Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

israêl - Page 9

  • Rien ne va plus : le contrat signé entre le ministère de la Santé israélien et Pfizer a disparu

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Auteur : 

    Rien ne va plus dans le monde feutré et corrompu de Big Pharma et des gouvernements covidistes.

    Le ministère de la Santé du pays laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer, Israël, ne sait plus quoi inventer pour ne pas présenter à la justice le contrat signé avec le laboratoire Pfizer.

    Le quotidien israélien i24 News dans son édition du 15 décembre dernier raconte en effet que « le ministère israélien de la Santé a affirmé devant le tribunal qu’il n’était pas en mesure de localiser l’accord signé avec l’entreprise pharmaceutique Pfizer concernant le partage d’informations épidémiologiques sur les vaccins contre le coronavirus, et a même déclaré qu’il ne savait pas si l’accord avait été signé ».

    Israël, le laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer

    En 2020, Israël avait reçu en priorité des vaccins du laboratoire Pfizer en échange de données épidémiologiques sur sa population. Plus de 6 millions de personnes ont reçu les doses de ce vaccin. Et comme dans bien d‘autres pays, les effets secondaires graves étant en hausse, les procédures devant les tribunaux pour faire condamner le laboratoire et les gouvernements se multiplient.

    La procédure en question, explique i24 news s’inscrit « dans le cadre d’une requête en cours devant le tribunal de district de Jérusalem ». Le ministère de la Santé, souligne le journal « a admis que, bien que des recherches approfondies aient été menées, l’accord signé avec Pfizer concernant les vaccins n’a pas été localisé. ‘Nous n’avons pas trouvé d’accord signé’, a affirmé l’avocate Ahava Berman du bureau du procureur, au nom du ministère de la Santé. ‘Nous avons cherché dans tous les endroits, y compris le bureau du PDG et le service juridique’.

    L’accord avait été rendu public en janvier 2021, mais I24 news révèle cette information importante :

    « une grande partie de ses clauses avaient alors été occultées. Dans l’accord publié, un espace avait été laissé pour la signature du directeur général du ministère de la Santé de l’époque, Hezi Levy, et d’une autre personne de Pfizer, dont le nom a été noirci – mais leurs signatures n’y figurent pas. Dans la réponse du ministère de la Santé au tribunal, il est affirmé que le ministère ne sait en conséquence pas si l’accord a été signé… ou non. »

    SMS de von der Leyen et contrat perdu, les relations dangereuses avec Pfizer

    Au regard de l’excuse donnée pour ne pas présenter l’accord signé, on peut aisément supputer que le ministère et de Pfizer ne souhaitent pas la divulgation à la population des clauses cachées de leurs contrat. Ce qui laisse supposer des magouillages mafieux et des chiffres de résultats et d’efficacité bidonnés.

    Entre les SMS de la présidente de la commission européenne Ursula von de Leyen avec Albert Boula, le PDG de Pfizer, que la principale intéressée ne veut toujours pas communiquer, et maintenant cette fantasque histoire de contrat perdu, décidemment le laboratoire Pfizer et les signataires de contrats pour les vaccins covid ne veulent pas de transparence dans leurs petites transactions à milliards d’euros. Quelque chose à cacher dirait-on !

    Francesca de Villasmundo  

     

    Source : medias-presse.info

  • Un « suprémaciste juif », ex-membre d’une « entité terroriste » va devenir ministre de la Sécurité nationale en Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Auteur : 

    Itamar Ben Gvir devrait être sous peu nommé ministre de la Sécurité nationale dans le nouveau gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu. Qui est Itamar Ben Gvir ? Un « suprémaciste juif », anciennement membre du parti Kach classé comme entité terroriste aux Etats-Unis et en Israël !

    Retour en arrière

    Le rabbin Meïr Kahane, après avoir développé la Ligue de défense juive aux États-Unis, s’installa en Israël en 1971. Il y incarna une idéologie prônant un mysticisme ethnique juif fondé sur la « souveraineté juive » exclusive sur la terre d’Israël et la reconstruction du Temple (détruit en 70 après Jésus-Christ par les Romains), étapes obligées pour la venue du Messie. et un racisme envers « les Arabes », réclamant leur expulsion de cette terre. Il créa le parti Kach et devint député en 1984. En 1988, le parti Kach, qualifié de « raciste » par la Cour suprême israélienne, fut interdit de se présenter aux élections. Le parti Kach fut même classé comme entité terroriste aux Etats-Unis et en Israël.

    Kahane a été assassiné en 1990 à New York mais le kahanisme influence toujours certains mouvements et personnages politiques israéliens. Dont Itamar Ben Gvir qui fut coordinateur des jeunesses kahanistes, raison pour laquelle il fut exempté du service militaire.

    Itamar Ben Gvir va fonder en 2015 sa propre organisation, Puissance juive. Ben Gvir fut plus de cinquante fois inculpé pour propos et actes racistes. Il est également devenu l’avocat de personnages que le quotidien Haaretz qualifie de « who’s who des suspects juifs d’actes de terrorisme et des cas de crimes haineux en Israël ».

    La campagne électorale de Puissance juive était centrée sur le slogan « C’est qui les proprios ici ? ». Deux semaines avant les élections législatives, Ben Gvir a été vu à la tête d’un groupe de fanatiques juifs, brandissant un pistolet dans le quartier palestinien de Cheikh Jarrah, et hurlant « Ici c’est moi le propriétaire ! ».

    Dans quelques jours, Itamar Ben Gvir devrait devenir officiellement ministre de la sécurité intérieure et, à ce titre, chef de la police…

     

    Source : medias-presse.info

  • Des officiers de Tsahal participent à un exercice militaire majeur au Maroc, signe d’une collaboration qui s’intensifie entre les deux pays

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2022

    « Dans un premier temps » (dixit la presse israélienne), c’est en tant qu’observateurs que ces officiers de Tsahal ont participé à l »exercice « African Lion » dirigé par les États-Unis et qui a eu lieu au Maroc et dans des pays voisins, dont la Tunisie. Mais les Forces armées royales marocaines ont diffusé sur les réseaux sociaux des images et des messages mettant en avant cette collaboration militaire en Israël et le Maroc.

    Le Commandement américain pour l’Afrique a déclaré que son exercice annuel conjoint avec le Maroc – l’opération «Lion africain» – impliquait quelque 7 500 militaires et s’est déroulé du 6 au 30 juin au Maroc, au Ghana, au Sénégal et en Tunisie. (Ce dernier pays n’ayant officiellement aucun lien diplomatique avec Israël.)

    Des troupes du Brésil, du Tchad, de France, d’Italie, des Pays-Bas et du Royaume-Uni ont rejoint les pays hôtes, a indiqué l’AFRICOM.

    L’exercice comprenait plusieurs exercices de tir réel, des exercices maritimes et aériens, « un exercice de réponse chimique, biologique, radiologique et nucléaire » et d’autres exercices « d’assistance civique humanitaire », selon l’AFRICOM.

    Israël a envoyé deux officiers de Tsahal et le chef de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord du ministère de la Défense au Bureau politique et politico-militaire, qui sert également d’attaché de défense au Maroc.

    « La participation d’Israël à l’exercice est une étape supplémentaire dans le renforcement des relations de sécurité entre les ministères de la Défense et les armées des deux pays », a déclaré le ministère dans un communiqué.

    Le Maroc a normalisé ses relations avec l’État juif en décembre 2020, peu après des accords similaires avec les Émirats arabes unis et Bahreïn.

    En mars, de hauts responsables militaires israéliens ont conclu un premier voyage officiel au Maroc, où les parties ont signé un accord visant à faire collaborer les deux armées.

    « Des opportunités de collaborations militaires ont été discutées, à la fois dans la formation et dans les domaines opérationnels et de renseignement« , avait alors déclaré Tsahal.

    Plusieurs hauts responsables israéliens, dont le ministre de la Défense Benny Gantz, se sont également rendus au Maroc et ont signé des accords de coopération, notamment dans les domaines de la technologie, de la sécurité, de l’armée et du commerce.

    Le Maroc avait rompu ses relations avec Israël en 2000, à la suite du déclenchement de la deuxième Intifada, mais a rétabli les liens 20 ans plus tard dans un accord qui a vu Washington reconnaître la souveraineté de Rabat sur le Sahara occidental contesté.

     

    Source : medias-presse.info

  • Israël outré : Sergueï Lavrov fait scandale en déclarant que « Hitler avait du sang juif »

    Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2022

     

    […]

    En référence aux accusations de nazisme portées par les Russes à l’encontre des Ukrainiens, le ministre Lavrov, dont les propos ont été retranscrits sur le site de son ministère, a d’abord déclaré : « Zelensky fait valoir cet argument : comment le nazisme peut-il être présent (en Ukraine) s’il est lui-même juif. »

    Puis d’ajouter : « Je peux me tromper, mais Hitler avait aussi du sang juif. »

    « Les propos du ministre Lavrov sont à la fois scandaleux, impardonnables et une horrible erreur historique », a condamné dans un bref communiqué Yaïr Lapid. Il a précisé que l’ambassadeur russe en Israël avait été convoqué pour des « clarifications ».

     

    […]

    Lire l’intégralité de l’article sur bfmtv.com

  • Pour les législatives, Zemmour se présentera-t-il dans la circonscription qui couvre Israël ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2022

    Selon le Canard enchaîné, Eric Zemmour envisagerait de se présenter aux élections législatives dans la huitième circonscription des Français établis hors de France, celle qui s’étend sur la Grèce, Chypre, la Turquie, Malte, l’Italie et… Israël.

    L’hebdomadaire de gauche qui traîne ses oreilles dans les couloirs de tous les partis politiques écrivait un peu avant le premier tour de la présidentielle que, selon ses sources au sein du parti Reconquête d’Eric Zemmour, son entourage rapproché conseillait au polémiste de se présenter aux législatives dans l’arrondissement parisien qui compte le plus d’électeurs de la communauté juive.

    Mais l’analyse attentive des résultats du premier tour de la présidentielle change la donne.

    Sur Paris, les meilleurs résultats d’Eric Zemmour sont, dans l’ordre le plus avantageux, le XVIe arrondissement où il a recueilli 17,5 % des suffrages, ensuite les VIIIe (15,3 %), VIIe (13,5 %) XVIIe (10,7 %) et VIe (10,5 %). Partout ailleurs il est sous la barre des 10 %. Aucun des arrondissements de Paris n’est donc en mesure de garantir son élection.

    Par contre, dans la huitième circonscription des Français établis hors de France, la majorité des électeurs résident en Israël, où il a obtenu de loin son meilleur résultat, soit 53,59 % des suffrages exprimés le 10 avril. De quoi évincer Meyer Habib de l’Assemblée nationale française ?

     

    Source : medias-presse.info