GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

israêl

  • Concours Eurovision de la chanson 2026 avec Israël et sans plusieurs pays européens qui boycottent la compétition

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2025

    Concours Eurovision de la chanson 2026 avec Israël et sans plusieurs pays européens qui boycottent la compétition

    Un concours européen qui se prive de pays européens pour avoir Israël

    L’Irlande, l’Espagne, les Pays-Bas et la Slovénie boycotteront le Concours Eurovision de la chanson 2026, suite à la décision d’autoriser Israël à y participer.

    Ces quatre pays figuraient parmi beaucoup d’autres qui avaient demandé l’exclusion d’Israël en raison de la guerre à Gaza et des accusations de pratiques électorales inéquitables.

    Mais lors d’une réunion à Genève, il a été convenu qu’il n’était pas nécessaire de procéder à un nouveau vote sur la participation israélienne et que l’Eurovision 2026 pouvait se dérouler comme prévu, a déclaré l’Union européenne de radiodiffusion (UER).

    La chaîne de télévision espagnole RTVE, qui avait été à l’origine des appels à un vote secret sur la question, a déclaré que cette décision avait accru sa « méfiance envers l’organisation du festival ».

    La chaîne irlandaise RTÉ a déclaré que la participation israélienne « restait inadmissible compte tenu des pertes de vies humaines effroyables à Gaza et de la crise humanitaire qui y sévit et qui continue de mettre en danger la vie de tant de civils ».

    Un concours où tous les pays ne sont pas égaux

    L’Espagne fait partie des cinq pays « majeurs » de l’Eurovision, avec la France, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni. Leurs artistes sont directement admis en finale, car leurs diffuseurs apportent la plus importante contribution financière à l’UER.

    Environ 50 diffuseurs ont participé jeudi à une réunion de l’UER pour discuter de l’avenir du concours, suivi chaque année par plus de 150 millions de personnes. Il leur a été demandé de soutenir de nouvelles règles destinées à dissuader les gouvernements et les tiers d’organiser des campagnes de vote pour leurs candidats, suite aux allégations selon lesquelles Israël aurait injustement favorisé son candidat, Yuval Raphael, cette année.

    Le président israélien Isaac Herzog a réagi en déclarant qu’Israël « mérite d’être représenté sur toutes les scènes du monde, et je m’y engage pleinement et activement ».

    Cependant, cette décision a mis en lumière une profonde division au sein de la communauté Eurovision.

    « La violence génocidaire dont se rend coupable Israël »

    Dans un communiqué, le diffuseur néerlandais Avrotros a déclaré que « la participation dans les circonstances actuelles est incompatible avec les valeurs publiques qui nous sont essentielles ». Le journal néerlandais De Volksrant a souligné que la décision des Pays-Bas de boycotter le concours a été prise « en raison de la violence génocidaire dont ce pays se rend coupable envers les Palestiniens ».

    La chaîne de télévision espagnole RTVE a signalé par communiqué : « Le conseil d’administration de RTVE a décidé en septembre dernier que l’Espagne se retirerait de l’Eurovision si Israël y participait. » « Ce retrait signifie également que RTVE ne diffusera ni la finale de l’Eurovision 2026… ni les demi-finales préliminaires. »

    La chaîne de télévision slovène RTV a ajouté que sa position « reste également inchangée ». « Les récentes modifications réglementaires ne changent rien à notre position. En tant que diffuseur de service public, RTV Slovenia est attachée au respect des principes éthiques et attend que les mêmes règles et normes s’appliquent à tous les membres de l’UER et à tous les pays participants. »

    La chaîne de télévision belge a déclaré qu’elle « prendrait position dans les prochains jours ».

    La compagnie islandaise RÚV a déclaré qu’elle ne prendrait pas de décision définitive concernant sa participation avant la semaine prochaine.

    A l’inverse, l’Allemagne avait menacé de se retirer de la compétition si Israël était exclu, et a salué la décision de jeudi.

    Un concours de plus en plus abject

    Il reste à préciser que ce concours est devenu au fil du temps une abjecte vitrine du mauvais goût, des perversions et même du satanisme.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Israël menace la France si elle reconnaît l’État de Palestine

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2025

     

    par Infos Brutes

    Le gouvernement de Benjamin Netanyahou a averti la France d’une «réponse forte» si elle venait à reconnaître l’État de Palestine lundi prochain.

    Parmi les mesures envisagées :

    • La fermeture du Consulat français à Jérusalem

    • La prise de contrôle des domaines français a Jérusalem (comme le Tombeau des Rois, le Couvent du Pater Noster ou l’Église Sainte-Anne), administrés par la France depuis les accords ottomans du XVIe siècle pour protéger et accueillir les pèlerins chrétiens.

    source : Infos Brutes via lesmoutonsrebelles

  • “Interdit aux Juifs.”

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2025

    547218393_10161552835747791_7126305552862808315_n.jpg

     

    “Interdit aux Juifs.”
    C’est en voyant ce panneau, planté à l’entrée d’un village arabe en Israël, que Charlie Kirk a compris : l’apartheid, ce n’est pas toujours celui qu’on croit.
    Ce jour-là, sa vie a basculé. Il est devenu l’un des plus farouches défenseurs d’Israël.
    Découvrez l’histoire derrière ce choc.
  • Israël : la Knesset approuve une motion en faveur de l’annexion de la Cisjordanie

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2025

    Auteur : 

    Cisjordanie : l'assaut des colons israéliens
    Cisjordanie : l’assaut des colons israéliens

    La Knesset a adopté, le 23 juillet dernier, une motion symbolique appelant à l’annexion de la Cisjordanie. La résolution non contraignante définit la Cisjordanie comme « indissociable de la Terre d’Israël ». Le plan messianique visant à construire le Grand Israël se poursuit.

    La Knesset, c’est-à-dire le parlement de l’État hébreux, a approuvé une motion non contraignante en faveur de l’annexion de la Cisjordanie

    Pendant que la famine extermine les Palestiniens de Gaza, pour les plus chanceux qui survivront les poussera à émigrer loin de leurs terres ancestrales, Israël avance sur le front de la Cisjordanie. Les pulsions messianiques pour établir le Grand Israël, sur des fondements bibliques, sont à l’œuvre.

    La Knesset, c’est-à-dire le parlement de l’État hébreux, a approuvé mercredi une motion non contraignante en faveur de l’annexion de la Cisjordanie, un geste symbolique mais lourd de sens qui a uni la coalition gouvernementale de droite, habituellement divisée.

    Adoptée par 71 voix contre 13, la résolution proclame que la Cisjordanie est « une partie indissociable de la Terre d’Israël, patrie historique, culturelle et spirituelle du peuple juif », que les grandes villes palestiniennes telles que Hébron et Naplouse, ainsi que les colonies illégales de Shiloh et Beit El, expriment « la continuité historique de la présence juive en Terre d’Israël » et « qu’Israël a un droit naturel, historique et légal sur tous les territoires de la Terre d’Israël ».

    « La souveraineté en Judée-Samarie [le nom par lequel Israël désigne la Cisjordanie, qu’il occupe et colonise illégalement depuis 1967] fait partie intégrante de la réalisation du sionisme et de la vision nationale du peuple juif, qui est retourné dans sa patrie », affirme encore le texte.

    « C’est notre terre. C’est notre foyer. La Terre d’Israël appartient au peuple d’Israël », a déclaré Amir Ohana, président de la Knesset

    La Knesset a également réitéré sa décision selon laquelle l’idée d’un État palestinien « a été retirée de l’ordre du jour ». Elle invite le gouvernement à « appliquer la souveraineté, la loi, le jugement et l’administration israéliens à toutes les zones d’implantation juive de toutes sortes en Judée, en Samarie et dans la vallée du Jourdain », selon la terminologie du gouvernement pour désigner la Cisjordanie. Cette motion a été présentée par les députés Simcha Rothman (HaTzionout HaDatit), Dan Illouz (Likud) et Oded Forer (Yisrael Beytenu).

    « C’est notre terre. C’est notre foyer. La Terre d’Israël appartient au peuple d’Israël », a déclaré Amir Ohana, président de la Knesset, après le vote :

    « En 1967, l’occupation n’a pas commencé ; elle a pris fin, et notre patrie a été rendue à ses propriétaires légitimes. Nous sommes les premiers habitants originels de cette terre. Les Juifs ne peuvent pas être les ‘occupants’ d’une terre qui, depuis 3 000 ans, s’appelle la Judée. »

    L’Autorité Palestinienne (AP) a réagi en qualifiant ce vote « d’escalade dangereuse qui compromet les perspectives de paix, de stabilité et la solution à deux États »

    Israël a repris la Cisjordanie à la Jordanie lors de la Guerre des Six Jours en 1967. Le territoire abrite aujourd’hui plus de 500 000 résidents d’implantations israéliens et plus de 2 millions de Palestiniens. « Une grande partie de la communauté internationale estime qu’Israël occupe illégalement ce territoire et considère les implantations comme une violation du droit international, ce qu’Israël conteste » rappelle le quotidien israélien The Times of Israel qui précise :

    « L’annexion de la Cisjordanie, ou de ses implantations israéliennes, est une aspiration de longue date de la droite israélienne. En 2019, à l’approche des élections législatives, Netanyahu s’était engagé à annexer la vallée du Jourdain, sur le flanc oriental du territoire. Mais cet engagement, ainsi que d’autres efforts similaires, ont été relégués au second plan dans le contexte d’une crise politique prolongée marquée par une série d’élections sans issue. Depuis lors, le gouvernement n’a pas donné suite à un projet de loi contraignant sur l’annexion, bien qu’il ait voté l’an dernier, à une écrasante majorité, contre la création d’un État palestinien ».

    L’Autorité Palestinienne (AP) a réagi à ce vote approuvant l’annexion de la Cisjordanie le qualifiant « d’escalade dangereuse qui compromet les perspectives de paix, de stabilité et la solution à deux États », « d’atteinte directe aux droits du peuple palestinien », qui ne bénéficierait pas des mêmes droits que ses voisins israéliens dans un scénario où Jérusalem annexerait la Cisjordanie. Exhortant la communauté internationale à intervenir pour mettre fin aux « violations » israéliennes, le numéro 2 de l’AP a déclaré que les pays devraient reconnaître un « État palestinien » en réponse.

    Ce projet messianiste de Grand Israël qui comprendrait bien évidemment la Cisjordanie, appelée par les Israéliens de son nom biblique « Judée -Samarie » date depuis les débuts du sionisme. En 2016, MPI informait sur la volonté de l’Etat hébreux de s’approprier des terres agricoles en Cisjordanie et rappelait que « les Palestiniens accusent Israël de vouloir de facto démembrer la Cisjordanie étape après étape pour rendre impossible la création d’un État palestinien » et que ce projet de confiscation constitue « un pas de plus pour rendre impossible la solution à deux États ».

    Le Grand Israël et sa dimension messianiste : « ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre »

    « Refonder le Grand Israël, reflet de leur puissance matérielle, dans des frontières bibliques, et en assumant toute la violence contenue dans l’Ancien Testament, est le projet d’une partie de la classe politique, des militaires et de la société israélienne, porté par bon nombreux d’athées israéliens et des membres de la sphère religieuse » (Dangereuse escalade au Moyen-Orient : la dimension religieuse et messianiste de cette guerre sans fin, MPI).

    Depuis des mois, des années, nous l’écrivons sur MPI : la guerre au Proche-Orient, sur cette terre de Palestine où est né le Christ, a une dimension messianiste et religieuse particulière, car fondée sur ce que la grande figure du judaïsme français au XIXe siècle, le sioniste socialiste et journaliste Bernard Lazare définit, dans son ouvrage majeur L’Antisémitisme, son histoire et ses causes, comme « ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre et repoussa toujours la lointaine et problématique espérance d’un éden après la mort ».

    Ainsi, qu’ils soient athées ou religieux, les juifs modernes tels ces juifs anciens qui rejetèrent le Christ comme le Messie se prévalent de la Bible pour donner une assise ‘historique’ à leurs espérances planétariennes au profit du rétablissement du Royaume terrestre d’Israël dans les frontières bibliques, le Grand Israël. Qui avance inexorablement…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Israël : création d’une « ville humanitaire » à Rafah, Gaza, ou camp de concentration ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2025

    Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz,annonce un projet de création d'une « ville humanitaire sur les ruines de Rafah », juillet 2025
    Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz,annonce un projet de création d’une « ville humanitaire sur les ruines de Rafah », juillet 2025

    Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, annonce un projet de création d’une « ville humanitaire sur les ruines de Rafah », où Israël transférera initialement 800 000 Gazaouis qui y seraient confinés avant de concentrer à terme les 2,2 millions d’habitants.

    Israël veut créer créer une nouvelle « ville humanitaire » fermée dans le sud de la bande de Gaza, sur les ruines de Rafah

    Le Times of Israël se fait l’écho de la dernière proposition du ministre de la Défense israélien, Israel Katz. Ce dernier a déclaré lundi à la presse qu’il avait chargé l’armée israélienne et son ministère de présenter un plan visant à créer une nouvelle « ville humanitaire » fermée dans le sud de la bande de Gaza, sur les ruines de Rafah.

    « Selon Katz, écrit Times of Israël, l’objectif de cette zone est d’accueillir dans un premier temps quelque 600 000 Palestiniens qui vivent dans la région côtière de Mawasi depuis qu’ils ont été déplacés d’autres régions de l’enclave, après avoir été soumis à un contrôle visant à s’assurer qu’aucun membre du groupe terroriste palestinien du Hamas ne se trouve parmi eux ».

    Les Palestiniens ne seront pas autorisés à quitter cette « ville humanitaire » fermée

    La population serait soumise à « un contrôle de sécurité » militaire avant d’entrer, afin de s’assurer qu’aucun membre du Hamas n’en fasse partie, a précisé le ministre israélien de la Défense. Une fois admise dans une zone sous contrôle israélien, la population Gazaouie aurait l’interdiction d’en sortir, en somme y serait confinée, concentrée… Cette zone serait gérée par des organisations internationales. « Les Palestiniens ne seront pas autorisés à quitter la zone » a en effet déclaré Israël Katz.

    Mais il va plus loin dans son plan : il envisage que toute la population civile de Gaza, soit plus de 2 millions de personnes, soit finalement concentrée dans cette zone, tandis que Tsahal assurerait sa sécurité à distance, et que des organismes internationaux s’emploieraient à gérer la région. Quatre sites supplémentaires de distribution d’aide humanitaire seraient créés dans la région, a-t-il déclaré.

    L’objectif final de ce plan est « d’encourager les Palestiniens à « émigrer volontairement » de la bande de Gaza vers d’autres pays

    Selon lui, sa stratégie permettrait de protéger les civils des zones contrôlées par le Hamas et d’affaiblir l’influence de ce groupe dans le sud de Gaza. Quatre autres sites de distribution d’aide humanitaire seraient créés dans la région. La construction de cette « ville » pourrait commencer pendant le cessez-le-feu de 60 jours entre Israël et le Hamas, en cours de négociation actuellement » a précisé le ministre israélien.

    L’objectif final de ce plan est, toujours selon Katz, « d’encourager les Palestiniens à « émigrer volontairement » de la bande de Gaza vers d’autres pays, affirmant que ce plan « devait être mis en œuvre ». Cette « ville humanitaire » qui n’a d’humanitaire que le nom, pourrait être utilisée comme point de transit où les Gazaouis pourraient « résider temporairement, se déradicaliser, se réinsérer et se préparer à se réinstaller s’ils le souhaitent ».

    Cette « ville humanitaire » qui n’a d’humanitaire que le nom ressemble plus à un camp de concentration

    En résumé, ce plan vise « à déplacer toute la population palestinienne de la bande de Gaza » analyse Times of Israël qui précise que « les déclarations du ministre de la Défense ont été faites peu après l’arrivée de Netanyahu aux États-Unis pour rencontrer le président Donald Trump, alors que ce dernier fait pression pour conclure un accord visant à mettre fin à la guerre à Gaza et à ramener les otages encore détenus par le Hamas ».

    TV5 Monde souligne que « Des experts juridiques considèrent ce plan comme une violation grave du droit international, équivalente à de l’épuration ethnique. L’avocat israélien, Michael Sfard, parle de « plan opérationnel pour un crime contre l’humanité » dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian ».

    Vraiment « ville humanitaire » ? Ou plutôt camp de concentration ?

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info