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hongrie - Page 7

  • Agenda Lgbt de l’Union Européenne contre Pologne et Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Le premier jour du Conseil européen à Bruxelles, jeudi 1er octobre a été marqué par la lutte entre le respect de l’Etat de droit des Etats et des cultures nationales d’un côté et de l’autre des institutions communautaires, de plus en plus voraces de pouvoirs et de plus en plus enclines à imposer leurs propres idéologies et valeurs négatives à tous les citoyens européens. Une fois de plus, l’affrontement titanesque voit la Commission européenne d’une part et la Pologne et la Hongrie d’autre part, soutenues par les autres pays d’Europe centrale et orientale.  

    Ces dernières semaines, la Commission et le Parlement ont intensifié l’affrontement avec Varsovie et Budapest, prouvant qu’ils ne respectent aucunement les peuples polonais et hongrois derrières les gouvernements légitimement élus et leurs dirigeants. Ils envisagent de priver ces deux pays d’accès aux fonds européens s’ils ne soumettent pas aux injonctions idéologiques de l’union Européenne. 

    A la Pologne, une fois de plus et après la réduction des fonds européens aux communautés locales qui ont approuvé la Charte de la famille (appelée instrumentalement zones franches LGBTI ), des ambassadeurs inconscients de 50 pays et organisations ont envoyé une lettre publique pour le respect des droits arc-en-ciel . Dans la lettre, ils se plaignent de la privation et des limitations des droits des personnes Lgbtqi+, alors que le chef du parti Lgbtqi polonais (Printemps) Robert Biedroń n’a obtenu que 2,9% des voix lors des dernières élections présidentielles et n’a jamais déposé de plainte. Dans ce climat de chasse aux sorcières, les ambassadeurs écrivent :

    « Les droits de l’homme sont universels et tout le monde, y compris les personnes Lgbtqi, a droit d’en jouir pleinement. »

    Il n’y a pas de dénonciation explicite, seulement une invitation publique au gouvernement polonais à « développer un climat de plus grande tolérance envers les personnes et l’idéologie Lgbtqi. »

    La réponse à cette initiative insultante des ambassadeurs est venue directement du gouvernement polonais :

    « La Pologne est un pays très tolérant, elle a interdit toute discrimination et a expérimenté de première main ce que signifie la souffrance, aussi nous n’accepterons aucune pression de la part d’un pays ou d’une institution internationale pour nous imposer une idéologie de gauche. »

    En Hongrie, ces derniers jours, à la suite d’un essai du Premier ministre Orban sur la crise de la démocratie libérale et la nécessité d’une refondation démocratique et chrétienne, publié par divers journaux dans différentes langues, un tollé a éclaté. Viktor Orban ne fait que répéter le concept déjà exprimé ces dernières années, lors des séminaires d’été avec les jeunes de son parti Fidesz : la démocratie libérale est en crise et de libérale elle est devenue totalitaire, en Europe il y a des acteurs mondialistes (Soros) qui régissent nombre des décisions des institutions communes et il y a la volonté d’anéantir les peuples d’Europe centrale et de les soumettre à de nouvelles puissances de gauche, anti-chrétiennes et antinationales. Que n’avait-il pas dit ! Les commentaires dans la presse européenne étaient imaginables parlant de perplexité, d’offenses, d’étonnement.   

    Inimaginable fut en revanche le commentaire de la vice-présidente et commissaire européenne aux valeurs Vera Jurova qui, dans un entretien avec Der Spiegel, a expliqué comment le vrai problème européen est Orban et son « allergie aux principes démocratiques. En Europe il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie ».

    La réponse d’Orban ne s’est pas fait attendre et le 28 septembre, il a envoyé une lettre ferme au président Von der Leyen demandant la destitution de Jurova et déclarant qu’après les insultes reçues par lui-même et ses concitoyens, il fermerait toutes les relations avec le commissaire européen susmentionné. La Commission a réagi comme elle le fait dans ces circonstances, suggérant que le président Von der Leyen a pleinement confiance dans le travail du vice-président Jurova. Mercredi dernier, une majorité d’Etats membres de l’UE a parallèlement approuvé une proposition avancée par l’Allemagne, actuelle présidente du bloc, sur les modalités permettant de conditionner le versement de fonds européens au respect de l’Etat de droit.

    Ces deux derniers jours les raisons des attaques à la fois insensées et hors du temps de la Commission contre la Pologne et la Hongrie ont été élucidées : jeudi dernier, les premières indiscrétions sur les conclusions de la Commission envers les 27 pays et le respect de l’Etat de droit ont filtré.

    Les premières évaluations sur le respect de l’Etat de droit, qui ont émergé avec le Rapport du 30 septembre, ont  provoqué la juste colère de la Pologne et de la Hongrie. Pour tous les autres pays une simple petite tape ou un peu plus, pour les Polonais et les Hongrois une condamnation sans appel. Ce n’est pas un hasard si les ministres de la Justice des deux pays ont déclaré conjointement :

    « Le rapport soulève de graves préoccupations concernant son concept, sa méthodologie, ses sources et son contenu et ne peut servir de base à d’autres discussions au sein de l’Union européenne sur l’Etat de droit. »

    La Hongrie a également menacé de bloquer le processus des négociations avec le Parlement européen sur le projet de budget pluriannuel de l’UE et sur le fonds de relance économique décidé en juillet, qui représentent ensemble 1.800 milliards d’euros, avec un veto si le versement des fonds est conditionné. « Ce n’est pas la règle de l’Etat de droit, c’est la règle du chantage », a déclaré une porte-parole du gouvernement hongrois.

    La Pologne et la Hongrie n’acceptent pas de subir passivement un procès politique de style néo-soviétique. Ni l’agenda Lgbtqi+ de l’union Européenne.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2020

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    Hongrie : Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%

    L’Ambassadeur Edouard de Habsbourg-Lorraine parle de la politique familiale exceptionnelle de la Hongrie dans un entretien à IFamNews :

    Avant l’élection d’Orbán, la Hongrie était au bord de l’effondrement démographique. Ses politiques en faveur de la famille ont-elles eu un effet positif?

    Tout d’abord – la crise démographique ne touche pas seulement la Hongrie. Le pape François l’a dit laconiquement devant les ambassadeurs de l’UE: « Gli Europei non fanno piu figli » (« Les Européens ne font plus d’enfants »). La Hongrie n’est active dans ce domaine que depuis quelques années, car un pays sans familles fortes ne fonctionne tout simplement pas. Et les résultats sont absolument spectaculaires. Entre 2010 et 2018, le taux d’avortement a chuté de 33,5%, les mariages ont augmenté de 43% et les divorces ont également chuté de manière significative – de 22,5% entre 2010 et 2017. Et c’était AVANT la nouvelle initiative familiale des deux dernières années. En 2019, il y a eu 84% de mariages en plus par rapport à 2010 en raison de ces nouvelles mesures. Et en 2020, la fécondité, le nombre d’enfants par femme, est de 20% plus élevée qu’en 2010. Oui, vous pouvez changer les choses. […]

    Quel élément de la politique familiale s’est jusqu’à présent révélé particulièrement efficace?

    Si un État souhaite encourager les familles à se lancer dans l’aventure des (grandes) familles, il doit d’abord y mettre les moyens. Un mélange d’allégements fiscaux et de soutien financier direct est très important. Quelques exemples: à partir du troisième enfant, vous ne payez pratiquement aucun impôt sur le revenu, une femme avec quatre enfants ne paie plus d’impôts. Il existe des prêts pour les jeunes couples mariés que vous n’avez pas à rembourser à partir du troisième enfant. Il existe également des prêts pour la construction de maisons, un soutien financier pour les grandes voitures familiales. Les grands-parents reçoivent un soutien pour la garde d’enfants.

    Mais il est également important qu’il soit socialement bien accepté d’avoir de nombreux enfants. La famille est particulièrement encouragée dans la Constitution. Et tout est toujours plus facile lorsque des personnalités publiques se présentent comme pro-famille. Le Premier ministre Orbán est clairement et visiblement père de famille et pro-famille, notre ministre de la Famille et bien d’autres se montrent comme pro-famille et comme mères et pères de famille. Cela donne l’exemple et encourage les gens.

     

    Source : lesalonbeige

  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

    Zoltan Kovacs, porte-parole du gouvernement Orban, a annoncé jeudi le resserrement des lois migratoires hongroises, via un tweet.

    Zoltan Kovacs@zoltanspox

    The transit zone will be abolished, and in the future, asylum seekers will be able to submit their applications in neighboring countries, said Minister Gulyás. More on the BLOG: https://bit.ly/2TpT5CF 

    Selon ce qui a été publié par le haut fonctionnaire du gouvernement, les futures demandes d’asile ne peuvent plus être présentées sur le territoire magyar et donc les aspirants réfugiés, à partir d’aujourd’hui, ne pourront faire valoir leurs demandes de protection internationale que dans les consulats de Budapest présents dans les pays voisins avec la Hongrie, comme la Serbie.

    La déclaration publiée sur le web par Kovacs fait référence à une déclaration publiée à nouveau jeudi par Gergely Gulyás , chef de cabinet d’Orban.

    Au moyen de la note en question, Gulyás a précisément annoncé, après avoir vivement critiqué la décision de l’UE qui a défini la détention d’immigrants illégaux par Budapest comme illégale, qu’il n’y aura bientôt plus de zones de transit le long des frontières hongroises où les migrants pourront déposer leur demande d’asile. A l’avenir ils ne pourront le faire qu’en se rendant dans les bureaux consulaires hongrois opérant dans les “pays sûrs” qui bordent la nation gouvernée par le Fidesz.

    Ce serrement de vis pour contrer l’immigration illégale annoncé par les représentants de l’exécutif d’Orban a immédiatement, souligne le New York Times, mis en colère les organisations humanitaires, tel le Comité hongrois d’Helsinki qui, par la bouche de son porte-parole Zsolt Zadori, a qualifié de « violation de la Convention de Genève sur réfugiés  » la volonté de Budapest de forcer les immigrants à demander l’asile en dehors de la Hongrie.

    Kovacs a immédiatement répondu à cette critique en affirmant la conformité de l’initiative du cabinet Orban avec le texte du traité mentionné par Zadori, tout en précisant que les autorités de Budapest interpréteraient la Convention dans un sens diamétralement opposé à celui suivi par le porte-parole de l’ONG :

    « La Hongrie est entourée de nations sûres. La Convention de Genève stipule que les aspirants réfugiés doivent présenter leur demande dans le premier pays d’arrivée sûr. Nulle part il n’est écrit que les migrants ont le droit de choisir où demander l’asile et donc de violer les lois nationales sur l’immigration, devenant par conséquent des clandestins à repousser. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie refuse la convention d’Istanbul pro-gender

    Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2020

    Le Parlement hongrois,  ces derniers jours, malgré une diffusion malsaine de « fausses nouvelles », a approuvé une résolution, promue par le Parti chrétien-démocrate, qui engage le gouvernement à ne pas ratifier la Convention d’Istanbul et à s’opposer à l’idéologie du « genre ».

    La Hongrie poursuit inlassablement son chemin dans la promotion et la défense de certains principes chrétiens non négociables. Il est maintenant probable qu’une nouvelle vague d’insultes se répandra sur la Hongrie et son Premier ministre Orban, comme cela s’est déjà produit récemment lors de la défense de la sexualité biologique. Le parti Fidesz du Premier ministre, par l’intermédiaire de Zsolt Semjén, vice-Premier ministre, a rédigé un projet de loi qui a été présenté au Parlement le 5 mai. Il s’agit de définir le sexe féminin ou masculin comme exclusivement lié au sexe biologique. Si la norme venait à passer, ce serait un signal pour tous les partis qui, tout en rejetant l’imposition du politiquement correct, supposent que pour être ou rester au pouvoir, il est cependant nécessaire de se conformer en quelque sorte aux revendications du monde arc-en-ciel. Revendications qui, sous le nom de droits, nient la réalité des faits, produisant ainsi une discrimination contre ceux qui ne s’y alignent pas.

    Ce projet de loi vise en fait à changer le mot  « nem », qui signifie à la fois « sexe » et « genre », par le mot « szuletesi nem », ou « sexe de naissance », de sorte que lui seul apparaisse sur les documents d’Etat civil.  Ce changement permettrait d’affermir sans ambiguïté la vérité biologique sur l’identité de la personne qui, selon le parti majoritaire, ne peut être obscurcie même si le sujet la rejette. Le texte dit ceci : 

    « Changer de sexe biologique est impossible, les principales caractéristiques sexuelles et chromosomiques sont immuables et ne peuvent être modifiées par aucun greffe de l’état civil. »

    La Hongrie manifeste par ces deux décisions un attachement sans faille à la réalité naturelle.

    Si en Europe de l’Ouest la culture gay est à l’honneur et racole, par pressions successives, dans tous les domaines, social, judiciaire, politique, la Hongrie, mais également d’autres pays de l’Europe de l’Est, tout au contraire, en affirmant l’identité biologique au-dessus des chimères individuelles, résiste vaillamment à l’intimidation qu’exerce mondialement cette Gaystapo arc-en-ciel. Tout comme elle défend, face à ces mêmes mondialistes adeptes du « vivre-ensemble », son identité culturelle et religieuse en passe de disparaître sous les coups de butoir de l’invasion migratoire. Démonstration que les deux combats vont de pair et ne peuvent être dissociés.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Coronavirus – La Hongrie interdit l’exportation de l’hydroxychloroquine qu’elle conserve pour le traitement de sa population

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2020

    Le gouvernement hongrois a interdit l’exportation d’une matière première pharmaceutique utilisée pour soigner les patients atteints de coronavirus

    Le gouvernement a adopté une autre mesure extraordinaire dans le but de protéger l’offre de soins de santé du peuple hongrois pendant la durée de l’état de danger. Ils ont interdit l’exportation depuis la Hongrie d’une matière première pharmaceutique utilisée pour soigner les patients atteints de coronavirus.

    Selon le décret gouvernemental qui vient d’être publié, dans l’état de danger actuel, l’exportation depuis la Hongrie de l’ingrédient actif Hydroxychloroquine Sulphate ainsi que des médicaments et des produits intermédiaires pharmaceutiques contenant cet ingrédient actif est interdite. Cette matière première est utilisée pour la production de médicaments qui sont également utilisés dans le traitement des patients atteints de coronavirus dans plusieurs pays.

    La Hongrie étant l’un des plus grands exportateurs mondiaux de cette matière première, la protection de la population hongroise et de son approvisionnement en médicaments est la priorité numéro un.

     

    Source : medias-presse.info