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guerre

  • Poutine prévient l'UE : si elle veut la guerre, "nous sommes prêts"

    Publié par Guy Jovelin le 03 décembre 2025

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  • Quand le chef d’état-major des armées françaises, le général Fabien Mandon, explique qu’il faut se préparer à la guerre contre la Russie et « accepter de perdre nos enfants »

    Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2025

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    Quand le chef d’état-major des armées françaises, le général Fabien Mandon, explique qu’il faut se préparer à la guerre contre la Russie et « accepter de perdre nos enfants », on n’est plus dans la lucidité stratégique, on est dans le délire dangereux.
    Et le plus lunaire, c’est de venir tenir ce genre de propos au Congrès des maires, devant les élus locaux qui se battent au quotidien pour faire vivre leurs communes, pas pour entendre qu’on s’apprêterait à envoyer leurs enfants au front.
    La réalité, c’est que la France n’a absolument pas les moyens de mener une guerre majeure, encore moins contre une puissance nucléaire comme la Russie - qui d'ailleurs ne nous menace en rien. Nos stocks, nos effectifs, notre industrie de défense : tout montre l’inverse des fanfaronnades guerrières de ce général frappadingue.
    Qu’un gradé de ce niveau tienne un discours pareil, c’est terriblement inquiétant. On a besoin de chefs ancrés dans le réel, pas de va-t-en-guerre qui jouent avec la vie des enfants des autres.
    Cette dérive n’est pas un accident : c’est le produit de la macronie. Emmanuel Macron a choisi ce profil pour diriger les armées, fidèle à sa logique de fuite en avant, de communication guerrière et de posture viriliste totalement déconnectée de nos moyens.
    Il est urgent de tourner la page :
    – des généraux hors-sol,
    – des discours suicidaires,
    – de la politique macroniste de gesticulation militaire.
    Place à des responsables raisonnables, pragmatiques, terre-à-terre, qui défendent réellement la France – pas des scénarios de guerre totale que notre pays est incapable d’assumer.
     
    Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France
  • Si des avions étaient visés, « ce serait la guerre » : l’ambassadeur russe en France avertit l’Otan

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2025

    Interrogé ce jeudi 25 septembre par « RTL », Alexey Meshkov a répondu à Donald Trump, qui mardi 23 septembre encourageait les membres de l’Otan à abattre les avions russes survolant leurs espaces aériens.

    « Ce serait la guerre », a répondu l’ambassadeur de Russie en France à la question : « Et si l’OTAN abattait un avion russe violant son espace aérien ? »

     

  • Lavrov commente les propos « nerveux » de Macron et le plan de maintien de la paix en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2025

    Auteur : 

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    Selon le ministre russe des Affaires étrangères, la rhétorique nucléaire du dirigeant français constitue une menace pour la Russie, alors que Moscou reste ouvert à un dialogue franc avec toutes les parties.

    Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié de « longues et plutôt nerveuses » les déclarations du président français Emmanuel Macron sur la crise ukrainienne.

    Voici les points clés des déclarations du ministre russe des Affaires étrangères.

    Lavrov commente les propos « nerveux » de Macron et le plan de maintien de la paix en Ukraine

    Les menaces de Macron

    « Le président Macron a déclaré hier, dans sa longue déclaration plutôt nerveuse, qu’il ne fallait pas laisser la guerre se terminer par la capitulation de l’Ukraine », a déclaré M. Lavrov lors d’une conférence de presse jeudi. « Il y a un écart important entre une « défaite stratégique de la Russie » et la capitulation de l’Ukraine, en général, et au moins ils ont trouvé le courage de franchir cette distance », a-t-il ajouté.

    Contrairement à ses prédécesseurs, qui ont également cherché à affronter la Russie – Napoléon, Hitler – Macron « n’agit pas de manière très diplomatique », a déclaré M. Lavrov. « Parce qu’ils ont déclaré ouvertement : “Nous devons conquérir la Russie, nous devons vaincre la Russie”. Et il semble vouloir la même chose, mais pour une raison quelconque, il dit qu’il faut combattre la Russie pour qu’elle ne surclasse pas la France, que la Russie représente un danger pour la France et l’Europe », a expliqué le chef de la diplomatie russe.

    Quant à la rhétorique nucléaire de Macron, elle représente une menace pour la Russie, a affirmé M. Lavrov. « S’il nous perçoit comme une menace et convoque une réunion des chefs d’état-major européens et britanniques en affirmant qu’il est nécessaire d’utiliser des armes nucléaires contre la Russie, cela constitue assurément une menace », a-t-il déclaré.

    Et le président français « pourrait prendre des mesures totalement imprudentes » pour réparer sa « réputation irrémédiablement endommagée », a ajouté M. Lavrov.

    Macron a affirmé à plusieurs reprises qu’il allait tendre la main au président russe Vladimir Poutine, mais il ne l’a pas encore fait, a souligné le ministre. « Il a de telles possibilités, comme on dit, personne ne l’en empêche », a-t-il fait remarquer.

    Lavrov a également remis en question les propos de Macron selon lesquels la Russie est une menace pour l’Union européenne. « Il est tout à fait évident pour toute personne rationnelle que la Russie n’a pas besoin de cela », a ajouté le ministre russe.

    Résoudre la crise ukrainienne

    La Russie est prête à « une discussion franche sur les causes profondes de la crise ukrainienne », a souligné M. Lavrov. « Pendant toutes ces années, nous avons toujours été ouverts aux négociations. Nous avons salué la position de l’administration Trump, qui, contrairement à l’équipe Biden, a exprimé son désir de paix plutôt que de guerre. Nous aussi, nous plaidons pour la paix », a-t-il déclaré.

    En ce qui concerne la décision de Washington de suspendre l’aide militaire à Kiev, cette pause confirme « que sans l’implication directe de l’Occident – ​​en particulier des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Allemagne et d’autres pays qui fournissent des données de renseignement et aident à utiliser ces données pour lancer des missiles à longue portée contre notre territoire – les Ukrainiens n’auraient pas été en mesure de le faire. Cette reconnaissance est également très significative », a souligné M. Lavrov.

    Selon Lavrov, le conflit ukrainien pourrait prendre fin très rapidement si l’aide militaire occidentale était interrompue.

    La position de la plupart des pays européens, qui considèrent que « la paix en Ukraine est pire que la guerre », n’est plus surprenante, a-t-il déclaré.

    Déploiement de troupes en Ukraine

    La Russie ne voit aucune possibilité de compromis sur la question du déploiement de troupes européennes en Ukraine : « Cette discussion est menée avec une intention ouvertement hostile, et ils ne cachent pas leurs véritables motivations », a souligné M. Lavrov.

    « Cela signifierait une implication directe, officielle et ouverte des pays de l’OTAN dans la guerre contre la Russie », a-t-il souligné.

    La Russie considérera le déploiement de soldats de la paix de l’UE sur le territoire ukrainien de la même manière qu’elle percevrait la présence potentielle de forces de l’OTAN sur place. « Cette évaluation est valable quels que soient les drapeaux sous lesquels l’opération sera menée, qu’il s’agisse des drapeaux de l’UE ou des drapeaux nationaux des pays contributeurs. Peu importe les insignes, y compris les symboles de la bandera, qui peuvent apparaître sur les manches de leurs uniformes. Ils seront toujours considérés comme des troupes de l’OTAN », a-t-il conclu.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Un prétexte pour prolonger la guerre

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2025

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    Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
    Une puissance régionale, pas un empire expansionniste
    L’argument selon lequel la Russie ambitionnerait d’envahir l’Europe repose sur une ignorance crasse de la réalité stratégique. La Russie n’est pas l’Union soviétique. Son PIB est celui de l’Espagne, son armée est loin d’être la machine de guerre invincible qu’on nous décrit, et son économie repose principalement sur les exportations de matières premières. À quel moment une telle puissance aurait-elle les moyens – et l’intérêt – de partir à la conquête de l’Europe ?
    Même en Ukraine, la Russie n’a pas mené une guerre d’annexion totale. Ses objectifs ont toujours été limités : sécuriser le Donbass russophone et garantir que l’Ukraine ne devienne pas un avant-poste de l’OTAN. Loin d’une marche triomphale vers l’Atlantique, la guerre a démontré que l’armée russe rencontre déjà des difficultés face à une Ukraine surarmée par l’Occident. Imaginer qu’elle puisse se lancer dans une conquête de Varsovie, Berlin ou Paris relève du délire.
    Un prétexte pour prolonger la guerre
    L’idée d’une Russie impérialiste avide de conquête était avant tout un outil de propagande destiné à maintenir l’Europe sous tutelle américaine. Depuis 2022, les États-Unis - sous l'administration Biden - et leurs alliés ne cessent d’alimenter l’Ukraine en armes, au prix d’une escalade permanente. Plutôt que de favoriser la paix, ils ont attisé le conflit en prétendant qu’il s’agissait d’un combat existentiel contre un nouvel Hitler.
    Or, qui veut réellement la paix aujourd’hui ? Les peuples européens, qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre. Les Ukrainiens, sacrifiés sur l’autel d’une stratégie qui ne vise qu’à affaiblir Moscou. Donald Trump qui a fait de la paix en Ukraine l'un de ses axes de campagne. Et même les Russes, qui n’ont aucun intérêt à voir ce conflit s’enliser indéfiniment.
    La peur comme instrument de domination
    Le discours sur une menace russe imminente n’est qu’un énième moyen de soumettre les opinions publiques européennes. Depuis des décennies, nos dirigeants ont recours à la peur pour justifier leurs politiques de contrôle de la population : après la crise sanitaire, voici venu le spectre de l’invasion russe. L’objectif est clair : maintenir les peuples sous pression et légitimer des dépenses extravagantes au profit d'un régime ukrainien ultra-corrompu et au détriment des priorités nationales.
    La vérité, c’est que la Russie ne veut pas conquérir l’Europe. Elle veut simplement que l’Occident cesse d’étendre son influence à ses portes. La solution à ce conflit ne viendra pas des va-t-en-guerre de Bruxelles ni d'ailleurs, mais d’un retour à la diplomatie et au réalisme. Plus tôt nous comprendrons cela, plus tôt nous pourrons mettre fin à cette tragédie absurde.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France