Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022
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Laurence Haïm déçue que les Français ne soient pas enthousiastes à l’idée d’envoyer leurs enfants « mourir en Ukraine » pour l’OTAN (VIDÉO)
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« Nous sommes prêts à prendre facilement Kiev et les pays de l’OTAN », la Tchétchénie n’attend que les ordres de Poutine
Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022
Alors que la Russie poursuit son opération militaire en Ukraine avec le soutien de ses alliés de l’est, la Biélorussie et surtout la Tchétchénie, le président de ce dernier pays, Ramzan Kadyrov a formellement menacé les pays occidentaux et dit attendre juste les instructions de Vladimir Poutine pour les réduire en « miettes ».
Selon Kadyrov dont les forces sont aux côtés des éléments pro-russes du Donbass, il est reconnaissant que Poutine « ait pris une décision aussi juste et nous ait donné l’opportunité de prendre part à cette lutte sacrée » contre le « satanisme ». « Nous sommes prêts à aller plus loin sur les ordres, à prendre facilement Kiev et les pays de l’OTAN », a indiqué le président de la Tchétchénie.
« Nos unités, endurcies dans de vraies batailles, ne pourront fléchir devant aucune armée dans le monde. Nous avons l’expérience, l’arsenal, la foi, le patriotisme, l’idée et la VÉRITÉ ! L’Occident ne comprend pas encore à quel point NOUS sommes forts ! », a souligné Kadyrov. « Nous sommes prêts à écraser la campagne fausse-démocratique, pseudo-libérale et militaro-barbare des États occidentaux, qui corrompent la communauté mondiale dans le but de soumettre le monde entier à eux », a-t-il ajouté.
source : Actu Cameroun via lesmoutonsrebelles
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URGENT : Vladimir Poutine vient de déclarer la guerre à l’Ukraine en direct dans un discours surprise au milieu de la nuit
Publié par Guy Jovelin le 24 février 2022
«J’ai pris la décision d’une opération militaire», a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans une déclaration surprise à la télévision peu avant 3 heures GMT. Il a dénoncé une fois encore un génocide orchestré par l’Ukraine dans l’est du pays, arguant de l’appel à l’aide des républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk annoncé dans la nuit et de la politique agressive de l’Otan à l’égard de la Russie et dont l’Ukraine serait l’outil.
Il s’est adressé aux militaires ukrainiens leur disant : «je vous appelle à déposer les armes», assurant qu’ils pourront alors «quitter le champ de bataille sans entrave».
Il a assuré ne pas vouloir «d’occupation» de l’Ukraine, mais sa «démilitarisation».
Puis, il s’est adressé à ceux «qui tenteraient d’interférer avec nous (…) ils doivent savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et conduira à des conséquences que vous n’avez encore jamais connues».
«Je suis sûr que les soldats et officiers de la Russie rempliront leur devoir avec courage», a-t-il dit encore, la sécurité du pays est garantie».
Il n’a pas donné de précision quant à l’ampleur de l’opération militaire, si elle allait se limiter à l’est de l’Ukraine où si elle serait plus large.
BREAKING: Massive explosions hit the Ukrainian port city of Mariupol pic.twitter.com/6q9rtel9pF
— BNO News (@BNONews) February 24, 2022
Vidéo en direct de plusieurs caméras à travers l’Ukraine :
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Poutine ironise : « A quelle heure débute la guerre ? »
Publié par Guy Jovelin le 17 février 2022
Auteur : Francesca de Villasmundo
A quelle heure est la fin du monde ? Vladimir Poutine plaisante sur la prédiction américaine selon laquelle la Russie devrait débuter l’invasion de l’Ukraine ce mercredi 16 février, demandant s’ils connaissent même l’heure exacte.
« Parfois, le président Poutine plaisante sur les alarmes des États-Unis et de ses alliés occidentaux au sujet d’une invasion russe de l’Ukraine » et « nous demande de vérifier s’ils ont publié l’heure exacte à laquelle la guerre commencera », a déclaré hier le porte-parole du Kremlin à la presse, Dmitri Peskov. « Il nous est impossible de comprendre la folie de cette information maniaque » des Etats-Unis.
Bref, la Russie continue de nier vouloir attaquer l’Ukraine et déprécie la lecture américaine. Maria Zakharova, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de Moscou, a également parlé de « folie » dans une interview exclusive au média italien Quarta Repubblica lundi 14 février. Les États-Unis et le Royaume-Uni sont « fous, sans morale et falsificateurs », a déclaré Zakharova.
« Quand on entend des déclarations de la Maison Blanche et de Downing Street que la Russie a l’intention d’attaquer, on se rend compte que seules les personnes qui sont folles, qui sont folles, qui n’ont aucune morale et qui font des falsifications peuvent le déclarer. »
Et encore :
« Ils ne comprennent pas notre mentalité : nous sommes des Slaves, nous sommes des gens qui se considèrent comme un peuple unique, car nous avons une histoire commune de plusieurs siècles. »
Ironie et accusations mises à part, le bras de fer continue. En fait, l’OTAN continue d’exiger un retrait substantiel des troupes russes de la zone frontalière avec l’Ukraine. « Jusqu’à présent, nous n’avons vu aucun signe de désescalade », a déclaré le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, avant d’ajouter une évidente contradiction avec son propos précédent : « il y a des signes de la volonté de Moscou de négocier, qui justifient un optimisme prudent ».
Le fait est que l’OTAN ne veut pas refuser à l’Ukraine la possibilité d’adhérer, c’est-à-dire qu’elle n’a pas l’intention de « faire des compromis sur les principes de base », car chaque nation à cet égard a le droit de choisir. A l’inverse, Poutine a redit que le Kremlin n’acceptera « jamais l’élargissement de l’Otan à nos frontières, c’est une menace que nous percevons clairement ».
Cependant pour montrer sa bonne foi, Vladimir Poutine a retiré ses troupes russes de la frontière ukrainienne hier mardi 15 février et déclaré ce même jour, au cours d’une conférence de presse conjointe avec le chancelier allemand Olaf Scholz, qu’il ne souhaitait pas la survenue d’un conflit : « Voulons-nous (d’une guerre) ou pas ? Bien sûr que non », a-t-il ainsi affirmé.
« C’est pour cela qu’on a avancé nos propositions pour un processus de négociations ».
De son côté, Olaf Scholz avait auparavant indiqué que la sécurité durable en Europe n’était « possible qu’avec la Russie » et qu’elle ne peut être obtenue contre elle. « Il devrait donc être possible de trouver une solution » à la crise actuelle, a-t-il ajouté car « aussi difficile et grave que puisse paraître la situation actuelle », elle n’est, selon lui, « pas désespérée ».
Si la tension persiste, la fameuse invasion prédite au jour près, le 16 février, c’est-à-dire aujourd’hui, par les Etats-Unis n’a pas eu lieu, faisant mentir une nouvelle fois le camp du Bien et ses médias serviles, -peut-être ceux qui veulent cette guerre pour des raisons de domination mondiale-, et donnant raison aux dénégations maintes fois répétées de la Russie.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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S'ils veulent la guerre : commençons par boycotter leurs produits...
Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2020
Source : synthesenationale