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maroc - Page 4

  • «Chez moi, je ne faisais que des bêtises»: en séjour de rupture au Maroc, des ados français se reconstruisent

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2022

    «Chez moi, je ne faisais que des bêtises»: en séjour de rupture au Maroc, des ados français se reconstruisent

    Partir pour mieux revenir: depuis 2015, des adolescents en difficulté passent six mois au Maroc, en immersion totale. Pour certains, c’est une alternative à l’incarcération. Pour tous, un second souffle dans leurs vies souvent tumultueuses.

    www.slate.fr via fdesouche

  • Montpellier : le chauffard qui a tué Adam, 9 ans, interpellé alors qu’il tentait de prendre un avion pour le Maroc

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2022

    Le Montpelliérain âgé de 35 ans a été interpellé ce jeudi 25 août à Marseille, alors qu’il tentait de prendre un avion pour le Maroc, deux jours après sa remise en liberté sous contrôle judiciaire. 

    L’affaire avait ému la ville de Montpellier et la communauté éducative en particulier, il y a un an. Le 21 août 2021, sur l’avenue de Monsieur-Teste à Montpellier, Adam, 9 ans, avait été percuté mortellement par la voiture du chauffard, alors qu’il était sur le trottoir en compagnie de sa mère, de sa sœur de 8 ans et d’une amie de la famille. Le conducteur conduisait alcoolisé (0,90 g dans le sang), sous stupéfiants et en excès de vitesse. La mère et la fille avaient dû être transportées au CHU pour des blessures à la tête et aux jambes. 

    Au volant alcoolisé et sous l’emprise de stupéfiants

    La voiture avait ensuite fini sa course folle dans un mur. Le mis en cause, âgé de 34 ans à l’époque, avait été arrêté et mis en examen par un juge d’instruction pour homicide et blessures involontaires aggravés par trois circonstances et avait été placé en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention.

    Mais cette mesure ne pouvant excéder un an dans le cadre de ce type de qualification pénale, l’instruction étant clôturée pendant l’été mais la date du procès pas encore fixée, le Montpelliérain, a été remis en liberté d’office ce lundi 22 août. Une mesure de contrôle judiciaire avec une obligation de pointage au commissariat de Béziers avait cependant été mise en place. 

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • L’UE va verser 500 millions d’euros au Maroc pour le contrôle de ses frontières et stopper l’immigration clandestine (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2022

    fdesouche

    Le gouvernement du Maroc recevra plus de fonds européens pour le contrôle de ses frontières. Selon El Pais, l’Union européenne prépare une enveloppe de plus de 500 millions d’euros qui servira à aider le Maroc à stopper la migration irrégulière.

    «Ce renforcement de la coopération en matière de migration couvrira la période de 2021 à 2027 et dépasse de près de 50% le cadre de financement précédent», ajoute la même source, notant que le budget sera divisé en différents projets. Ainsi, les nouveaux mécanismes de coopération entre le Maroc et l’Union européenne comprendront principalement l’appui à la gestion des frontières, le renforcement de la coopération policière (y compris les enquêtes conjointes), la sensibilisation aux dangers de l’immigration irrégulière, ainsi que le renforcement de la coopération avec les agences de l’Union européenne. En outre, les politiques d’intégration et de protection des réfugiés au Maroc seront encouragées et la lutte contre les mafias sera intensifiée, précise-t-on.

    «L’important programme d’aide, qui sera complété par des subventions pour d’autres pays d’Afrique du Nord, est un signe du rôle croissant du Maroc en tant que partenaire prioritaire, après que l’Espagne a averti de la nécessité de prendre soin des accès par le sud», poursuit le journal qui explique que «cela n’a pas été une négociation facile». En effet, «Rabat maintenait ses exigences élevées et Bruxelles voulait plus d’engagements en retour». Au final, «le pacte est clos, même si son application finira de se concrétiser à l’automne», conclut-on.

    yabiladi

    Alors que s’ouvre le procès de 28 demandeurs d’asile à Nador mercredi, le Maroc a changé de stratégie face à l’Europe quant à la question de l’immigration. Le soutien de l’Espagne à la solution de l’autonomie du Sahara occidental souhaité par le Maroc a changé la donne.

    Un mois et demi après la tentative par des milliers de migrants de passer en force la frontière de l’enclave espagnole de Melilla, un groupe de 28 demandeurs d’asile sera jugé mercredi à Nador, dans le nord-est du Maroc. Originaires principalement du Soudan et du Tchad, ces prévenus font partie des 1 500 migrants qui avaient tenté de franchir le 24 juin les hautes clôtures qui séparent Melilla du territoire marocain. Vingt-trois d’entre eux avaient été tués dans de violents affrontements avec les forces de l’ordre marocaines. Épinglé par l’ONU, Rabat a rejeté la responsabilité de cette tragédie sur l’Algérie, qu’il accuse d’encourager les filières de trafic. Il s’agit du bilan le plus lourd jamais enregistré aux passages de Melilla et Ceuta, les deux seuls points de frontière terrestre entre le Maroc et l’Espagne.

    La comparution d’un nombre aussi important de migrants devant la justice est elle aussi  inédite. Ces dernières semaines, 47 autres demandeurs d’asile ont été condamnés à plusieurs mois de prison ferme, poursuivis entre autres pour « entrée illégale » dans le pays et « appartenance à une bande criminelle d’immigration clandestine ». « On assiste à un changement à 180 degrés de la politique migratoire espagnole sur le dos des migrants », constate Omar Naji, de ­l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Ce durcissement rompt avec le chantage migratoire exercé jusqu’alors par le Maroc pour faire pression sur l’Espagne. Les 17 et 18 mai 2021, 10 000 candidats à l’exil avaient débarqué à la nage sur les plages de Ceuta en réaction à l’accueil par l’Espagne, quelques semaines plus tôt, du chef des indépendantistes sahraouis du Front ­Polisario pour soins médicaux.

    Madrid a finalement fait un pas le 18 mars dernier en soutenant publiquement la solution de l’autonomie du Sahara occidental telle que la défend le royaume chérifien. Cette réconciliation a changé la donne. « Les Marocains veulent montrer aux Espagnols de quoi ils sont capables pour contrôler les frontières afin d’obtenir plus de financement des Européens », soutient Omar Naji. De manière générale, « il y a depuis six mois une tentative du Maroc de se positionner de manière plus occidentale », analyse Emmanuel Dupuy, président de l’Institut prospective et sécurité en Europe : « La question migratoire comme la coopération dans la lutte contre le terrorisme sont au cœur d’une nouvelle diplomatie offensive du Maroc. »

    Le JDD

  • Maroc : 28 migrants subsahariens jugés pour avoir tenté de franchir en force la frontière de Melilla, le Maroc va-t-il devenir le gendarme de l’immigration ?

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2022

    Alors que s’ouvre le procès de 28 demandeurs d’asile à Nador mercredi, le Maroc a changé de stratégie face à l’Europe quant à la question de l’immigration. Le soutien de l’Espagne à la solution de l’autonomie du Sahara occidental souhaité par le Maroc a changé la donne.

    Un mois et demi après la tentative par des milliers de migrants de passer en force la frontière de l’enclave espagnole de Melilla, un groupe de 28 demandeurs d’asile sera jugé mercredi à Nador, dans le nord-est du Maroc. Originaires principalement du Soudan et du Tchad, ces prévenus font partie des 1 500 migrants qui avaient tenté de franchir le 24 juin les hautes clôtures qui séparent Melilla du territoire marocain. Vingt-trois d’entre eux avaient été tués dans de violents affrontements avec les forces de l’ordre marocaines. Épinglé par l’ONU, Rabat a rejeté la responsabilité de cette tragédie sur l’Algérie, qu’il accuse d’encourager les filières de trafic. Il s’agit du bilan le plus lourd jamais enregistré aux passages de Melilla et Ceuta, les deux seuls points de frontière terrestre entre le Maroc et l’Espagne.

    La comparution d’un nombre aussi important de migrants devant la justice est elle aussi  inédite. Ces dernières semaines, 47 autres demandeurs d’asile ont été condamnés à plusieurs mois de prison ferme, poursuivis entre autres pour « entrée illégale » dans le pays et « appartenance à une bande criminelle d’immigration clandestine ». « On assiste à un changement à 180 degrés de la politique migratoire espagnole sur le dos des migrants », constate Omar Naji, de ­l’Association marocaine des droits humains (AMDH). Ce durcissement rompt avec le chantage migratoire exercé jusqu’alors par le Maroc pour faire pression sur l’Espagne. Les 17 et 18 mai 2021, 10 000 candidats à l’exil avaient débarqué à la nage sur les plages de Ceuta en réaction à l’accueil par l’Espagne, quelques semaines plus tôt, du chef des indépendantistes sahraouis du Front ­Polisario pour soins médicaux.

    Madrid a finalement fait un pas le 18 mars dernier en soutenant publiquement la solution de l’autonomie du Sahara occidental telle que la défend le royaume chérifien. Cette réconciliation a changé la donne. « Les Marocains veulent montrer aux Espagnols de quoi ils sont capables pour contrôler les frontières afin d’obtenir plus de financement des Européens », soutient Omar Naji. De manière générale, « il y a depuis six mois une tentative du Maroc de se positionner de manière plus occidentale », analyse Emmanuel Dupuy, président de l’Institut prospective et sécurité en Europe : « La question migratoire comme la coopération dans la lutte contre le terrorisme sont au cœur d’une nouvelle diplomatie offensive du Maroc. »

    Le JDD via fdesouche

  • Le rappeur Mister You interpellé à l’aéroport d’Orly alors qu’il pensait s’envoler pour le Maroc

    Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2022

    Il pensait s’envoler pour le Maroc. Il a atterri à la prison de la Santé, à Paris. Younès Latifi, plus connu sous son nom de scène Mister You, a été interpellé mercredi 20 juillet à Orly alors qu’il partait en vacances avec son fils de 6 ans. Le rappeur parisien de 37 ans venait de présenter ses papiers d’identité quand les fonctionnaires de l’aéroport se sont rendu compte qu’il faisait l’objet d’une fiche de recherche. L’artiste de Belleville a été écroué à la prison de la Santé, dans le quartier des personnes vulnérables, où sont incarcérées notamment les personnalités

    Cette fiche de recherche, le rappeur ignorait manifestement qu’elle avait été transmise aux forces de l’ordre. Explication : en mars 2021, il est condamné par la cour d’appel de Paris à 24 mois de prison aménageables pour avoir fait la promotion en février 2019 sur les réseaux sociaux d’un des plus gros points de deal d’Île-de-France à Villejuif (Val-de-Marne). Une peine aménageable, mais ce n’est pas automatique. C’est le juge d’application des peines qui prend la décision.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche