Publié par Guy Jovelin le 21 février 2025
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Massacre en Israël
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Trump, le larbin d’Israël, signe un décret pour identifier et expulser les antisémites
Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2025
Quel Premier Amendement ? Le héros de la ‘liberté d’expression‘, n’est-ce pas ? Trump, contrôlé par Israël et l’AIPAC, ‘ signe un décret pour identifier, punir et expulser les antisémites — y compris les étudiants avec des visas.‘Qui décide de ce qui est ‘antisémite‘ ? Lui, non, euh, ISRAËL le décide. Et les faux défenseurs de la liberté d’expression applaudissent leur chef sans la moindre gêne. »
Donald Trump a signé mercredi un décret exécutif visant à lutter contre l’antisémitisme, particulièrement sur les campus universitaires américains où les incidents se sont multipliés depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
Selon ce décret, tous les dirigeants des départements et agences fédérales devront examiner et rapporter à la Maison Blanche, dans un délai de 60 jours, l’ensemble des outils juridiques civils et pénaux disponibles pour combattre l’antisémitisme. Le texte exige également une action immédiate du Département de la Justice pour « maintenir l’ordre, réprimer le vandalisme et l’intimidation pro-Hamas, et enquêter sur le racisme anti-juif dans les universités anti-américaines ».
Trump a aussi averti : « À tous les résidents étrangers qui ont participé aux manifestations pro-djihadistes, nous vous prévenons : en 2025, nous vous retrouverons et nous vous expulserons. J’annulerai également rapidement les visas étudiants de tous les sympathisants du Hamas sur les campus universitaires, qui ont été infestés par le radicalisme comme jamais auparavant. »
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Donald Trump suspend l’aide étrangère américaine pour 90 jours, à l’exception de l’Ukraine et d’Israël…
Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2025
Le président Donald Trump a signé lundi un décret exécutif pour suspendre tous les programmes d’aide étrangère des États-Unis pendant 90 jours, en attendant des examens de leur cohérence avec sa politique.« Tous les chefs de département et d’agences responsables des programmes d’aide au développement des États-Unis doivent immédiatement suspendre les nouvelles obligations et les décaissements des fonds d’aide au développement destinés aux pays étrangers », indique le décret exécutif, signé par Trump dans le Bureau ovale.
Cependant, il n’a pas explicitement précisé quel montant d’aide serait initialement affecté par cette mesure.
Le décret souligne que l’industrie et la bureaucratie de l’aide étrangère américaine ne sont pas alignées avec les intérêts des États-Unis et, dans de nombreux cas, sont contraires aux valeurs américaines. Il ajoute : « Elles déstabilisent la paix mondiale en promouvant dans les pays étrangers des idées qui vont directement à l’encontre de relations harmonieuses et stables, tant à l’intérieur des pays qu’entre eux. »
Le décret présidentiel n’affecte pas les programmes d’assistance militaire à l’Ukraine. Le décret de Trump, gelant l’aide étrangère pendant 90 jours, exclut également Israël, l’Égypte et la Jordanie.
Source : lesmoutonsrebelles -
Syrie : « Israël dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans »
Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2024
Le remodelage du Moyen-Orient : la Syrie attaquée à nouveau par les terroristes islamistes La situation en Syrie est catastrophique. Les États-Unis sont-ils derrière ce « regime change » ? Ou Israël via son allié américain ? Réponse dans l’entretien donné par l’économiste américain Jeffrey Sachs au célèbre journaliste Tucker Carlson qui désigne Israël comme le lobby qui « dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans ».
Les révélations de l’économiste américain Jeffrey Sachs auprès de Tucker Carlson
L’économiste américain Jeffrey Sachs (JS) était l’invité de Tucker Carlson (TC). Au cours de cet entretien Jeffrey Sachs a abordé la situation syrienne et le rôle tant d’Israël que des États-Unis dans ce « regime change » sanglant.
« TC : Les Américains ont-ils participé au renversement d’Assad la semaine dernière ?
« JS : Bien sûr, ils ont participé. Il s’agissait d’une opération continue. Ils sont impliqués dans cette opération depuis 13 ans sans interruption. La guerre a commencé en 2011. Comme toujours, la CIA l’a présentée comme un soulèvement local et une lutte pour la liberté. C’est ainsi que fonctionne toute opération de changement de régime de la CIA. La CIA fournit des armes, des armes lourdes, des fonds, des formations, des camps et une organisation politique. En 2012, un conflit sanglant était déjà en cours. Un diplomate de très haut rang que je connaissais très bien a été chargé d’essayer de trouver la paix. Je l’ai rencontré au printemps 2012, et il m’a dit qu’il n’y était pas parvenu. Il a expliqué qu’un accord de paix avait été préparé, mais qu’il était bloqué par une partie. Il y avait plusieurs forces en Syrie, des forces régionales, mais tout était bloqué par un pays. Bloqué par le gouvernement américain.
« TC : Pourquoi ?
« JS : Parce que leur condition était qu’Assad parte le premier jour de l’accord, et non par le biais d’un processus politique. Tous les autres pays ont accepté un processus politique, mais les États-Unis ont dit : non, non, il s’agit d’un changement de régime, Assad doit partir le premier jour. C’était la fin de la tentative de paix. Nous devons comprendre qu’il s’agissait d’une opération américaine. »
Jeffrey Sachs déclare également que ce fut Obama qui « a ordonné à la CIA de renverser Assad. Cela a commencé en 2011. » Et lorsque Tucker Carlson lui demande : « Pourquoi ? » l’économiste américain n’hésite pas à lui répondre :
« Parce qu’Israël dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans. C’est comme ça que ça marche ! Nous avons un lobby Israélien … Nous avons un plan de 7 guerres en 5 ans…. »
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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“Les États-Unis, Israël et la Turquie favorisent l’élimination du christianisme au Moyen-Orient”
Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2024
Le colonel à la retraite Douglas Macgregor a averti que le christianisme est menacé d’extinction au Moyen-Orient en raison des plans d’expansion sionistes, soutenus en grande partie par l’État profond américain. Dans une évaluation du changement de régime en Syrie, l’ancien conseiller de Trump, le colonel Douglas Macgregor souligne :
« Je pense que ce sera la fin de la communauté chrétienne en Syrie et probablement, inévitablement, de ce qu’il en reste en Irak ».
Les gens doivent comprendre que nous assistons à quelque chose que nous n’avons encore jamais vu au XXIe siècle, à savoir la partition formelle d’un pays tiers par au moins deux autres partenaires – et il s’agit de la Syrie.
Selon M. Macgregor, les « partenaires » à l’origine de la partition sont Israël, la Turquie et les États-Unis. Macgregor affirme que l’opération s’inscrit dans une vision sioniste de longue date visant à étendre le territoire d’Israël. « Nous savons déjà que les Israéliens ont des forces à la périphérie de Damas ». Le document sur le Grand Israël comprend la moitié inférieure de la Syrie, une grande partie de la Jordanie et s’étend jusqu’à l’Égypte, ainsi que la majeure partie du Liban. Connu sous le nom de « Plan Yinon », du nom de son auteur, Oded Yinon, le « Plan sioniste pour le Moyen-Orient » semble se concrétiser, comme l’affirme Macgregor. Il explique :
« Il y a deux semaines, trois semaines, lorsque les choses allaient très, très mal au Sud-Liban, ainsi qu’à Gaza, les gens ont perdu de vue ce plan, mais cela fait un certain temps qu’il est en préparation ».
Le chef des soi-disant « rebelles » en Syrie est un homme qui a rejoint Al-Qaïda en 2003 et a été chargé par le chef d’ISIS de créer un groupe terroriste en Syrie.
« Bien sûr, M. Erdogan n’a jamais caché ses ambitions ottomanes », a déclaré M. Macgregor, rappelant l’ancien empire islamique des Turcs, “il y a des cartes qui circulent à la télévision turque et qui montrent la Grèce et la Bulgarie comme faisant partie de la Turquie, ainsi que la majeure partie du Caucase, des parties du nord de l’Iran, la majeure partie de la Syrie et la majeure partie du nord de l’Irak”.
M. Macgregor affirme qu’Israël et la Turquie cherchent tous deux à se partager la Syrie, avec l’autorisation apparente des États-Unis.
« Il s’agit de deux États avec deux dirigeants à l’heure actuelle : Netanyahou et Erdogan, qui sont déterminés à réaliser leurs rêves et nous leur avons simplement dit d’y aller ».
Selon M. Macgregor, de tels projets ont été évoqués pendant des décennies de part et d’autre, mais ils se concrétisent aujourd’hui et risquent de déstabiliser la région et le monde avec le danger d’une guerre plus vaste.