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nantes - Page 9

  • Nantes : à sa sortie de garde à vue, le Roumain vole un vélo devant le commissariat

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2021

    Son premier passage par les geôles de Waldeck-Rousseau, à Nantes, ne l’a pas dissuadé. Mis en cause dans une première affaire de tentative d’escroquerie et de recel de vol d’un véhicule, un jeune homme de 19 ans d’origine roumaine a retrouvé la liberté avec une composition pénale en poche, ce mardi 25 septembre.

    Tout juste sorti du commissariat de Nantes, il est surpris, à deux pas de là, en train de voler un vélo électrique le long des quais.

    La police est alertée, le mis en cause interpellé. Retour à la case départ. Cette fois, le parquet a choisi à son encontre la voie de la composition pénale.

    Ouest-France via fdesouche

  • Nantes : Il traîne son chien accroché à la voiture sur le périphérique, avant de l’abandonner agonisant

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2021

    Il laissait son chien agonisant sur le bas-côté du périphérique de Nantes, après l’avoir traîné accroché au bout d’une laisse sur plusieurs mètres. Ce sont des automobilistes choqués qui ont appelé la police en début de soirée, après avoir croisé la route de ce chauffard maltraitant. Il avait fixé la laisse de son animal à l’attelage de son véhicule, qu’il a fini par libérer sur la bande d’arrêt d’urgence en piteux état, avant de reprendre la route.

    Le chien a été pris en charge par les services vétérinaires du service départemental d’incendie et de secours de Loire-Atlantique.

    La police a de son côté lancé une enquête pour retrouver le conducteur, grâce à la vidéosurveillance notamment.

    20Minutes via fdesouche

  • Nantes : Une cinquantaine de bidonvilles et près de 3.000 adultes et enfants roms dans la métropole

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2021

    Le nombre de bidonvilles occupés par des migrants roumains ne diminue pas dans l’agglomération nantaise. Etat des lieux d’une situation explosive alors que l’un de ces terrains a récemment été détruit par un incendie

    Le 23 avril, un incendie ravageait les caravanes et cabanes d’un bidonville établi depuis plus de dix ans à Bouguenais, blessant une mère et sa fille. Une partie des familles roms ont depuis été mises à l’abri dans des gymnases, en attendant l’aménagement d’un terrain provisoire. Cet événement a remis en lumière la situation précaire des migrants roumains installés dans l’agglomération nantaise. Cette dernière compte en effet une cinquantaine de bidonvilles, un record en France selon les associations. Etat des lieux avec Philippe Barbo, membre du collectif Romeurope, fondateur de trois associations et spécialiste du sujet à Nantes.

    Combien de migrants roumains vivent autour de Nantes ?

    « On dénombre 600 familles, soit près de 3.000 adultes et enfants. Le nombre fluctue au cours de l’année puisque certains migrants viennent travailler seulement quelques mois et repartent ensuite. Mais la majorité est sédentaire et présente depuis longtemps sur le territoire », analyse Philippe Barbo. Ces familles sont installées dans une dizaine de communes de l’agglomération, en particulier à Nantes et Saint-Herblain, villes où l’on recense « chacune une dizaine de bidonvilles ».

    D’où viennent ces migrants ?

    Presque tous sont originaires de Roumanie, de la région de Drobeta-Turnu-Severin, non loin de la frontière serbe. Un petit groupe de familles vient aussi du secteur de Cluj, au nord du pays. « Là-bas ils étaient sédentarisés et vivaient dans de petites maisons sans confort ou en appartements. » La plupart ont rejoint la France pour « fuir le chômage et améliorer un petit peu leur niveau de vie »…..

    20 minutes via fdesouche

  • Nantes : 165 migrants, Érythréens pour la plupart, ont pu s’installer dans l’auberge de jeunesse entièrement rénovée et classée patrimoine Nantais

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Depuis le 21 décembre, la Préfecture de Loire-Atlantique et la Ville de Nantes ont confié à l’équipe nantaise d’Aurore la mission d’accueillir, héberger et accompagner des migrants dans l’auberge de jeunesse de La Manufacture*. Ces hommes isolés avaient, depuis février 2020, trouvé refuge dans le gymnase de Talensac, à Nantes.

    Un engagement de la ville de Nantes

    Si les pouvoirs publics ont renforcé la prise en charge des demandeurs d’asile présents dans le département de Loire-Atlantique, le Dispositif national d’accueil reste fortement saturé. Cet engorgement se traduit par l’apparition de modes d’habitat sans droits ni titre (autrement dit des squats), qui présentent des dangers pour la sécurité des personnes et de multiples risques sanitaires. C’était le cas au gymnase de Talensac, vétuste et inadapté.

    « Les demandeurs d’asile doivent pouvoir bénéficier d’un logement, de nourriture et d’un accompagnement social de la part de l’État. C’est la loi. La mise à disposition de l’ancienne auberge de jeunesse de la Manufacture des Tabacs doit permettre à ces personnes d’être accueillies dans des conditions de vie plus dignes » a déclaré Yves Pascouau, l’élu municipal en charge de l’Europe, des migrants et des gens du voyage. « Ces personnes sont rétablies dans leurs droits et mises à l’abri. »

    Propriété de la Ville, l’auberge de jeunesse avait définitivement fermé ses portes au printemps 2020. Des travaux ont été réalisés à l’automne pour la remettre en état. C’est donc dans un lieu totalement réhabilité que 165 migrants, originaires d’Érythrée pour la plupart, ont pu s’installer.

    * La Manufacture – devenue « La Manu » depuis 1977, est une ancienne manufacture de tabacs, inaugurée en 1864 et fermée en 1974.

    Une vaste de campagne de réhabilitation décidée par la municipalité nantaise l’a transformée en un ensemble immobilier accueillant services municipaux, logements, crèche, permanence médico-sociale, halte-garderie, foyer du troisième âge, bibliothèque municipale, salle de gymnastique, maison des associations et auberge de jeunesse.

    Des œuvres d’art sont exposées dans les cours et sur les murs extérieurs des bâtiments.

    C’est un lieu historique du cœur de Nantes, dont les bâtiments sont classé Patrimoine Nantais…..

    Aurore

  • Enrichissement culturel à Nantes : chèvres décapitées dans une cour d’immeuble, têtes carbonisées. Du vaudou ?

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    contre-info

    Au fur et à mesure de l’invasion migratoire en cours, la France, logiquement, se tiers-mondise.
    Cela se traduit, sur le plan culturel, par des pratiques qui peuvent étonner les Français et que la caste politico-médiatique cosmopolite appelle « enrichissement culturel », avec un formidable culot.
    Nous évoquions il y a quelques mois la profanation massive d’un cimetière français par deux « chances pour la France » qui suivaient les consignes d’un marabout au Mali. Les sévices sur animaux à but, probablement, de sorcellerie, vont aussi se multiplier.

    « Vendredi, les policiers reçoivent un appel vers 8 h 40 signalant des individus qui seraient en train de tuer « un gros animal » dans une cour d’immeuble, située secteur du Clos Taureau à Nantes. Précisons d’emblé que le Clos Taureau est une véritable enclave ethnique étrangère où la quiétude est très régulièrement perturbée par ce qu’il convient d’appeler, dans le langage républicain, des jeunes.

    Quand ils arrivent sur place, les agents tombent sur quatre hommes autour d’un SUV. Il s’en dégage une forte odeur de brûlé, raconte un rapport envoyé par la police lundi. À côté, par terre, il y a le cadavre d’une première chèvre découpée en morceaux et sans la tête, et le cadavre entier d’une seconde qui a été égorgée.

    Enfin, dans un bac juste à côté, ils découvrent deux têtes de chèvre brûlées au chalumeau à gaz et carbonisées. Une hachette et deux grands couteaux de cuisine, tous les trois recouverts de sang et retrouvés au sol, sont saisis. Les identités des quatre individus, âgés de 26 à 39 ans, sont relevées – l’âge n’est pas un facteur important lorsque l’on parle des jeunes de ces quartiers. Une enquête a été ouverte par la police pour retrouver l’éleveur des ovins.

    Massacre rituel d’un culte importé du fin fond de l’Afrique ? Simple barbarie de loisir ? Un entrainement sur des cobayes avant de pratiquer sur des êtres humains – dans le cadre de conflits criminels ? Va savoir. Une chose est sûre : on est loin de la culture française et de « La chèvre de Monsieur Seguin » d’Alphonse Daudet.  »

    Sources : Jeune Nation et 20 Minutes