piscine de Rabat permet aux femmes d’échapper au harcèlement qu’elles subissent sur les plages, mais il leur est encore difficile d’y porter un maillot de bain.

    Une étude de l’ONU-Femmes avait indiqué en 2017 que 78% des Marocaines et 72% des Marocains estimaient qu’une «femme habillée de façon provocante mérite d’être harcelée».

    «Se baigner à la plage n’est plus un loisir pour une femme : j’ai été harcelée juste parce que je portais un maillot de bain». Au Maroc, de nombreuses femmes sont prêtes à faire un long trajet pour profiter de la Grande piscine de Rabat, inaugurée il y a peu, où vigiles et policiers veillent à leur tranquillité.

    «Ici (à la piscine), il n’y a pas de harcèlement», explique ainsi l’un d’entre elles à l’AFP, après avoir parcouru 150 kilomètres pour s’y rendre. Alors que de nombreuses femmes ne se sentent plus en sécurité sur les plages, la soixantaine de vigiles et de policiers en civil de la nouvelle piscine leur offre un peu plus de tranquillité. Même si beaucoup n’ose toujours pas s’y mettre en maillot de bain. Une mère de famille explique ainsi préférer le short/débardeur et garder son une-pièce «pour les plages sauvages du Maroc ou pour l’étranger».[…]

    Symbole des difficultés de cohabitation qui existent dans ces lieux de détente, un homme, venu à la piscine de Rabat avec sa femme voilée et sa fille, estime pour sa part que les femmes en maillot de bain portent une «tenue irrespectueuse» et que ce sont elles «qui harcèlent les hommes et les familles». Un discours qui se retrouve de plus en plus chez d’autres femmes, qui se mettent à critiquer ou commenter ostensiblement le port de ce vêtement, qu’elles estiment de débauche. […]

    cnews via fdesouche