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maroc - Page 6

  • “Couscousgate” : la graine de la discorde entre le Maroc et l’Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2021

  • En Algérie et au Maroc : les migrants subsahariens seraient massivement victimes d’exploitation, de séquestration, de viol, voire de trafic d’organes

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2021

    Le Maroc et l’Algérie, l’enfer des migrants subsahariens

    Les migrants subsahariens, en quête de l’eldorado européen, seraient victimes de traite, d’agressions physiques et de viol, durant leur transit en Méditerranée, en particulier au Maroc et en Algérie.

    Les résultats de l’enquête menée par la branche espagnole de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), sur un échantillon de 1340 migrants originaires de 39 pays africains, rapportée par le Huffpost, lèvent le voile sur l’enfer vécu, par ces derniers, dans les principaux pays de transit vers L’Europe, en particulier au Maroc et en Algérie.

    En effet, plus de la moitié des migrants interrogés ont avoué avoir été victimes, au moins une fois, d’exploitation, de séquestration, d’agressions physiques, de viol, voire de trafic d’organes, de la part d’individus armés ou de groupes non gouvernementaux, dans les régions de Tamanrasset et Timiaouine, en Algérie, et Tanger et Nador, au Maroc.

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Bladi

  • Maroc : des appels au boycott des produits français après l’annonce de la réduction du nombre de visas

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2021

    A la suite à la décision de la France de réduire de 50% l’octroi des visas aux Marocains et à celle de la justice européenne relative à l’annulation de deux accords de libre-échange, des appels au boycott des produits français ont été lancés au Maroc.

    Les Marocains tentent d’apporter la réplique à de récentes décisions qui ne vont pas dans le sens de leur alléger l’existence. La première étant la décision de la justice européenne relative à l’annulation de deux accords de libre-échange portant sur les produits agricoles et la pêche entre le royaume et l’Union Européenne. Quant à la seconde décision, elle concerne l’annonce par la France de réduire de 50% l’octroi des visas aux Marocains.

    « À tous les Marocains, il faut impérativement boycotter tous les produits français. Nous n’en sortirons que par la force de notre union… Tant que ce n’est pas le visa pour Mekka, je boycotte la France ainsi que tous ses produits ». Ce sont entre autres, comme le relève la presse marocaine, les messages inscrits sur les affiches publiées sur les réseaux sociaux, appelant les citoyens marocains au boycott des produits français. […]

    Le lancement de cette campagne de boycott intervient aussi après l’annulation de deux accords de libre-échange portant sur les produits agricoles et la pêche entre le royaume du Maroc et l’Union Européenne. Toutefois, dans une déclaration commune, le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, et le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, comptent poursuivre la coopération entre l’Union Européenne et le royaume du Maroc.

    Afrik.com via fdesouche

  • L'Afrique Réelle n°142 - Octobre 2021, par Bernard Lugan.

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2021

    Sommaire

    Numéro spécial :
    Le contentieux algéro-marocain


    - L’état de la question du Sahara 
    - Une situation figée (1979-2021)
    - La guerre des sables (octobre-novembre 1963) 
    - Le Maroc dans l’espace saharo-méditerranéen
    - Les reconnaissances internationales de la marocanité du Sahara occidental
    - L’Espagne et la France détachent le Sahara occidental du Maroc
    - Derrière le contentieux algéro-marocain, la frustration de l’Algérie de n’avoir jamais existé comme Nation

    Editorial de Bernard Lugan

    algérie,l'afrique réelle,marocLa crise qui couvait entre l’Algérie et le Maroc depuis plusieurs années, a éclaté au grand jour le 24 août 2021 quand Alger annonça la rupture unilatérale de ses relations diplomatiques avec Rabat. Puis, le 22 septembre, dans une surenchère politique, le gouvernement algérien décida la fermeture de son espace aérien aux avions marocains et à tous ceux immatriculés au Maroc. 
    Cette rupture entre les deux pays est-elle une simple crispation annonçant un grand marchandage régional, ou doit-elle au contraire être considérée comme une veillée d’armes ? 
    En Algérie où rien ne se dit clairement, tout repose sur le non-dit. Or, à la fin du mois d’août, le ministre algérien des Affaires étrangères a laissé échapper la vraie raison de la crise, en déclarant que le contentieux algéro-marocain remonte à l’année 1963. Donc à la « guerre des sables », qui opposa les deux pays et qui vit une victoire militaire marocaine. Une humiliation qui hante encore Alger. 
    Le cœur du problème est en effet celui des frontières entre les deux pays. Pour créer l’Algérie, un pays qui n’avait jamais existé, la France démembra en effet le Maroc sur toute sa frontière orientale, lui enlevant plusieurs régions historiquement marocaines, qu’il s’agisse de Tindouf, du Gourara, du Tidikelt et autres, comme cela est expliqué et cartographié dans ce numéro. 
    A cela, s’ajoute la question du Sahara occidental, immensité arrachée au Maroc par la colonisation espagnole. Or, pour les Marocains, il s’agit de leur « Alsace-Lorraine », alors que les Algériens voudraient la création d’un « Etat saharaoui » qui leur soit inféodé et qui interdirait au Maroc de disposer d’un littoral de plusieurs milliers kilomètres depuis Tanger au nord jusqu’à la frontière mauritanienne au sud. 
    Hubert Védrine, ancien chef de la diplomatie française a lumineusement résumé la question en disant que : « (…) l’affaire du Sahara est une affaire nationale pour le Maroc et une affaire identitaire pour l’armée algérienne ».
    Affaire identitaire, en effet, d’autant plus que l’actuel chef d’état-major algérien, le général Saïd Chengriha, ancien commandant de de la Troisième région militaire, celle qui a pour cœur Tindouf et qui fait donc face au Maroc, nourrit une aversion connue à l’égard de ses voisins marocains. Quant à ses sympathies pour le Polisario, elles ne sont plus à démontrer.
    Pour une Algérie « enclavée » dans cette mer fermée qu’est la Méditerranée, il est insupportable de devoir constater que le Maroc dispose au contraire d’une immense façade maritime océanique ouvrant de ce fait le royaume à la fois sur le « grand large » atlantique et sur l’Afrique de l’Ouest. Jamais l’Algérie n’acceptera d’admettre cette réalité géostratégique. Là est bien le fond du problème. 
    Dans ces conditions, le risque est donc que, acculée par ses colossaux problèmes intérieurs, l’Algérie, pays en faillite après avoir été consciencieusement pillé par ses dirigeants depuis 1962, décide une fuite en avant suicidaire à travers le recours aux armes.
     
  • Ceuta : le Maroc et l’Espagne empêchent des centaines de migrants marocains de franchir la frontière

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2021

    Un groupe de Marocains a tenté de franchir la frontière avec Ceuta en début d’après-midi, ce qui a conduit à la mobilisation des unités de la police nationale et de la garde civile, écrit ce mercredi El Faro de Ceuta. Le média local note que le groupe reste moins nombreux que les quelque 300 personnes qui ont tenté, mardi, d’atteindre la ville de manière irrégulière, après la diffusion de fausses informations sur une ouverture des frontières.

    Des sources consultées par le journal ont confié qu’une centaine de personnes ont pris part à cette deuxième tentative. Il s’agit principalement de «personnes restées dans la région de Castillejos (Fnideq) et n’ayant pas été dispersées par les forces de l’ordre après un travail policier intense au petit matin du côté marocain».

    La deuxième tentative, qui a eu lieu après deux heures de l’après-midi, n’était ainsi pas visible du côté espagnol de la frontière. La police marocaine a été déployée pour empêcher la foule de s’approcher de la frontière. Pendant ce temps, des patrouilles de la police nationale et de la Garde civile ont été mobilisées à titre préventif du côté espagnol de la frontière.

    La préfecture de police de Tétouan a ouvert, mardi soir, une enquête judiciaire sous la supervision du parquet compétent pour identifier et interpeller toutes les personnes impliquées dans la diffusion de «fake news» incitant à l’immigration irrégulière et prétendant frauduleusement l’allègement des procédures de contrôle frontalier. […]

    yabiladi via fdesouche