Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023
Sivald Skayden
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Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2023
Sivald Skayden
Publié par Guy de Laferrière le 21 mars 2023

Les ministres de la justice de l'UE ont publié lundi une déclaration commune soutenant la décision de la CPI. Mais la ministre hongroise de la justice, Judit Varga, n'a pas signé le document.
La position du gouvernement hongrois devrait être discutée lors d'un sommet des dirigeants de l'UE qui se tiendra à Bruxelles à partir de jeudi.
La semaine dernière, la Cour pénale internationale de La Haye a lancé un mandat d'arrêt à l'encontre du président russe et de son commissaire aux droits de l'enfant. M. Poutine devrait arrêté pour "crimes de guerre" en Ukraine, tandis que Maria Lvova-Belova serait poursuivie pour "enlèvement d'enfants ukrainiens".
traduction: Albert Coroz
Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

Viktor Orbán poursuit sa politique nataliste : depuis le 1er janvier 2023, les femmes de moins de trente ans décidant d’avoir ou d’adopter un enfant sont exonérées d’impôts. Objectif : doper la natalité et ne pas avoir recours à l’immigration pour assurer le renouvellement des générations. L’an dernier, c’étaient les jeunes de moins de 25 ans qui étaient exonérés d’impôts et, il y a trois ans, les mères de quatre enfants et plus.
Ces mesures rejoignent le corpus législatif, déjà consistant, d’une politique nataliste volontariste. Florilège : congé parental, réduction d’impôts, allocations familiales, prêt à taux zéro de 33.000 euros pour une naissance dans les cinq ans, aide financière conséquente pour l’achat d’un véhicule sept places dès trois enfants.
En 2021 a eu lieu à Budapest le quatrième sommet mondial de la démographie, c’est dire si le sujet est d’importance. La politique retrouve ici ses lettres de noblesse : voir et agir pour la prochaine génération plutôt que pour les prochaines élections. Viktor Orbán qui, comme ses alliés du groupe de Visegrád, ne s’embarrasse pas de circonlocutions politiquement correctes, explique que le choix est simple : la démographie repose soit sur une immigration massive – telle que nous la vivons en France – soit sur une politique tournée résolument vers les berceaux. « Les politiques libérales et conservatrices s’affrontent également – et s’engagent même dans une lutte à mort – sur la question des migrations », avait-il dit (propos rapportés par le Visegrád Post).
Cette politique nataliste porte-t-elle des fruits ? Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années : en 2010, la Hongrie comptait 1,25 enfant par femme ; en 2021, 1,6 enfant par femme. C’est encore trop peu, mais une politique nataliste s’évalue sur le long terme, à l’aune d’une génération. Actuellement, la crise économique due en partie à la gestion de la crise sanitaire mais aussi aux conséquences des sanctions appliquées à la Russie fragilisent cette entreprise.
Mais plus largement, au-delà même de la survie et de l’avenir d’un pays, cette politique nataliste a le mérite de mettre au centre des décisions politiques au sens noble un enjeu essentiel : le renouvellement des générations. Les mesures favorables aux familles sont la pierre angulaire du maintien de l’identité d’un pays mais aussi de la survie de son système social. Nous l’évoquions récemment, le Danemark a choisi pour cela de réduire drastiquement l’immigration.
Le lien avec la problématique des retraites, sujet crucial non seulement en France mais partout dans une Europe vieillissante, est évident, naturel. Et pourtant, il semble que le sujet tabou de cette réforme française des retraites soit bien l’incitation à la natalité : comme l’explique Jean-Thomas Lesueur, directeur de l’Institut Thomas More dans une tribune parue dans Le FigaroVox, « le système par répartition est fondé sur une solidarité intergénérationnelle qui se conjugue au présent immédiat. Les cotisations d’aujourd’hui servent à payer les retraites d’aujourd’hui. Pour se maintenir à l’équilibre et ne pas devenir écrasant pour les travailleurs, il a besoin d’un nombre important de cotisants. Les chiffres sont connus et répétés à l’envi à chaque nouvelle réforme: alors qu’on comptait plus de 4 cotisants pour 1 retraité en 1960, il y en a 1,7 aujourd’hui. »
L’adoption d’une vraie politique familiale en France est d’une urgence vitale. En faisant le choix de toujours plus d’immigration, anarchique, sans contrôle et au détriment de la survie physique, morale et spirituelle des Français, le gouvernement actuel comme ceux qui l’ont précédé porte une responsabilité historique. La France a fait depuis longtemps le choix d’une politique d’aide sociale, de chèques-minutes, au détriment d’une politique familiale. Cela procède évidemment d’une vision postmoderne de la société, composée désormais d’individus atomisés, de moins en moins réunis en corps social. Le report de l’âge de la retraite, actuel pont de cristallisation, n’est qu’une arme de distraction médiatique massive.
La Hongrie nous montre une voie opposant immigration et natalité autochtone. Bien loin de la petite case médiatique « extrême-droite-xénophobe » dans laquelle il est si pratique de l’enfermer, la politique menée par Viktor Orbán montre la nécessité d’agir sur le temps long, face à l’Histoire, pour le bien commun de l’ensemble de la société.
Marie d’Armagnac
15/01/2023
Source : Boulevard Voltaire
Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023
Auteur : Léo Kersauzie

Hongrie – Le directeur politique du cabinet du Premier ministre Viktor Orbán, a fait la promotion des nouvelles politiques natalistes, affirmant que le gouvernement espérait encourager ainsi davantage de jeunes à avoir des enfants.
« La Hongrie étend ses politiques favorables à la famille« , a-t-il écrit. « A partir de janvier, les femmes qui sont mères avant leur 30e anniversaire seront exonérées de l’impôt sur le revenu des personnes physiques. »
Les allégements fiscaux font partie des politiques pro-vie et pro-famille du Premier ministre Orbán. En 1956, sous la dictature communiste, la Hongrie a légalisé le meurtre de bébés à naître lors d’avortements pour quelque raison que ce soit au cours du premier trimestre. Depuis lors, plus de 6 millions de bébés à naître ont été avortés. Cependant, les Hongrois ont depuis plusieurs années réélu des dirigeants plus conservateurs, dont le Premier ministre Viktor Orbán et la présidente Katalin Novak, qui soutiennent le droit à la vie des enfants à naître et les valeurs familiales.
En septembre, le gouvernement avait adopté une ordonnance obligeant les centres d’avortement à faire entendre aux mères les battements de cœur de leur bébé à naître avant qu’elle ne prenne une décision finale concernant la vie de leur enfant.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 23 décembre 2022

Il est au total question de plus de 7 millions d’euros. Dans le coup : une ONG américaine, Action for Democracy, liée à la National Endowment for Democracy, aux liens avérés avec la CIA. Et une belle brochette de grands défenseurs de la démocratie : l’ancien Premier ministre Bajnai, un ancien ministre des renseignements sous le socialiste Gyurcsány, un informaticien israélien, le conseiller aux affaires internationales de l’actuel maire éco-socialiste de Budapest (qui travaille pour Action for Democracy), ou encore une entreprise de conseil fondée par Madeleine Allbright.
Mais la vieille garde socialo-libérale nie en bloc, et Márki-Zay prend tout. Ce dernier admet le soutien financier, mais il explique qu’il a été accordé à son mouvement (le MMM — Mouvement Hongrie pour Tous) et non à un parti pour une campagne électorale, ce qui ne contreviendrait pas à la loi. Une argumentation pour le moins bancale. Comment se peut-il par ailleurs que les partenaires de coalition n’aient pas eu vent de sommes qui représentent plus de la moitié du budget de campagne ? Quiconque connaît le fonctionnement d’une campagne électorale sait que c’est impossible.
Que l’opposition hongroise soit soutenue depuis les États-Unis est un secret de polichinelle. Mais l’ampleur des montants (environ le tiers du plafond légal fixé pour les candidats au second tour de la présidentielle française) est étonnante. Pas de quoi émouvoir les belles âmes pour autant. On évoque l’affaire, mais en faisant le minimum syndical. Il y a pourtant assez de matière pour soutenir l’hypothèse d’une ingérence étrangère dans le processus électoral hongrois. Imaginons un seul instant que des montants pareils aient transité vers des proches de Viktor Orbán depuis des pays moins recommandables que les États-Unis. Qui plus est en période campagne électorale !
Quand les sommes arrivent de Washington et au nom du combat pour la démocratie, c’est comme s’il ne se passait rien. On se demande presque si le respect de la loi ne devient pas secondaire. Tout est bon pour faire tomber l’affreux Orbán, y compris des reportages suintant l’amateurisme. En réalité, les vrais dirigeants de l’opposition savaient très tôt dans la campagne qu’Orbán ne tomberait pas aux élections d’avril. Tout mettre sur la nullité du figurant Márki-Zay leur est une aubaine. Mais alors pourquoi faire transiter des sommes pareilles en sachant pertinemment qu’Orbán était imbattable en avril ? Plus qu’une ingérence, cette affaire n’a‑t-elle pas été un moyen pour les hommes de l’ombre de la gauche hongroise de faire un coup de fric ? Nous n’en savons rien, mais cette hypothèse est bien moins bancale que l’argumentaire des intéressés.
Quoi qu’il en soit, très peu d’articles dans la presse bien-pensante occidentale, pourtant d’ordinaire si prompte à se passionner pour la Hongrie. Tout au plus un article sous forme de revue de presse de Joël Le Pavous dans le Courrier international. Silence radio dans le camp du Bien.
Source : ojim.fr