Publié par Guy de Laferrière le 28 novembre 2022
Source : lafautearousseau
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Publié par Guy de Laferrière le 28 novembre 2022
Source : lafautearousseau
Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2022
Premier invité du cycle de conférences « Le Grand Témoin » par Le360, l’historien et africaniste de renom Bernard Lugan a passé au peigne fin les tenants historiques de la vraie haine que voue la junte algérienne au Maroc et ses représentations. Deux pays que la géographie rapproche, mais que l’histoire sépare à bien des égards :
Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022
Retournement de situation dans le milieu de la drogue à Anvers: Mohamed Reda C., surnommé “l’Algérien”, qui vient d’être condamné à six ans de prison par la justice belge, a été libéré par le Maroc, où il était incarcéré depuis juillet dernier. Par conséquent, il ne sera pas extradé vers la Belgique.
Mardi, le tribunal correctionnel d’Anvers a condamné Mohamed Reda C., considéré comme l’un des barons de la drogue de la métropole flamande, à six de prison pour avoir commandité une attaque contre un docker. Le tribunal a dès lors ordonné l’arrestation immédiate de celui que l’on appelle “l’Algérien”, qui attendait son extradition dans une prison marocaine. Il avait été arrêté en juillet dernier à Casablanca, sur base d’un mandat d’arrêt européen émis par la Belgique.
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Depuis plusieurs jours, la rumeur comme quoi “l’Algérien” tenterait par tous les moyens d’échapper à son extradition enflait dans la cité diamantaire. Il aurait réussi à obtenir in extremis la nationalité marocaine, moyennant une importante somme d’argent. Un montant faramineux de 2,5 millions d’euros est évoqué. Il est possible que cela ait joué un rôle dans sa libération.
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Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022
C’est un bien curieux imbroglio qui vient d’être détecté par la police marocaine des frontières: sous le coup d’une expulsion du territoire français, un individu, détenteur d’un laissez-passer authentique, délivré par le consulat général du Royaume à Paris, se révèle, en fait, être tunisien. Les explications.
Mercredi 19 octobre à l’aéroport de Casablanca. Un policier aux frontières examine le laissez-passer d’un citoyen marocain, expulsé depuis la France. Le nom, inscrit sur ce laissez-passer délivré par le consulat général du Maroc à Paris est bien enregistré dans sa base de données. Mais l’examen des traits de cet individu, dont les initiales sont S.M.A, et celui de ses empreintes digitales ne correspondent pas à l’identité du citoyen marocain, dont les données étaient accessibles sur son écran.
Ces vérifications préliminaires ont permis au policier de parvenir à cette conclusion certaine: l’homme qui se tenait devant lui n’était pas celui dont le nom était mentionné sur le laissez-passer, délivré par le consulat du Maroc à Paris.
La photographie et les empreintes ne concordaient pas avec l’identité de ce citoyen marocain, dont le nom avait été soumis par les autorités françaises à l’ambassade du Maroc, en France, en vue de délivrer un laissez-passer, document indispensable à son expulsion du territoire français.
La supercherie est vite apparue au grand jour. L’homme, qui est présenté comme un Marocain, se nomme Ahmed Ben Ali, et il est, en fait, de nationalité tunisienne.
Si son laissez-passer est authentique, la photographie d’identité qui l’accompagne n’est pas celle de ce citoyen marocain répondant aux initiales de S.M.A, pour lequel la demande de ce document avait été formulée par les autorités françaises.
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L’abject assassinat de Lola, une collégienne de 12 ans, le 14 octobre dernier, par une femme de nationalité algérienne, a vivement ému l’opinion publique française.
L’assassin présumé de l’enfant faisant justement l’objet d’une OQTF, le débat sur les expulsions d’immigrés clandestins a donc repris de plus belle.
(…) D’après ce que m’a affirmé M. Chakib Benmoussa, alors ambassadeur du Maroc en France, « le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper ». M. Benmoussa est un homme de parole. Il ne dit pas n’importe quoi. Le malentendu est là. Peut-être que les autorités de Rabat auraient dû s’expliquer officiellement sur cette question.
Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2022
«Des témoins et une source sécuritaire» confirment que des affrontements ont eu lieu, entre 40 à 50 migrants et des éléments des forces marocaines, dans la même zone où s’est produite, le 26 juin, la tentative tragique menée par presque 2 000 migrants subsahariens pour entrer à Melilla, précise EFE. L’agence espagnole ajoute que lors de cette nouvelle opération, «les autorités marocaines ont été aidées par un hélicoptère».
Pour sa part, la Radio Télévision Espagnole (RTVE, société publique) a fait état, samedi, de la présence à Nador de «centaines de migrants, dont une majorité de Soudanais, arrivés depuis Berkane et Oujda» pour s’installer à Gourougou avec l’objectif de se diriger vers la frontière terrestre hispano-marocaine. Des sources sécuritaires espagnoles, souligne RTVE, redoutent un grand mouvement vers Melilla qui réunit 5 000 personnes. «Les autorités marocaines tentent d’avorter ces tentatives en arrêtant les migrants et en les renvoyant vers les villes du centre et de l’ouest du pays d’où ils sont partis», reconnaissent-elles.
Le 26 juin, 23 migrants ont trouvé la mort sur le territoire marocain alors qu’ils tentaient d’accéder à Melilla.