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hongrie - Page 3

  • Nouvelle victoire de Viktor Orban en Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2022

    Nouvelle victoire de Viktor Orban en Hongrie

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    Il y a eu dimanche 18 élections municipales partielles dans le pays. Le parti d’Orban se présentait dans 16 des 18, il en a remporté 12.

    Dans la capitale il y avait une élection dans quatre districts. L’opposition des six partis coalisés contre Orban ne l’a emporté que dans l’un des quatre. Dans les trois autres c’est le parti d’Orban qui a gagné.

    En dehors de Budapest, la coalition des six partis ne l’a emporté qu’à Gyöngyö, où elle n’avait en face d’elle qu’un indépendant.

    « C’est un résultat décevant, on ne peut pas le nier ni le minimiser », a déclaré le grand chef des opposants, le maire de Budapest Gergely Karácsony.

     

    Source : lesalonbeige

  • La Hongrie décrète l’état d’urgence à cause de la guerre en Ukraine à partir de minuit

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2022

    Selon M. Orban, l’état d’urgence permettra au gouvernement d’utiliser « tous les outils de l’Etat » et de « réagir immédiatement » au conflit en cours en Ukraine.

    « Le monde est au bord d’une crise économique », a-t-il dit, affirmant une nouvelle fois que la Hongrie doit rester en dehors du conflit russo-ukrainien et que le gouvernement doit protéger la sécurité financière des familles.

    Plus tôt dans la journée, le Parlement hongrois a modifié la Constitution du pays afin de permettre au gouvernement d’introduire un ordre juridique spécial et de déclarer l’état d’urgence en cas de conflit armé, de guerre ou de catastrophe humanitaire dans un pays voisin.

    Le nouveau texte a été approuvé par 136 voix contre 36.

    La Constitution amendée permet au gouvernement hongrois de suspendre certaines lois ou de déroger à leurs dispositions pour assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens, ainsi que la stabilité de l’économie nationale.

    En cas de recours, la Cour constitutionnelle devra examiner les mesures prises par le gouvernement.

  • Après avoir fait scandale, le mur “anti-migrants” de la Hongrie est désormais un modèle pour de nombreux pays européens

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2022

    En 2015, alors que les réfugiés fuyant la guerre en Syrie affluaient en Europe, l’initiative de Viktor Orbán était perçue comme un nouveau “mur de la honte”. Mais les temps ont changé… Sept ans plus tard, “Complément d’enquête” a pu constater combien le dispositif “anti-migrants” du président nationaliste hongrois, s’est perfectionné… et a servi de modèle à de nombreux autres pays. En quelques années, 1 200 kilomètres de clôture ont été érigés aux portes de l’Europe. 

    C’est l’une des zones les plus surveillées d’Europe, à son extrémité Est : la frontière entre la Hongrie et la Serbie. Entre les deux pays, un mur de grillage de 3,50 mètres de haut et de 175 kilomètres de long. En 2015, sa construction, en pleine crise des migrants, avait suscité une vive polémique. Comparée au mur de Berlin, l’initiative de Viktor Orbán avait notamment été condamnée en France par Laurent Fabius, le ministre socialiste des Affaires étrangères : La Hongrie fait partie de l’Europe ; l’Europe, elle a des valeurs, et on ne respecte pas ces valeurs en posant des grillages comme on ne ferait pas vis-à-vis d’animaux.”

    Mais les temps ont changé : le “mur anti-migrants” est désormais cité en exemple d’efficacité, et de nombreux pays s’en inspirent. La Grèce et la Bulgarie ont renforcé les leurs ; la Lituanie, l’Autriche, la Slovénie en ont construit. Le dernier en date est celui que la Pologne a érigé il y a quelques mois à sa frontière avec la Biélorussie.

    (…) Francetvinfo via fdesouche

  • Hongrie, une nouvelle présidente qui défend la famille

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2022

    Katalin Novak a été élue, jeudi dernier 10 mars 2022, présidente de la Hongrie, la plus jeune de l’histoire démocratique du pays. Chrétienne, elle a d’abord été ministre des Affaires étrangères puis de la Famille et de la Jeunesse, poste à partir duquel elle a mené les meilleures politiques en faveur de la famille et de la natalité. Elle est prête à un bras de fer avec l’Union Européenne pour les défendre.

    « Si nous renonçons à notre christianisme, nous perdrons notre identité, en tant que Hongrois, en tant qu’Européens », a déclaré Katalin Novak il y a deux ans dans une interview accordée à Catholic News Agency.

    Et bien cette même Katalin Novák, ancienne vice-présidente du Fidesz et ministre de la Famille, a été élue le 10 mars Président de la Hongrie avec une majorité des deux tiers des voix du Parlement.  Elle prendra ses fonctions le 10 mai. Dès le début, elle a abordé le thème cher au cœur hongrois :

    « Je ne serai jamais disposée à renoncer à la souveraineté de notre nation, je ne permettrai à personne de jouer à la « roulette russe » avec l’indépendance durement acquise de la Hongrie. … Nous appartenons à l’Europe et l’Europe nous appartient… Nous ne pouvons pas changer cela et nous ne voulons pas le changer. »

    Novák a commencé sa carrière politique en 2001(sous le premier gouvernement Orbán) au ministère des Affaires étrangères, où elle s’est spécialisée dans les affaires européennes, elle est depuis 2020 ministre hongroise de la Famille et de la Jeunesse.

    Katalin Novák est la première femme et, à 44 ans, également la plus jeune présidente de la Hongrie. Elle a trois enfants, parle quatre langues étrangères, court des marathons et… n’a pas oublié comment faire le ménage. Katalin Novák est née à Szeged en 1977, a étudié à l’Université nationale de la fonction publique (NKE) de Budapest, à l’Université de Szeged et à Paris et, après un bref engagement en tant que consultante au ministère des Affaires étrangères (2001-2003), a passé six ans à élever ses enfants à la maison (en partie en Allemagne) avant de revenir au ministère des Affaires étrangères en tant que conseillère du ministre en 2010 et chef de cabinet du ministre des Ressources humaines en 2012.

    Cependant, le changement de cap de Novak intervient en 2014, lorsqu’elle entre au gouvernement avec le rôle de secrétaire d’État à la famille et à la jeunesse du ministère des Ressources humaines, alors dirigé par Zoltan Balog. Depuis 2020, elle occupe le poste de ministre de la Famille et de la Jeunesse, dont elle a démissionné lors de sa nomination comme candidate à la présidence de la République par Victor Orban en novembre dernier, candidature ensuite partagée par le parti Fidesz et le parti chrétien-démocrate KDNP le 18 février. Déjà à cette époque, Novak avait clairement indiqué comment elle souhaiterait interpréter le mandat de sa présidence, dans une interview à l’hebdomadaire du parti Mandiner :

    « Nous devons nous préparer à une guerre froide idéologique… et défendre la fierté nationale, la protection des familles, la promotion du patrimoine national et des jeunes talents… [car] en Occident, la propagande LGBTQ cible les crèches et les écoles. Je suis convaincue que les parents devraient avoir le droit premier d’éduquer leurs enfants… Je suis prête à représenter la Hongrie et à servir la nation hongroise avec foi, esprit et cœur ».

    Katalin Novak s’est également engagée fermement à vaincre le fléau de la dénatalité et à promouvoir concrètement la famille avec enfants, à travers des mesures économiques diverses et continues et des efforts culturels remarquables.

    Si la politique familiale a pris de l’importance, c’est avant tout grâce à la détermination avec laquelle Katalin Novak a promu ses initiatives. C’est la seule façon de comprendre le choix fait par Orban d’introduire le nouveau Ministère de la Famille et de la Jeunesse en 2020. Grâce à Novak, le gouvernement Orban est parmi les plus respectueux de l’égalité des sexes, à commencer par les femmes et les mères : en 2016 au-delà du 60 % des femmes inactives sur le marché du travail ont reçu une aide pour s’occuper de leurs enfants. 13 % travaillaient à temps partiel. Ces chiffres augmentent grâce au soutien gouvernemental qui permet aux mères de l’être à temps plein. Les femmes ayant au moins trois enfants, le plus jeune de moins de 3 ans et le plus âgée de moins de 18 ans, peuvent demander à « travailler » en tant que mères à temps plein : en plus des prestations normales liées aux enfants, elles perçoivent un salaire mensuel égal à leur pension et peuvent encore effectuer d’autres métiers jusqu’à 30 heures par semaine. 73% des femmes partiellement ou totalement inactives sur le marché du travail bénéficient ainsi de la possibilité d’être rémunérées pour être mère.

    L’opposition, c’est-à-dire la coalition de tous (de la gauche socialiste aux libéraux et jusqu’à jusqu’au parti qualifié d’extrême-droite Jobbik) « contre Orban », a réagi à l’élection de Novak avec une grossièreté institutionnelle, affirmant que le nouveau président (pour les 5 prochaines années avec un vote de 137 voix sur 188), « ne sera jamais le président de tous les Hongrois ». Quant à la presse européenne, elle a délibérément passé sous silence l’élection de Katalin Novak, alors que dans les mêmes heures, elle encensait Gabriel Boric  et applaudissait la prochaine réforme socialiste et marxiste du Chili (avec la bénédiction des LGBTI, des avorteurs et de la haute finance « verte » ).

    Le monde occidental a perdu la lumière de la raison et, encore une fois, préfère faire appel et réinventer les idéologies du passé pour ne pas se tourner vers le bon sens du futur.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Hongrie pourrait envisager de quitter l’Union européenne

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2022

    La Hongrie pourrait envisager de quitter l’Union européenne

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    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a laissé entendre que son pays pourrait quitter l’Union européenne. L’Union européenne mène « une guerre sainte, un djihad » sous le slogan de l’État de droit, a déclaré l’homme politique devant ses partisans à Budapest samedi.

    Il a demandé à l’UE de faire preuve de « tolérance » envers la Hongrie. Sinon il ne sera pas possible de poursuivre sur une voie commune. M. Orban s’exprimait quelques jours avant que la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) ne se prononce à Luxembourg sur le nouveau mécanisme d’État de droit de l’UE. Dans le cadre de ce dispositif, les pays qui violent les principes de l’État de droit peuvent se voir retirer des fonds du budget commun de l’UE. La Hongrie et la Pologne avaient déposé une plainte contre ce mécanisme, qui a été adopté en décembre 2020. La CJUE doit rendre sa décision mercredi.

    « Pour eux, l’État de droit est un moyen par lequel ils veulent nous pétrir en quelque chose qui leur ressemble ».

     

    Source : lesalonbeige