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hongrie - Page 4

  • Hongrie : François 0 invite le pays à abandonner son identité et se faire envahir

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2021

    Cet homme est un militant idéologique de la pire espèce, son action aura été un combat incessant et impitoyable contre les peuples d’Europe.

    Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’feMonde ACTUALITÊS ECONOMIE VIDEOS OPINIONS CULTURE MLE MAG SERVICES Le pape François appelle les Hongrois à ne pas avoir < peur >> d'une société << multiculturelle De passage à Budapest, dimanche, le chef de 'Eglise catholique a cherché à convaincre ses interlocuteurs, et travers eux les Hongrois, l'accepter une certaine pluralisation religieuse et culturelle de la société. Par Cécile Chambraud (Budapest, envoyée spéciale) Publié aujourd'hui 03h54, mis jour 05h53 © Lecture 4 min. Article réservé aux abonnés’

    En visite en Hongrie, petit pays qui résiste (doucement) face à de terribles afflux de migrants musulmans, François n’a pu s’empêcher – avec un discours qui pourrait parfaitement émaner d’une loge maçonnique – de faire la leçon face à cette volonté de survivre et garder une certaine paix :

    « Face à la diversité culturelle, ethnique, politique et religieuse, nous pouvons avoir deux attitudes : nous fermer dans une défense rigide de notre prétendue identité, ou nous ouvrir à la rencontre des autres et
    cultiver ensemble le rêve d’une société fraternelle. »

    « Prétendue » identité ! François nie carrément l’identité des peuples européens ! Ignoble.

    Sur le plan religieux, il semble encore une fois, à rebours de la foi catholique, faire la promotion des autres religions :

    « Vous avez le devoir de favoriser les conditions pour que la liberté religieuse soit respectée et promue par tous. »

    Car, évidemment, il entend ici liberté religieuse pour toutes les opinions. Il contredit là encore frontalement la doctrine catholique, exprimée par exemple dans l’encyclique Mirari Vos de Grégoire XVI :
    « De cette source empoisonnée de l’indifférentisme, découle cette maxime fausse et absurde ou plutôt ce délire : qu’on doit procurer et garantir à chacun la liberté de conscience ; erreur des plus contagieuses, à laquelle aplanit la voie cette liberté absolue et sans frein des opinions qui, pour la ruine de l’Église et de l’État, va se répandant de toutes parts, et que certains hommes, par un excès d’impudence, ne craignent pas de représenter comme avantageuse à la religion. Eh ! « quelle mort plus funeste pour les âmes, que la liberté de l’erreur ! » disait saint Augustin »

     

    Source : contre-info

  • Le pape François inflige un affront diplomatique à la Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2021

    Le pape François inflige un affront diplomatique à la Hongrie

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    Lu sur le Figaro à propos du voyage éclair du pape François en Hongrie :

    Jamais de mémoire vaticane on aura vu un tel affront diplomatique d’un pape vis-à-vis d’un chef de gouvernement régulièrement élu. En l’occurrence Viktor Orban, premier ministre hongrois. Le pape François a en effet refusé d’accorder le statut de visite d’État à son passage de quelques heures à Budapest ce dimanche matin, d’où il s’envolera dès le début d’après-midi pour trois jours en Slovaquie.

    François n’a ainsi pas suivi l’avis, fin juin, de ses services diplomatiques qui l’avertissaient qu’un tel traitement ne pouvait être infligé à une nation de 10 millions d’habitants, à 62 % baptisés catholiques. Et encore moins à la dignité d’une Église locale, héroïque, où la simple évocation du nom d’un prélat en voie de béatification – grand résistant contre le nazisme puis contre le communisme – le cardinal Jozsef Mindszenty, suscite le respect immédiat (…)

    Le pape François a évoqué dans son discours aux Hongrois “la menace de l’antisémitisme qui circule encore en Europe et ailleurs” dont la provenance a paradoxalement été identifiée par Viktor Orban, sans doute mieux que quiconque : l’invasion migratoire musulmane que subir l’Europe.

    Victor Orban a profité des quelques minutes que le pape François lui néanmoins a concédées pour lui demander “ne pas laisser périr les chrétiens de Hongrie” :

    François venait de rencontrer dans un huis clos total et dans le même musée des beaux-arts le président Hongrois Janos Ader et son premier ministre Victor Orban. En milieu de matinée dimanche peu d’informations avaient filtré de ce rendez-vous, pourtant très attendu, qui a duré un quart d’heure, le pape ayant plutôt marqué une forte distance vis-à-vis du premier ministre hongrois avant de quitter Rome. «J’ai demandé au pape de ne pas laisser périr les chrétiens de Hongrie», a rapporté de son côté le premier ministre sur son compte Facebook, où il a publié une photo de sa poignée de main avec le chef des 1,3 milliard de catholiques.

    Orban, qui se présente comme le rempart numéro un en Europe contre «l’invasion musulmane», a par ailleurs offert à François la copie d’une lettre de 1250 d’un roi hongrois envoyée au pape de l’époque, implorant l’aide de l’Occident contre les guerriers tatars menaçant la Hongrie chrétienne.

     

    Source : lesalonbeige

  • La Hongrie défie l’UE sur la loi de protection des mineurs par rapport à la propagande arc-en-ciel

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2021

    Comme il l’avait fait en 2016 pour rejeter les quotas de migrants décidés par l’Union européenne, Viktor Orbán n’a pas peur de la confrontation avec Bruxelles et appelle le peuple hongrois à se prononcer. Cette fois, l’affrontement avec l’UE concerne la loi pour la « protection des mineurs » et réprimant la pédophilie qui réglemente l’information sur la communauté Lgbtqi+ (lesbienne, gay, bisexuelle, trans, intersexe, queer, asexuelle, etc.). Le Premier ministre Orbán annonce un référendum sur la question : « Quand la pression contre notre patrie est si forte, seule la volonté commune du peuple peut défendre la Hongrie. »

    Entrée en vigueur le 8 juillet, la loi interdit de montrer ou de promouvoir, à l’école et dans les médias, des contenus qui représentent « des écarts par rapport à l’identité correspondant au sexe assigné à la naissance » si les destinataires sont mineurs. La mesure, jugée discriminatoire par l’UE, a été qualifiée de « honteuse » par la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen à tel point que Bruxelles a ouvert une procédure d’infraction contre la Hongrie, a reporté l’approbation du Fonds de relance (7, 2 milliards d’euros) à destination de Budapest et envisage l’introduction de sanctions après que le Parlement européen a voté une résolution exhortant l’Union à engager une action en justice contre le pays.

    Gouverné par la majorité absolue du Fidesz, le parti nationaliste et conservateur, la Hongrie souveraine fait peur à l’Europe mais n’entend pas reculer. Et choisi de s’en remettre à un référendum, faisant confiance aux Hongrois pour voter en faveur de cette loi.

    Le référendum est composé de cinq questions.

    1ère : « Soutenez-vous que les mineurs devraient suivre des cours sur le thème de l’orientation sexuelle sans le consentement des parents ? »

    2e : « Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de genre chez les mineurs ? »

    3e : « Soutenez-vous que la chirurgie de changement de sexe devrait être disponible pour les mineurs ? »

    4e : «Soutenez-vous que le contenu médiatique qui influence le développement sexuel devrait être présenté aux mineurs sans restrictions ? »

    5e et dernière : « Faites-vous valoir que les contenus multimédias décrivant le changement de genre devrait être montré aux mineurs ? ».

    L’invitation du Premier ministre est de toujours voter « Non ».

    « C’est une initiative pour détourner l’attention des troubles du gouvernement hongrois », attaque l’opposition en citant le scandale Pegasus : des milliers d’hommes politiques, d’opposants et de journalistes également espionnés sur lequel l’UE a également lancé une enquête pour espionnage. L’appel de la minorité de gauche est de boycotter le référendum, qui veut « dresser les Hongrois les uns contre les autres » et utilise des mineurs à des « fins de propagande vile ». Mais quand il s’agit de dresser vaccinés contre non-vaccinés, cette conscience morale bien-pensante et arc-en-ciel universelle n’a rien à redire…

    En 2016, bien que le référendum n’ait pas atteint le quorum requis (seuls 43,2 % des votants), il avait quand même donné un signal politique fort. 98% des Hongrois qui s’étaient rendus aux urnes avaient en effet dit « Non », nous ne voulons pas que l’UE « impose des quotas sur les allocations de migrants à chaque pays membre, sans consulter le gouvernement et le parlement national et souverain hongrois ».

    Le nouveau référendum pourrait donner le même signal fort à l’Union Européenne avec une large majorité de votants pour le maintien de la loi pour la protection des mineurs et réprimant la pédophilie.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour la 4ème fois en un an, la Hongrie va être jugée par la Cour de justice de l’UE pour sa politique anti-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2021

    Pour la quatrième fois en un peu plus d’un an, la Hongrie va être jugée par la Cour de justice de l’Union européenne pour sa politique anti-migrants. La Commission européenne a saisi jeudi cette juridiction, reprochant au gouvernement du conservateur Viktor Orban d’avoir “illégalement restreint le droit d’asile”, sous couvert de lutter contre la crise sanitaire.

    La Hongrie va devoir une nouvelle fois faire face à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). Telle est la décision de la Commission européenne qui a assigné jeudi 15 juillet le pays dirigé par le conservateur Viktor Orban.

    La Commission reproche aux autorités hongroises d’avoir “illégalement restreint l’accès” au droit d’asile au prétexte de la lutte contre la pandémie de Covid-19. 

    (…)

    Info Migrants Source : fdesouche

  • OUI, LA HONGRIE EST NOTRE VIGIE, NOTRE SENTINELLE À TOUS !

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2021

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    L’Europe est malade. Encore une fois cette « Europe maléfique », - entendons-nous bien, je pèse mes mots -, pas cette vieille civilisation judéo-chrétienne et gréco-latine, dont il serait superflu ici, d’exalter la grandeur passée, non, ce « machin » insupportable dont les institutions siègent à Bruxelles, à Strasbourg et à Luxembourg. À savoir, la Commission européenne, le Parlement et les institutions judiciaires supranationales qui pèsent sur notre libre-arbitre, qui obèrent notre indépendance nationale. N’est-ce pas Ursula Von der Layen qui est venue à Paris, tel un Gauleiter du Reich pour donner son feu vert à la France sur l’utilisation des prêts européens ? La suzeraine germanique visitant, en quelque sorte, son vassal Franc, comme au cœur du Moyen-Âge ! Cette Europe-là, celle des boutiquiers et des banquiers est devenue folle !

    Un sommet européen qui se transforme en tribunal

    Elle s’est encore distinguée à l’occasion du sommet européen du 24 juin dernier, où l’on a assisté à un véritable déchainement d’actes et de déclarations hostiles à l’égard de la Hongrie. Le premier ministre hollandais, Mark Rutte, à peine réélu dans son pays, a même déclaré que « la Hongrie n’avait plus rien à faire dans l’Union européenne ». De quel droit ce « Batave » se permet-il de juger un partenaire sérieux, membre éminent du « groupe de Visegrad » qui, lui, défend les vraies valeurs européennes ?

    Pourquoi une telle hostilité ?

    Tout simplement en raison d’une nouvelle loi hongroise interdisant tout prosélytisme en faveur de l’homosexualité, du « gender » et autres variétés LGBTQ en direction des enfants. D’Ursula Von Der Layen, la présidente de la commission de l’U-E, à Didier Reynders, autre commissaire européen, en passant par le ministre allemand des affaires européennes, Michael Roth (SPD), - lui-même homosexuel qui prêche pour sa chapelle -, ils y sont tous allés de leur couplet condamnant Budapest. Roth a déclaré que « Cette loi est contraire à tout ce que nous considérons comme nos valeurs européennes communes ». La commissaire européenne à l’égalité, la  maltaise Helena Dalli, - pourtant issue d’une île, Malte, qui est une terre bien catholique -, y est allée elle aussi de son petit crachat : - « Bruxelles est prête à prendre contre la Hongrie des sanctions similaires à celles prises contre les régions polonaises créant des zones sans LGBT. Ce message est que si vous ne respectez pas les valeurs démocratiques ou égalitaires de l’Union européenne, vous n’avez pas le droit de collecter des fonds pour vos projets ».

    Les Américains s’en mêlent

    Même l’ambassade des États-Unis à Budapest a fait savoir que, citons son porte-parole, « les gouvernements ont le devoir de promouvoir la liberté d’expression et de protéger les droits humains, y compris les droits de la communauté LGBTQ ». Même son de cloche de la part de Clément Beaune, notre ministricule chargé des affaires européennes, qui sait de quoi il parle, a dit que « jusqu’à présent il y a eu des problèmes avec l’Etat de droit en Hongrie, mais il est tout à fait nouveau qu’il cible délibérément et directement un certain groupe de personnes, en l’occurrence les personnes LGBTQ ». Or, désolé de contredire ces Messieurs… dames, c’est la Hongrie qui défend les valeurs qui devraient être celles protégées par cette nouvelle Union soviétique libérale/libertaire qu’est l’U-E. D’ailleurs, Zoltan Kovacs, porte-parole lui du gouvernement hongrois, a répondu à tous ces censeurs, en ciblant du tac-au-tac Ursula l’Allemande : - « En tant que mère de 7 enfants, - et oui, l’Ursula elle a donné pour la patrie allemande ! -, vous comprenez sûrement l’importance de pouvoir éduquer vos enfants sur ces questions sensibles comme bon vous semble (…) C’est l’objet de cette loi, de même que la création de graves conséquences pénales des actes de pédophilie (…) », sous-entendu la mise en place de sanctions contre la pédophilie. Et de poursuivre, « En tant que démocrate-chrétien, avec quelle partie de ce qui précède avez-vous un problème ? Au lieu de mener les batailles de l’idéologie du genre, nous nous concentrons sur les choses importantes : la protection et le développement sain des enfants en Hongrie, et la préservation des droits des parents d’éduquer leurs enfants sur ces questions sensibles », a-t-il expliqué sur son blog. Oui, en quoi la Hongrie serait-elle devenue un État de non droit ? Légiférer avec une majorité parlementaire issue des suffrages populaires, pour protéger l’enfance, serait donc contraire aux valeurs de cette Europe-là ? Ce n’est pas notre conception. Nous, qui sommes attachés à notre civilisation traditionnelle, nous défendons forcément les valeurs familiales. Protéger les enfants, les laisser libres de leurs choix au moins jusqu’à l’âge de l’adolescence, de la maturité, de la majorité, sans bourrage de crâne prématuré, voilà le crime législatif commis par la Hongrie. Là encore, on marche sur la tête !

    Les  objectifs de la Hongrie au plan européen 

    Si nous en croyons ce qu’a écrit Viktor Orban, le Premier ministre magyar, ses propositions ne sont pas si éloignées des nôtres, en tout cas celles de nôtre famille d’esprit, celles de la « droite nationale », au sens très large du terme. C’est-à-dire tous les citoyens qui sont attachés à l’identité et à la souveraineté de leurs patries, dans un cadre coopératif européen. D’ailleurs, les partis européens arbitrairement classés à « l’extrême-droite » ont entrepris une démarche commune pour réformer l’Union.

    Le gouvernement de Budapest, dans un long communiqué en 7 points, s’est exprimé contre le super État que semble vouloir édifier la Commission européenne. Il précise que les décisions devraient être prises par des dirigeants élus et non pas influencées par des ONG, notamment en matière migratoire. On sait que la Hongrie est en pointe  dans la lutte contre l’immigration illégale, n’acceptant de demande d’asile qu’exprimée en dehors de ses frontières, et refusant la répartition des illégaux échoués à Lampedusa, Lesbos ou ailleurs. Il ajoute une remarque qui va dans le sens de la coopération intergouvernementale, en insistant sur le fait que si nous ne parvenons pas à être plus efficaces ensemble plutôt que chacun dans notre coin, alors c’en serait fini de l’Union européenne. J’observe que les succès européens ont été pensés et réalisés, au début en tout cas, totalement en dehors de l’U-E, à savoir les programmes AIRBUS ou Ariane Espace. Cela devrait nous interpeller sur l’utilité des institutions européennes, rappelons-les, Commission, Parlement et CJE ! Et pour terminer sur le sujet, abordons le point numéro 5 de cette déclaration, relative à l’immigration : - « La prochaine décennie sera l’époque des défis dangereux : la migration de masse et les pandémies nous menacent. Nous devons défendre les citoyens de l’Europe. » Il n’y a là rien de scandaleux, ou alors, cette Europe fondatrice « des six », cette belle Communauté européenne née de la fusion de la CECA et d’Euratom pour devenir le  marché commun, est-elle devenue cette folle tour de Babel à 27, incontrôlable, devenue la proie des lobbies divers et (a)variés ? Il est temps que toutes celles et tous ceux qui professent les idées de souveraineté nationale, accouchent d’une vision claire à l’égard des institutions européennes et fassent de crédibles contre-propositions pour faire vivre une véritable Europe. Une Europe réellement européenne, enracinée, assise redisons-le, sur les  traditionnelles valeurs familiales d’ordre et de progrès.