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guerre - Page 3

  • En temps de guerre, le service national va devenir obligatoire dès janvier 2024

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

     

    Tout le monde est suspendu à la décision d’Emmanuel Macron. Le président doit depuis plusieurs semaines détailler la manière dont il compte généraliser le service national universel (SNU). En 2017 déjà, il promettait d’instaurer un « service national obligatoire » pour tous les jeunes Français.

    Un SNU basé sur le volontariat a depuis vu le jour. En 2022, seulement 32 000 adolescents y ont participé, sur les 50 000 attendus. Mais d’ici quelques années, ils pourraient bien être 25 fois plus nombreux. Car le gouvernement envisage sérieusement de rendre le SNU obligatoire pour tous les élèves en classe de seconde et en première année de CAP, soit 800 000 jeunes par an.

    C’est en tout cas ce que laisse entendre un document interne au ministère de l’Éducation nationale révélé il y a quelques jours par Politis. Cette note, datée du 2 décembre 2022, détaille la façon dont pourrait fonctionner ce service national imposé. Il consisterait en un séjour de cohésion de 12 jours, étalé sur plusieurs mois. Il aurait lieu pendant le temps scolaire, et non plus pendant les vacances.

    Téléphone interdit, uniforme requis

    Les jeunes concernés devraient se rendre par leurs propres moyens à l’emplacement du séjour, forcément situé en dehors de leur département ou de leur région. Le lieu et la date d’affectation seraient eux aussi imposés. Au programme sur place : un lever à 6h30 et un coucher à 22h30, ainsi qu’une levée du drapeau et une Marseillaise quotidiennes. Le document de travail prévoit le port d’une tenue « commune » à tous les participants et l’interdiction du téléphone portable en journée.

    Défense, sécurité intérieure, développement durable… Pendant l’ensemble du séjour, les adolescents se verraient dispenser des enseignements par des personnels volontaires de l’Éducation nationale, de l’éducation populaire et des militaires non actifs. Objectif affiché : « renforcer la résilience de la nation », « développer la cohésion sociale » et « promouvoir une culture de l’engagement ».

    Si cette version du SNU est retenue par l’exécutif, les jeunes les plus motivés verront leur permis de conduire ou leur Bafa (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) intégralement financé. Seule condition à respecter : suivre le parcours complet du SNU, dont le module permettant l’accès à une réserve en uniforme. Selon le Snes-FSU, premier syndicat des enseignants du second degré, les adolescents n’auraient par ailleurs pas la possibilité d’évoquer l’objection de conscience pour échapper au séjour de cohésion, puisqu’il ne s’agit pas d’un service militaire. Ils pourraient seulement bénéficier d’un report en cas de force majeure.

    La note du ministère de l’Éducation nationale prévoit un déploiement progressif de la nouvelle version du SNU. Si la piste d’un séjour obligatoire est retenue, celui-ci serait mis en place dans six départements pilotes à partir de janvier 2024. D’après le Snes-FSU, il serait d’abord expérimenté dans les Hautes-Alpes, les Vosges, le Cher, le Finistère, la Dordogne et le Var, avant une généralisation à l’ensemble du pays en 2026. Ce qui nécessiterait de présenter un projet de loi au Parlement.

    Le volontariat toujours envisagé

    La gauche est déjà vent debout contre le projet, tout comme les organisations de jeunesse. « Rendre obligatoire un engagement, c’est un oxymore. Ce n’est pas comme ça que fonctionne l’engagement », relève auprès de Politis Samuel Béguin, du Forum français de la jeunesse (FFJ). D’autres pointent le manque d’équipements disponibles pour accueillir 800 000 jeunes chaque année.

    Le Snes-FSU, lui, voit dans cette mesure un moyen d’« affaiblir l’Éducation nationale », avec « un calendrier scolaire désormais soumis aux contraintes du SNU ». Le syndicat critique aussi son coût, estimé à 2 milliards d’euros, alors que les enseignants réclament de longue date plus de moyens. « Plus généralement, [le SNU obligatoire] consacre l’idée que l’école de la République n’est plus le lieu par excellence de la fabrication de la nation », relève le Snes-FSU.

    Devant cette levée de boucliers, l’Élysée et le cabinet de Sarah El Haïry, la secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel, ont assuré ce jeudi au Figaro que « rien n’est (encore) décidé ». Si Sarah El Haïry est favorable à l’instauration d’un SNU obligatoire, une autre option est envisagée : le dispositif pourrait rester volontaire, mais devenir plus incitatif grâce au financement du permis de conduire et du Bafa.

    Emmanuel Macron devait initialement trancher et rendre son arbitrage au début de l’année. D’après le cabinet de Sarah El Haïry, il pourrait finalement prendre une décision « avant la fin de l’année scolaire ». On comprend pourquoi le chef de l’État ne se presse pas : le SNU, moqué et critiqué, pourrait pousser la jeunesse dans la rue s’il devenait obligatoire. En pleine mobilisation contre la réforme des retraites, le président fait donc profil bas.

     

    Source RLorrain  via lesmoutonsrebelles

  • Que prévoit la Constitution française en cas de guerre ?

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    lesmoutonsrebelles

     

    La Constitution de 1958 comporte de nombreux articles évoquant les armées et la défense et pourtant on ne note qu’une référence à la guerre ainsi qu’une seule mention à la paix. Alors en cas de guerre que prévoit-elle ?

    Qui fait quoi ?

    La répartition des compétences en matière de défense nationale au sein de l’exécutif a suscité beaucoup de questionnements face à la prolifération des articles sur ce sujet.

    Pourtant, l’article 15 de la Constitution est limpide :

    « LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EST LE CHEF DES ARMÉES. IL PRÉSIDE LES CONSEILS ET COMITÉS SUPÉRIEURS DE LA DÉFENSE NATIONALE ».

    Notons au passage que l’article 13 fait du président de la République celui qui « nomme aux emplois civils et militaires de l’État ».

    Mais cela se complique lorsque l’article 20 précise que le gouvernement dispose de la force armée et que son chef – le Premier ministre – est « responsable de la Défense nationale » (article 21).

    Cependant, c’est le Parlement qui autorise la déclaration de guerre (article 35). D’ailleurs l’article 34 dispose que c’est la loi qui « détermine les principes fondamentaux […] de l’organisation générale de la Défense nationale… » Si l’article 52 donne au président de la République le rôle principal dans la négociation et la ratification des traités, l’article 53 précise que « les traités de paix […] ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi…  »

    Il est étonnant qu’un pays comme la France qui, depuis 1990 et la guerre du Golfe, est fréquemment et durablement engagé sur des théâtres de conflit, ait si peu de références juridiques dans son texte fondamental sur la notion de guerre.

    […]

    La guerre serait devenue illégale

    La disposition constitutionnelle de l’article 35 de la Constitution n’a jamais été appliquée depuis le début de la Ve République, la déclaration de guerre étant tombée en désuétude.

    Au niveau international, les États membres signataires de la Charte des Nations Unies s’obligent à régler leurs différends pacifiquement afin d’assurer la paix et la sécurité internationale…

    […]

    La modernisation de l’article 35 par la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008

    S’il n’y a plus de déclaration de guerre, comment associer le Parlement à la décision d’intervention militaire de la France à l’étranger ? La révision de 2008 a complété cet article par trois alinéas a permis de moderniser la Constitution avec les réalités du terrain et d’accroître le contrôle du Parlement sur les OPEX (Opérations Extérieures).

    La réforme n’en a pas moins ignoré le concept de guerre, comme si celui-ci n’était pas un sujet institutionnel.

    En cherchant au-delà du texte de notre norme suprême, on trouve dans le Code de la défense un titre intitulé « Guerre » (livre 1er de la partie II), mais il ne comporte que trois articles en partie législative et un seul en partie réglementaire.

    Comment expliquer que le régime d’exception qu’est la guerre soit très sommairement décrit en droit ?

    Lire l’article entier sur contrepoints.org

  • L'OTAN, C'EST LA GUERRE ! L'OTAN, C'EST LA GUERRE SANS FIN AU SERVICE DE L'IMPERIALISME YANKEE !

    Publiépar Guy de Laferrière le 29 janvier 2023

     

     
     
    L'OTAN, C'EST LA GUERRE !
    L'OTAN, C'EST LA GUERRE SANS FIN AU SERVICE DE L'IMPERIALISME YANKEE !
    "Les pays occidentaux doivent être prêts à fournir un soutien à long terme à l'Ukraine en raison des hostilités en cours" a déclaré le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg.
    Selon la serpillière de Yankeeland, la mobilisation partielle lancée en Russie en septembre montre que les autorités du pays n'ont aucune intention de mettre fin au conflit armé.
    "Les troupes ukrainiennes mènent une contre-offensive depuis plusieurs mois, mais nous savons aussi que la Russie s'est mobilisée et a reconstitué les rangs de l'armée, beaucoup de ceux qui sont mobilisés suivent actuellement une formation" a déclaré Stoltenberg, affirmant que cela indique la volonté de Moscou de poursuivre les hostilités.
    "Kiev a besoin d'une aide militaire supplémentaire de l'Occident" estime Stoltenberg. Ce serait le seul moyen de convaincre la Russie "de s'asseoir à la table des négociations et de reconnaître l'Ukraine comme un État indépendant souverain en Europe".
    Le ReichFührer de l'OTAN, outil de la domination politico-militaire de l'impérialisme yankee sur l'Europe, nous parle d' "indépendance" et de "souveraineté" en Europe ?
    Une Europe indépendante et souveraine de Vladivostok à Lisbonne est possible : sans l'UE, sans l'OTAN, sans le "parti américain" qui contrôle les media et les grandes institutions de nos pays, sans les "élites" kollabos du mondialisme américain !
    La Russie, c'est la Résistance pour sa survit en tant qu'Etat indépendant et souverain justement !
    La Russie, c'est le flambeau de nos libertés perdues en Europe !
    La Russie, c'est l'Europe combattante !
  • Censure, guerre et climat : Ursula von der Leyen trace les contours de la dictature UE-OTAN

    Publié par Guy de Laferrière le 11 janvier 2023

    Ce mardi (10 janvier 2023), le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, le président du Conseil européen, Charles Michel, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se sont rencontrés au siège de l’Organisation pour signer la troisième déclaration conjointe sur la coopération entre l’OTAN et l’Union européenne (UE).

    Lors de la conférence de presse qu’ils ont donnée ensemble, M. Stoltenberg a déclaré : « Nous sommes déterminés à porter le partenariat entre l’OTAN et l’UE à un niveau supérieur. »

     « Par la voix de leurs dirigeants, l’OTAN et l’UE ont résolu de travailler sur les questions liées à l’intensification de la compétition géostratégique, à la résilience et à la protection des infrastructures critiques. Parmi les autres domaines de coopération prioritaires figurent les technologies émergentes et les technologies de rupture, l’espace, les incidences du changement climatique sur la sécurité, l’ingérence d’acteurs étrangers et la manipulation de l’information par de tels acteurs.», peut-on lire sur le site web de l’OTAN.

    Sur les images vidéos de la conférence de presse, on peut entendre Usrula von der Leyen déclarer : «Nous allons approfondir notre excellente coopération et l’étendre à de nouveaux domaines». Ursula von der Leyen qui s’adresse  au secrétaire de l’OTAN Stoltenberg en l’appelant affectueusement Jens.

    L’Union Européenne veut porter son «excellente coopération» avec l’OTAN à un autre niveau, fait notable, bien au-delà du militaire, pourtant seule raison d’être de l’Alliance atlantique.

    Avec l’UE, l’OTAN va ainsi pouvoir se mêler, selon Ursula von der Leyen, de la «lutte contre la désinformation», ce qui se traduit par la censure et la reprise en main d’internet.

    «Nous sommes pleinement conscients que la crise climatique et les événements météorologiques extrêmes favorisent la pauvreté, les troubles et l’instabilité de régions entières», a-t-elle prétendu.

    Donc, curieusement, l’OTAN gérera également les «implications sécuritaires de la crise climatique».

    Avec des blindés ?

     

    Source : medias-presse.info

  • L’OTAN s’apprête à déclarer officiellement la guerre à la Russie

    Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2022

     
     

    Selon plusieurs sources1 de haut niveau l’OTAN aurait pris la décision d’entrer officiellement dans le conflit aux côtés de l’Ukraine, dans les semaines voire les jours qui viennent.

    La raison principale en serait la très prochaine offensive générale russe que prévoit l’OTAN et qui selon elle décimerait l’armée ukrainienne non seulement dans le Donbass mais également du côté de Kiev (de nombreuses unités Russes sont en situation de combat en Biélorussie aux frontières avec l’Ukraine).

     

    Or l’OTAN a toujours été très claire : L’Ukraine NE PEUT PAS PERDRE. Pour Washington la seule solution serait donc que les forces de l’OTAN entrent en Ukraine, en espérant que cela fasse cesser l’offensive russe. Le calcul est que Vladimir Poutine ne voudra pas affronter directement l’OTAN avec les conséquences (nucléaires) possibles, et donc reculera alors.

    Mais une entrée en guerre peut sembler impossible au vu de plusieurs choses : D’une part l’OTAN elle-même parle d’insuffisance actuelle de munitions et de matériel suite à ses livraisons massives à l’Ukraine. D’autre part les peuples d’Europe ne sont probablement pas prêts à soutenir une guerre, étant actuellement plus préoccupés par leur survie hivernale.

    Nous avons pu interroger, sous diverses casquettes, plusieurs officiers supérieurs en activité dans l’armée française :

    1- « Actuellement, l’armée française est divisée en trois groupes : les va-t-en guerre qui sont souvent des officiers de bureaux qui n’ont jamais vu une guerre de près ou de loin ; ceux qui veulent être neutres parce qu’ils considèrent que l’armée ferait mieux de défendre les intérêts français ; et ceux qui ont fait le « terrain » en Afrique où ailleurs qui ne veulent pas en entendre parler car pour eux ce conflit ne nous regarde pas et nous n’avons pas à nous en mêler.

     

    Les exercices de préparation à une « guerre de haute intensité » durent depuis le mois de mars. Ils ont d’abord eu lieu dans le Centre de la France sur des bases militaires dans des départements peu peuplés. Les exercices consistent surtout dans de la guérilla urbaine et des attentats !

    Si Macron veut une « trêve » c’est pour la rejouer à l’envers à Poutine. Une trêve ne servira qu’à renflouer les stocks d’armement des USA et de l’UE qui sont quasi exsangues et ils ont besoin de temps pour les reconstituer. C’est l’erreur à ne pas commettre car ça renforcera l’OTAN. »

    D’après lui, si « Poutine est intelligent » (et ça il n’en doute pas), il frappera massivement dès maintenant pour éviter que l’OTAN n’ait le temps de se retourner.

    Selon lui Macron a bien envoyé 10 malheureux chars Leclerc à l’OTAN. C’est paraît-il ce qui se fait de mieux (???) ! Problème, les pièces détachées viennent de Chine. Donc, si les chinois jouent le jeu avec Poutine on ne pourra pas les réparer.

    Au sujet des munitions : « Les stocks de munitions étant ce qu’ils sont on va se battre avec quoi ? »

     

    En outre la trêve de l’hiver aurait servi à transférer des systèmes Patriot et autres qui ne sont pas encore en route.

    2- Selon d’autres sources (base aérienne française), les officiers de l’armée de l’air reçoivent des cours intensifs de langue russe.

    3 – Selon d’autres sources (armée de terre) des commandes de munitions de pays africains ont été annulées par les autorités françaises, les munitions envoyées en Roumanie où stationnent des forces françaises.

    4- Selon un autre officier superieur en activite « Il reste 60 avions de chasse Rafale en France dont au moins 30 ne sont plus opérationnels parce que nous n’avons plus les moyens financiers de les entretenir. En fait, lors du défilé du 14 juillet dernier, tous les avions en état de voler ont fait leur petite démonstration pour donner l’image d’un pays avec une armée « forte », alors que nous sommes totalement exsangue. Les F35 américains ont d’énormes problèmes techniques et sont inutilisables. Les 200 chars en notre possession ne sont pas non plus opérationnels parce que stockés depuis très longtemps dans de mauvaises conditions et en plus, faute d’argent, on ne peut pas les remettre en état ».

    Le moins que l’on puisse dire est que l’armée française n’est pas très encline à nous affronter. Ceci dit, les gouvernements européens et américains ont un agenda à suivre, rendu urgent par d’une part le crash annoncé du dollar et d’autre part par la débâcle économique en cours qui ne va que s’accentuer dans les pays occidentaux. Un état de guerre permettrait de déclencher la loi martiale et un contrôle global de la population tel qu’il a été mis au point ces dernières années sous le prétexte du « covid ». Ils peuvent aussi penser qu’un état de guerre ressouderait les citoyens derrière eux.

    On constate aujourd’hui qu’Europe et États-Unis parlent quasiment chaque jour de nègociations et de « trêve de Noël ». Ceci est bien entendu une arnaque, une telle trève permettrait de renflouer les forces ukrainiennes avec de nouvelles munitions. Aux États-Unis les usines d’armement tournent jour et nuit. La Russie a plusieurs fois répondu « pas de trève » et « il n’y a rien à négocier tant que l’Ukraine reste sur ses positions ».

    Une hypothèse est que l’OTAN imagine que son entrée en guerre fera immédiatement capituler la Russie par « peur ». Dans cette hypothèse les pays occidentaux feront alors main basse sur la Russie et ses ressources, Poutine ayant disparu de la scène. Un gigantesque coup de bluf en somme.

    Une autre hypothèse est que tout ceci relève d’une intoxication de l’OTAN visant à faire annuler la prochaine offensive générale des forces Russes qui semble déjà « terroriser » les forces de l’OTAN.

    Dans tous les cas, ceci est un très mauvais calcul puisqu’il est clair que la Russie ira jusqu’au bout de la mission assignée par Vladimir Poutine. Compter que nos forces reculeront face à quelques régiments de l’OTAN dont la Russie connait les problèmes d’armement est un calcul ridicule… et qui s’avèrera très vite extrêmement meurtrier.

    Sur le terrain, mis à part les territoires passés sous contrôle russe nous sommes en fait dans la même situation qu’au début 2022 : L’Ukraine bombardait massivement Donetsk et nous savions que l’Ukraine allait attaquer en mars 2022 ; nous avons donc attaqué les premiers, fin février. Aujourd’hui l’Ukraine bombarde massivement Donetsk et il semble possible que l’OTAN prépare une attaque générale ou essaye de gagner du temps le temps que ses stocks soient reconstitués. Que pensez-vous que nous ferons…?

    Nous serons fixés très vite et voici un petit cadeau de fin d’année qui, je n’en doute pas, intéressera les autorités françaises qui lisent cet article. Image extraite d’un dossier très complet fourni par des français amis de la Russie que nous remercions chaleureusement. Ce n’est qu’un exemple parmi beaucoup d’autres et les autorités françaises comprendront la situation de ce qui arrivera si (ou quand…) l’OTAN entrera dans la danse. Les amis français qui habitent dans la région devraient prendre des vacances…

    Je remercie Valerya B. pour son aide à rédiger cet article.

    source : Rusreinfo