GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hongrie - Page 4

  • Hongrie, une nouvelle présidente qui défend la famille

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2022

    Katalin Novak a été élue, jeudi dernier 10 mars 2022, présidente de la Hongrie, la plus jeune de l’histoire démocratique du pays. Chrétienne, elle a d’abord été ministre des Affaires étrangères puis de la Famille et de la Jeunesse, poste à partir duquel elle a mené les meilleures politiques en faveur de la famille et de la natalité. Elle est prête à un bras de fer avec l’Union Européenne pour les défendre.

    « Si nous renonçons à notre christianisme, nous perdrons notre identité, en tant que Hongrois, en tant qu’Européens », a déclaré Katalin Novak il y a deux ans dans une interview accordée à Catholic News Agency.

    Et bien cette même Katalin Novák, ancienne vice-présidente du Fidesz et ministre de la Famille, a été élue le 10 mars Président de la Hongrie avec une majorité des deux tiers des voix du Parlement.  Elle prendra ses fonctions le 10 mai. Dès le début, elle a abordé le thème cher au cœur hongrois :

    « Je ne serai jamais disposée à renoncer à la souveraineté de notre nation, je ne permettrai à personne de jouer à la « roulette russe » avec l’indépendance durement acquise de la Hongrie. … Nous appartenons à l’Europe et l’Europe nous appartient… Nous ne pouvons pas changer cela et nous ne voulons pas le changer. »

    Novák a commencé sa carrière politique en 2001(sous le premier gouvernement Orbán) au ministère des Affaires étrangères, où elle s’est spécialisée dans les affaires européennes, elle est depuis 2020 ministre hongroise de la Famille et de la Jeunesse.

    Katalin Novák est la première femme et, à 44 ans, également la plus jeune présidente de la Hongrie. Elle a trois enfants, parle quatre langues étrangères, court des marathons et… n’a pas oublié comment faire le ménage. Katalin Novák est née à Szeged en 1977, a étudié à l’Université nationale de la fonction publique (NKE) de Budapest, à l’Université de Szeged et à Paris et, après un bref engagement en tant que consultante au ministère des Affaires étrangères (2001-2003), a passé six ans à élever ses enfants à la maison (en partie en Allemagne) avant de revenir au ministère des Affaires étrangères en tant que conseillère du ministre en 2010 et chef de cabinet du ministre des Ressources humaines en 2012.

    Cependant, le changement de cap de Novak intervient en 2014, lorsqu’elle entre au gouvernement avec le rôle de secrétaire d’État à la famille et à la jeunesse du ministère des Ressources humaines, alors dirigé par Zoltan Balog. Depuis 2020, elle occupe le poste de ministre de la Famille et de la Jeunesse, dont elle a démissionné lors de sa nomination comme candidate à la présidence de la République par Victor Orban en novembre dernier, candidature ensuite partagée par le parti Fidesz et le parti chrétien-démocrate KDNP le 18 février. Déjà à cette époque, Novak avait clairement indiqué comment elle souhaiterait interpréter le mandat de sa présidence, dans une interview à l’hebdomadaire du parti Mandiner :

    « Nous devons nous préparer à une guerre froide idéologique… et défendre la fierté nationale, la protection des familles, la promotion du patrimoine national et des jeunes talents… [car] en Occident, la propagande LGBTQ cible les crèches et les écoles. Je suis convaincue que les parents devraient avoir le droit premier d’éduquer leurs enfants… Je suis prête à représenter la Hongrie et à servir la nation hongroise avec foi, esprit et cœur ».

    Katalin Novak s’est également engagée fermement à vaincre le fléau de la dénatalité et à promouvoir concrètement la famille avec enfants, à travers des mesures économiques diverses et continues et des efforts culturels remarquables.

    Si la politique familiale a pris de l’importance, c’est avant tout grâce à la détermination avec laquelle Katalin Novak a promu ses initiatives. C’est la seule façon de comprendre le choix fait par Orban d’introduire le nouveau Ministère de la Famille et de la Jeunesse en 2020. Grâce à Novak, le gouvernement Orban est parmi les plus respectueux de l’égalité des sexes, à commencer par les femmes et les mères : en 2016 au-delà du 60 % des femmes inactives sur le marché du travail ont reçu une aide pour s’occuper de leurs enfants. 13 % travaillaient à temps partiel. Ces chiffres augmentent grâce au soutien gouvernemental qui permet aux mères de l’être à temps plein. Les femmes ayant au moins trois enfants, le plus jeune de moins de 3 ans et le plus âgée de moins de 18 ans, peuvent demander à « travailler » en tant que mères à temps plein : en plus des prestations normales liées aux enfants, elles perçoivent un salaire mensuel égal à leur pension et peuvent encore effectuer d’autres métiers jusqu’à 30 heures par semaine. 73% des femmes partiellement ou totalement inactives sur le marché du travail bénéficient ainsi de la possibilité d’être rémunérées pour être mère.

    L’opposition, c’est-à-dire la coalition de tous (de la gauche socialiste aux libéraux et jusqu’à jusqu’au parti qualifié d’extrême-droite Jobbik) « contre Orban », a réagi à l’élection de Novak avec une grossièreté institutionnelle, affirmant que le nouveau président (pour les 5 prochaines années avec un vote de 137 voix sur 188), « ne sera jamais le président de tous les Hongrois ». Quant à la presse européenne, elle a délibérément passé sous silence l’élection de Katalin Novak, alors que dans les mêmes heures, elle encensait Gabriel Boric  et applaudissait la prochaine réforme socialiste et marxiste du Chili (avec la bénédiction des LGBTI, des avorteurs et de la haute finance « verte » ).

    Le monde occidental a perdu la lumière de la raison et, encore une fois, préfère faire appel et réinventer les idéologies du passé pour ne pas se tourner vers le bon sens du futur.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie pourrait envisager de quitter l’Union européenne

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2022

    La Hongrie pourrait envisager de quitter l’Union européenne

    chez-les-republicains-le-cas-viktor-orban-pose-toujours-probleme-230x180.jpg

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a laissé entendre que son pays pourrait quitter l’Union européenne. L’Union européenne mène « une guerre sainte, un djihad » sous le slogan de l’État de droit, a déclaré l’homme politique devant ses partisans à Budapest samedi.

    Il a demandé à l’UE de faire preuve de « tolérance » envers la Hongrie. Sinon il ne sera pas possible de poursuivre sur une voie commune. M. Orban s’exprimait quelques jours avant que la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) ne se prononce à Luxembourg sur le nouveau mécanisme d’État de droit de l’UE. Dans le cadre de ce dispositif, les pays qui violent les principes de l’État de droit peuvent se voir retirer des fonds du budget commun de l’UE. La Hongrie et la Pologne avaient déposé une plainte contre ce mécanisme, qui a été adopté en décembre 2020. La CJUE doit rendre sa décision mercredi.

    « Pour eux, l’État de droit est un moyen par lequel ils veulent nous pétrir en quelque chose qui leur ressemble ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Hongrie : Viktor Orban a lancé une politique nataliste à grand frais pour doper la démographie de souche

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Voyage dans la Hongrie de Viktor Orban : familles, je vous paie…

    Derrière ses murs de barbelés de la frontière serbo-hongroise, qui depuis 2015 coupent aux migrants la route vers l’Union européenne, le pays multiplie les incitations à investir dans la layette. Les jeunes mariés peuvent prétendre au « chok ». Ce système de prêt à taux réduit de 10 millions de forints (soit 30 000 euros) pour l’achat d’un logement neuf devient de plus en plus avantageux à mesure que la famille s’agrandit. Au troisième bébé, les mensualités sont automatiquement remboursées. Les mères de quatre enfants ou plus se voient exonérées d’impôt sur le revenu, et les grandes tribus ne payent plus ni cantine ni manuels scolaires. « Si on fait un petit dernier, je l’appellerai Chokie… » blague ce quinquagénaire, photographe à Budapest, à la tête d’une famille recomposée. (…)

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Hongrie : Viktor Orban dénonce l’attitude « ennemie » de l’Union européenne. « Bruxelles ferait bien de comprendre que même les communistes n’ont pas réussi à nous avoir »

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Viktor Orban hausse le ton. Le Premier ministre hongrois, en meeting à Budapest à six mois des législatives qui s’annoncent serrées, a dénoncé samedi 23 octobre l’attitude de l’Union européenne envers son pays et la Pologne, digne de l’URSS selon lui. “L’Union européenne nous parle et se comporte avec nous et les Polonais comme des ennemis”, a-t-il lancé, devant une foule de sympathisants, massés pour un rassemblement à l’occasion de la fête nationale qui commémore le soulèvement de la Hongrie contre l’URSS en 1956.

    “Bruxelles ferait bien de comprendre que même les communistes n’ont pas réussi à nous avoir. Nous sommes le David que Goliath ferait mieux d’éviter”, a-t-il ajouté, affichant son soutien à Varsovie dans le conflit qui l’oppose à Bruxelles sur l’indépendance des tribunaux et la primauté du droit européen.

    Plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient fait le déplacement et défilé auparavant dans les rues de la capitale.

    Franceinfo via fdesouche

  • Hongrie : François 0 invite le pays à abandonner son identité et se faire envahir

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2021

    Cet homme est un militant idéologique de la pire espèce, son action aura été un combat incessant et impitoyable contre les peuples d’Europe.

    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’feMonde ACTUALITÊS ECONOMIE VIDEOS OPINIONS CULTURE MLE MAG SERVICES Le pape François appelle les Hongrois à ne pas avoir < peur >> d'une société << multiculturelle De passage à Budapest, dimanche, le chef de 'Eglise catholique a cherché à convaincre ses interlocuteurs, et travers eux les Hongrois, l'accepter une certaine pluralisation religieuse et culturelle de la société. Par Cécile Chambraud (Budapest, envoyée spéciale) Publié aujourd'hui 03h54, mis jour 05h53 © Lecture 4 min. Article réservé aux abonnés’

    En visite en Hongrie, petit pays qui résiste (doucement) face à de terribles afflux de migrants musulmans, François n’a pu s’empêcher – avec un discours qui pourrait parfaitement émaner d’une loge maçonnique – de faire la leçon face à cette volonté de survivre et garder une certaine paix :

    « Face à la diversité culturelle, ethnique, politique et religieuse, nous pouvons avoir deux attitudes : nous fermer dans une défense rigide de notre prétendue identité, ou nous ouvrir à la rencontre des autres et
    cultiver ensemble le rêve d’une société fraternelle. »

    « Prétendue » identité ! François nie carrément l’identité des peuples européens ! Ignoble.

    Sur le plan religieux, il semble encore une fois, à rebours de la foi catholique, faire la promotion des autres religions :

    « Vous avez le devoir de favoriser les conditions pour que la liberté religieuse soit respectée et promue par tous. »

    Car, évidemment, il entend ici liberté religieuse pour toutes les opinions. Il contredit là encore frontalement la doctrine catholique, exprimée par exemple dans l’encyclique Mirari Vos de Grégoire XVI :
    « De cette source empoisonnée de l’indifférentisme, découle cette maxime fausse et absurde ou plutôt ce délire : qu’on doit procurer et garantir à chacun la liberté de conscience ; erreur des plus contagieuses, à laquelle aplanit la voie cette liberté absolue et sans frein des opinions qui, pour la ruine de l’Église et de l’État, va se répandant de toutes parts, et que certains hommes, par un excès d’impudence, ne craignent pas de représenter comme avantageuse à la religion. Eh ! « quelle mort plus funeste pour les âmes, que la liberté de l’erreur ! » disait saint Augustin »

     

    Source : contre-info