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messe - Page 3

  • L’entraîneur de l’équipe croate est parvenu à faire célébrer une messe à l’hôtel qui les loge au Qatar !

    Publié par Guy de Laferrière le 14 décembre 2022

    Auteur : 

    Dans un pays, le Qatar, où il est difficile d’assister à la messe, l’entraîneur de l’équipe nationale de Croatie a demandé et réussi à faire célébrer la messe à l’hôtel au Qatar.

    Dans un article de La Bussola Quotidiana, Guido Villa raconte l’atmosphère euphorique qui règne dans toute la Croatie. Une vague d’enthousiasme a déferlé sur tous les âges, toutes les professions et même chez ceux qui n’aiment pas le football, ce qui a conduit les autorités à faciliter le suivi de la Coupe du monde.

    Selon Villa, malgré le fait qu’il y ait une forte baisse de la pratique religieuse, la foi en Dieu représente toujours un aspect très important du peuple croate, et même les joueurs de l’équipe nationale de football et leur entraîneur ne font pas exception.

    Ainsi, l’entraîneur Zlatko Dalić a demandé et réussi à organiser une messe pour l’équipe et les entraîneurs à l’hôtel de Doha, à laquelle ont assisté tous les joueurs de l’équipe et Dalić lui-même. Dalić, originaire de Livno, en Bosnie, catholique pratiquant qui porte toujours un chapelet dans sa poche, et le sort même pendant les matchs, a toujours témoigné publiquement de sa foi.

    Dalić, interrogé sur le secret de son équipe, a répondu à la presse : « C’est vraiment une victoire pour le peuple croate, c’est exactement ce dont nous avons besoin, un beau match de la première è la dernière minute, c’est la Croatie. Quand il y a besoin, quand arrivent les moments décisifs, la fierté, la foi et l’amour nous guident ! Cette équipe est la fierté de notre pays !« 

    Pour Guido Villa, Zlatko Dalic, catholique pratiquant, est l’expression de la foi forte d’un peuple, les Croates de Bosnie, éprouvé par des siècles de persécution, et que les événements tragiques de la guerre des années 1990 n’ont pas seulement éraflés mais renforcés. Dès son plus jeune âge, il était enfant de chœur dans l’église franciscaine près de chez lui à Livno, à l’époque du communisme de Tito, dans lequel l’affichage public de la foi catholique était souvent un motif de persécution, à la fois à l’école et au travail. Avec un credo éprouvé au creuset d’un milieu hostile et après guerre, la profondeur et la foi avec lesquelles Dalic regarde les choses de la vie et l’humilité qu’il pratique et recommande souvent à ses joueurs n’ont rien d’étonnant.

    « Chacun de nous« , a déclaré Dalic dans une interview à Glas Koncila, l’hebdomadaire proche de l’archidiocèse de Zagreb, « porte sa croix d’une manière ou d’une autre. Des moments difficiles arrivent, et l’homme ne doit pas baisser les bras, se laisser couler, tomber« . Cependant, « ce n’est qu’avec la foi que l’homme peut revenir sur le droit chemin d’une manière plus ferme. Il faut porter la croix avec dignité, la porter avec intégrité et force. Dans des situations qui semblent sans issue, une solution est trouvée, il faut y croire« .

    L’entraîneur croate admet que par le passé, il s’est perdu dans des choses insignifiantes. Maintenant, dit-il, « je comprends qu’un homme doit se donner à sa famille et ne pas se contenter de courir après le travail et l’argent« . Il affirme que « Dieu est présent quotidiennement dans ma famille et dans ma vie,… et pour tout ce qu’il a fait dans ma vie, je peux remercier la foi et le bon Dieu ». Lorsqu’il regarde ses joueurs en plein match, Dalic prend parfois une pose un peu étrange, conservant sa main droite dans sa poche pendant qu’avec la main gauche il donne des instructions à ses joueurs. Le même entraîneur croate explique ce fait : « Le chapelet est toujours avec moi, et quand je me sens un peu agité, je mets la main dans ma poche, égrène le chapelet et tout devient plus facile.« 

     

    Source : medias-presse.info

  • Messe pour la reine d’Angleterre?

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2022Messe pour la reine d’Angleterre?

    reine-dangleterre-230x180.jpeg

    De Denis Crouan pour le Salon beige:

    A l’occasion du jubilé de la Reine d’Angleterre, on apprend qu’une “messe” est célébrée à la cathédrale Saint-Paul de Londres. Une messe ? Dans l’Eglise anglicane, la messe n’existe pas. Mais il est vrai que même les catholiques sont devenus incapables de faire la différence entre une messe et une autre cérémonie religieuse. On voit à quel niveau d’inculture religieuse nous sommes tombés à force de tolérer n’importe quoi dans nos églises.

     

    Source : lesalonbeige

  • Angers : les antifas attaquent une église pendant la messe

    Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2022

    Les antifas (extrême-gauche violente obnubilée par « l’extrême-droite ») sont la lie de l’humanité, comme nous avons eu maintes fois l’occasion de le signaler, tout en étant choyés par le Système. Nouvel exemple aujourd’hui.

    Imaginez un instant que des manifestants nationalistes attaquent une mosquée ou une synagogue pendant un culte… Non, les conséquences médiatiques, politiques et policières ne sont même pas imaginables.

    Mais dans la « France d’après », voici ce qui se passe, comme un Angevin le raconte :

    « Aujourd’hui l’extrême-gauche manifeste contre le capitalisme. (Après avoir voté Macron…)
    À Angers, sans qu’il n’y ait la moindre interpellation, ils s’en sont pris à des paroissiens et ont dégradé l’intérieur et l’extérieur de l’église.
    Revenus une heure plus tard masqués derrière une banderole christianophobe, il a fallu que des paroissiens chargent pour protéger l’église et les familles et jeunes enfants présents à l’intérieur.
    La police a procédé à une interpellation… côté cathos, pas agresseurs ! »
     
    Et RCF :

    « Jets d’œufs et de peinture. Les paroissiens visés se souviendront de cette messe du 1er mai. Les portes de l’église Notre-Dame des Victoires à Angers également. Victimes de la rage d’une partie des manifestants du cortège syndical du 1er mai.

    Porte entrée Notre-Dame des Victoires 1

     

    Le départ ayant été donné depuis la Bourse du travail place Imbach, l’église se situant de l’autre côté de cette même place, il n’aura pas fallu longtemps pour que les syndicalistes arrivent devant les portes de l’édifice et qu’une partie d’entre eux -ceux répondant à l’appel du Réseau Angevin Anti Fasciste (RAAF)- s’en prenne à des paroissiens retardataires en leur jetant œufs et peinture au visage. L’arrivée de jeunes paroissiens aux portes de l’église, afin de prévenir toute potentielle tentative d’intrusion durant l’office dominical, ne fera que raviver la rage des militants d’extrême gauche. Une haine qu’ils déchargeront sur les portes de l’église en redoublant de jets de peinture et de slogans christianophobes.

    Porte entrée N-D des Victoires

    Après un relatif retour au calme qui a permis à la messe de continuer et au cortège syndical de poursuivre son chemin à travers les rues d’Angers, les militants d’extrême-gauche sont revenus à la charge. Manifestant devant l’église peu avant la fin de la messe, ils portaient une banderole où l’on pouvait lire « Nous sommes là pour défier ceux qui passent leur temps à se déifier ».

    Un court affrontement entre des jeunes venus assister à la messe et les militants d’extrême gauche a eu lieu. La police est intervenue, dispersant les deux camps. Les paroissiens purent quitter l’église par les porte latérales, sous surveillance de la police. »

     

    Source : contre-info

  • Vaccin obligatoire pour assister à la messe

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2021

    Vaccin obligatoire pour assister à la messe

    113615195_covidvaccine-230x180.jpg

    C’est désormais la règle au Canada, en attendant que cette règle hygiéniste traverse l’Atlantique…

    Dès lundi, de nombreuses mesures devront être respectées pour avoir accès aux églises, comme l’obligation de présenter le passeport vaccinal. Certaines règles avaient été annoncés jeudi soir dans un document général publié au moment de la conférence de presse du premier ministre, François Legault. Des précisions ont cependant été transmises par la santé publique, comme celles qu’a publiées le diocèse de Chicoutimi dans un communiqué vendredi. Ainsi, le passeport vaccinal sera désormais obligatoire pour les personnes de 13 ans et plus. Cependant, la carte d’identité ne sera pas demandée pour les personnes de 75 ans et plus.

    Les fidèles devront rester assis et être masqués sauf s’ils ont à prendre la parole. Pour les mariages et les funérailles, il y aura possibilité de tenir une cérémonie sans passeport vaccinal avec un maximum de 25 personnes. Les églises ne pourront être remplies qu’à moitié et il sera interdit d’y accueillir plus de 250 personnes à la fois.

    Une distance d’un mètre devra être observée entre les différentes cellules familiales. Les chorales auront encore le droit de chanter, avec certaines conditions.

     

    Source : lesalonbeige

  • Une crise sanitaire qui fait tomber les masques

    Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021

    Une crise sanitaire qui fait tomber les masques

    L’Homme Nouveau a consacré un dossier à la crise de foi, révélée par la crise sanitaire. Anne Bernet, après avoir rappelé dans un article l’attitude de l’Eglise au cours des pandémies de l’Histoire, termine par l’attitude des chrétiens aujourd’hui, face à une pandémie pas vraiment terrible par rapport à la peste ou le choléra :

    […] Il est bien plus inquiétant, en revanche, de constater, autre révélation cruelle de la pandémie, l’effondrement des vérités de la foi dans les rangs catholiques. Si l’on ne peut guère demander à un ministre de l’Intérieur de saisir le sens de la messe, la Présence réelle et la nécessité vitale, pour un croyant, d’avoir accès à l’eucharistie, il faut s’interroger sur ce que la messe et l’eucharistie signifient pour un clergé, un épiscopat, qui les ont si facilement supprimées, sans mesurer la souffrance qu’ils infligeaient aux âmes, accusées d’immaturité par certains hauts prélats sous prétexte qu’elles réclamaient le Pain de vie et criaient leur faim, et pour des catholiques « pratiquants » qui ont adopté une messe virtuelle moins contraignante et une « communion spirituelle » soudain magnifiée alors que, depuis cinquante ans, l’accès au sacrement s’était désacralisé…

    Un tiers des « messalisants » n’aurait pas remis les pieds à l’église après le déconfinement, preuve que la messe ne signifiait plus grand-chose pour eux. Quant à ceux que l’Église aurait pu reconquérir, en leur apportant le message évangélique et leur enseignant que le Christ, à la différence des médecins, avait, une fois pour toutes, vaincu la mort, nul n’a songé à s’adresser à eux. Une autre leçon de la pandémie aura été de mettre en lumière l’incapacité d’une partie du monde catholique à fournir à ces gens terrifiés les grandes réponses, les grands remèdes qui fu- rent, toujours, ceux de l’Église. Pourquoi, sinon parce que ceux auxquels il appartient de les enseigner n’ont plus foi dans les moyens et les vérités surnaturelles ?

    « Je crois en Dieu, le Père tout- puissant… » Vraiment ? !

     

    Source : lesalonbeige