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nantes - Page 9

  • Nantes : Une cinquantaine de bidonvilles et près de 3.000 adultes et enfants roms dans la métropole

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2021

    Le nombre de bidonvilles occupés par des migrants roumains ne diminue pas dans l’agglomération nantaise. Etat des lieux d’une situation explosive alors que l’un de ces terrains a récemment été détruit par un incendie

    Le 23 avril, un incendie ravageait les caravanes et cabanes d’un bidonville établi depuis plus de dix ans à Bouguenais, blessant une mère et sa fille. Une partie des familles roms ont depuis été mises à l’abri dans des gymnases, en attendant l’aménagement d’un terrain provisoire. Cet événement a remis en lumière la situation précaire des migrants roumains installés dans l’agglomération nantaise. Cette dernière compte en effet une cinquantaine de bidonvilles, un record en France selon les associations. Etat des lieux avec Philippe Barbo, membre du collectif Romeurope, fondateur de trois associations et spécialiste du sujet à Nantes.

    Combien de migrants roumains vivent autour de Nantes ?

    « On dénombre 600 familles, soit près de 3.000 adultes et enfants. Le nombre fluctue au cours de l’année puisque certains migrants viennent travailler seulement quelques mois et repartent ensuite. Mais la majorité est sédentaire et présente depuis longtemps sur le territoire », analyse Philippe Barbo. Ces familles sont installées dans une dizaine de communes de l’agglomération, en particulier à Nantes et Saint-Herblain, villes où l’on recense « chacune une dizaine de bidonvilles ».

    D’où viennent ces migrants ?

    Presque tous sont originaires de Roumanie, de la région de Drobeta-Turnu-Severin, non loin de la frontière serbe. Un petit groupe de familles vient aussi du secteur de Cluj, au nord du pays. « Là-bas ils étaient sédentarisés et vivaient dans de petites maisons sans confort ou en appartements. » La plupart ont rejoint la France pour « fuir le chômage et améliorer un petit peu leur niveau de vie »…..

    20 minutes via fdesouche

  • Nantes : 165 migrants, Érythréens pour la plupart, ont pu s’installer dans l’auberge de jeunesse entièrement rénovée et classée patrimoine Nantais

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2021

    Depuis le 21 décembre, la Préfecture de Loire-Atlantique et la Ville de Nantes ont confié à l’équipe nantaise d’Aurore la mission d’accueillir, héberger et accompagner des migrants dans l’auberge de jeunesse de La Manufacture*. Ces hommes isolés avaient, depuis février 2020, trouvé refuge dans le gymnase de Talensac, à Nantes.

    Un engagement de la ville de Nantes

    Si les pouvoirs publics ont renforcé la prise en charge des demandeurs d’asile présents dans le département de Loire-Atlantique, le Dispositif national d’accueil reste fortement saturé. Cet engorgement se traduit par l’apparition de modes d’habitat sans droits ni titre (autrement dit des squats), qui présentent des dangers pour la sécurité des personnes et de multiples risques sanitaires. C’était le cas au gymnase de Talensac, vétuste et inadapté.

    « Les demandeurs d’asile doivent pouvoir bénéficier d’un logement, de nourriture et d’un accompagnement social de la part de l’État. C’est la loi. La mise à disposition de l’ancienne auberge de jeunesse de la Manufacture des Tabacs doit permettre à ces personnes d’être accueillies dans des conditions de vie plus dignes » a déclaré Yves Pascouau, l’élu municipal en charge de l’Europe, des migrants et des gens du voyage. « Ces personnes sont rétablies dans leurs droits et mises à l’abri. »

    Propriété de la Ville, l’auberge de jeunesse avait définitivement fermé ses portes au printemps 2020. Des travaux ont été réalisés à l’automne pour la remettre en état. C’est donc dans un lieu totalement réhabilité que 165 migrants, originaires d’Érythrée pour la plupart, ont pu s’installer.

    * La Manufacture – devenue « La Manu » depuis 1977, est une ancienne manufacture de tabacs, inaugurée en 1864 et fermée en 1974.

    Une vaste de campagne de réhabilitation décidée par la municipalité nantaise l’a transformée en un ensemble immobilier accueillant services municipaux, logements, crèche, permanence médico-sociale, halte-garderie, foyer du troisième âge, bibliothèque municipale, salle de gymnastique, maison des associations et auberge de jeunesse.

    Des œuvres d’art sont exposées dans les cours et sur les murs extérieurs des bâtiments.

    C’est un lieu historique du cœur de Nantes, dont les bâtiments sont classé Patrimoine Nantais…..

    Aurore

  • Enrichissement culturel à Nantes : chèvres décapitées dans une cour d’immeuble, têtes carbonisées. Du vaudou ?

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2021

    contre-info

    Au fur et à mesure de l’invasion migratoire en cours, la France, logiquement, se tiers-mondise.
    Cela se traduit, sur le plan culturel, par des pratiques qui peuvent étonner les Français et que la caste politico-médiatique cosmopolite appelle « enrichissement culturel », avec un formidable culot.
    Nous évoquions il y a quelques mois la profanation massive d’un cimetière français par deux « chances pour la France » qui suivaient les consignes d’un marabout au Mali. Les sévices sur animaux à but, probablement, de sorcellerie, vont aussi se multiplier.

    « Vendredi, les policiers reçoivent un appel vers 8 h 40 signalant des individus qui seraient en train de tuer « un gros animal » dans une cour d’immeuble, située secteur du Clos Taureau à Nantes. Précisons d’emblé que le Clos Taureau est une véritable enclave ethnique étrangère où la quiétude est très régulièrement perturbée par ce qu’il convient d’appeler, dans le langage républicain, des jeunes.

    Quand ils arrivent sur place, les agents tombent sur quatre hommes autour d’un SUV. Il s’en dégage une forte odeur de brûlé, raconte un rapport envoyé par la police lundi. À côté, par terre, il y a le cadavre d’une première chèvre découpée en morceaux et sans la tête, et le cadavre entier d’une seconde qui a été égorgée.

    Enfin, dans un bac juste à côté, ils découvrent deux têtes de chèvre brûlées au chalumeau à gaz et carbonisées. Une hachette et deux grands couteaux de cuisine, tous les trois recouverts de sang et retrouvés au sol, sont saisis. Les identités des quatre individus, âgés de 26 à 39 ans, sont relevées – l’âge n’est pas un facteur important lorsque l’on parle des jeunes de ces quartiers. Une enquête a été ouverte par la police pour retrouver l’éleveur des ovins.

    Massacre rituel d’un culte importé du fin fond de l’Afrique ? Simple barbarie de loisir ? Un entrainement sur des cobayes avant de pratiquer sur des êtres humains – dans le cadre de conflits criminels ? Va savoir. Une chose est sûre : on est loin de la culture française et de « La chèvre de Monsieur Seguin » d’Alphonse Daudet.  »

    Sources : Jeune Nation et 20 Minutes

  • Il y a 227 ans, la république noyait 90 prêtres à Nantes

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    nantes,prêtres noyés,république

    Les noyades à Nantes sont un épisode de la Terreur qui a eu lieu entre novembre 1793 et février 1794 à Nantes. Des milliers de personnes, suspectes aux yeux de la République (prisonniers politiques, de guerre, de droit commun, gens d’Église…), ont été noyées dans la Loire sur ordre de Jean-Baptiste Carrier.

    Et tout cela a commencé avec des prêtres pour “tester” le procédé ignoble d’exécution. C’était le 16 novembre 1793 :

    Pour se faire la main, l’envoyé de Paris, chargé de mettre fin à la révolte vendéenne par tous les moyens, commence avec 90 prêtres réfractaires emprisonnés à Nantes. Il demande à son bras armé, l’adjudant général Guillaume Lamberty, et à ses hommes, la compagnie Marat, de les noyer dans la Loire, le « fleuve républicain » (…) Ces prêtres emprisonnés sont au nombre de 90. Pour certains, cela fait plusieurs mois qu’ils ont été arrêtés pour avoir refusé de prêter le serment de la constitution civile du clergé (…)

    La veille, le 15 novembre, il a demandé au commandant chargé de la surveillance des prêtres de supprimer toute garde cette nuit-là afin qu’il n’y ait pas de témoins de la noyade. Il fait même preuve d’un machiavélisme admirable en faisant croire aux prisonniers qu’ils seront emmenés la nuit suivante au château de la Musse et leur recommande donc de déposer entre les mains du commandant tous leurs objets précieux qui leur seront rendus une fois arrivés dans leur nouvelle prison (…)

    S’attendant à être transférés, les prêtres ne s’alarment pas outre mesure en les voyant arriver. Ils obéissent sagement quand on leur demande de monter deux par deux sur le pont. Ils sont fouillés, dépouillés des objets de valeur conservés sur eux. On leur demande même de retirer leurs vêtements et leurs chaussures. Ils sont alors liés à deux, puis jetés à l’intérieur de la gabare. Le transfert se fait dans le calme. Les prêtres ne se doutent pas du sort funeste qui les attend. Il n’y a que le curé de Machecoul qui s’inquiète en voyant sur le fond du bateau des pierres plates et blanches cachant des trous. Voyant de l’eau s’infiltrer, il conseille à ses voisins de se donner l’absolution l’un à l’autre. Ainsi font-ils (…)

    L’eau envahit la cale, où les prêtres, commençant à se rendre compte qu’ils vont bientôt rencontrer le Créateur, se mettent à hurler de désespoir, à supplier pour qu’on leur porte secours (…) Bientôt, les cris s’évanouissent. Le calme est revenu sur la Loire (…)

    La méthode de la « déportation verticale » a prouvé, malgré quelques imperfections, son efficacité. Jean-Baptiste Carrier décide de l’appliquer à grande échelle pour se débarrasser des milliers de Vendéens qui encombrent la prison de la ville. Entre les derniers jours de 1793 et février 1794, de 1 800 à 4 800 victimes disparaissent dans la Loire.

     
     
    Source : lesalonbeige

     

  • Nantes : “Pour entrer dans l’immeuble, il faut laisser son nom aux guetteurs, à peine si il faut pas les payer (…) Le soir, on évite de sortir”

    Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2020

    Après les faits de violence qui ont émaillé les quartiers nantais le week-end des 5 et 6 septembre – un homme de 23 ans blessé après avoir été visé par 11 coups de feu à Bellevue, un jeune blessé à coup de couteau aux Dervallières – rencontre avec des habitants qui témoignent du climat d’insécurité.

    Du jamais vu en 34 ans dans le quartier

    Invité à témoigner sur le climat de sécurité ou d’insécurité de son quartier, il se livre volontiers. Sous couvert d’anonymat :

    Ça fait 34 ans que j’habite là, depuis sept-huit ans y’a des coups de fusil partout, ils foutent le feu dans les voitures, le soir on évite de sortir”

    Las, ce septuagénaire raconte l’agression d’un de ses amis : 

    Encore hier matin, j’ai un collègue qui s’est fait attaqué. Un gars de mon âge, 75 ans. Ils lui ont volé sa montre et son portefeuille

    Il aborde de lui même la question du trafic de drogues :

    Il y a des points de deal un peu partout ici. Avec des choufs dans leurs fauteuils qui préviennent quand la police arrive

    Au cœur de la Cité, il existe même un immeuble où pour avoir droit d’entrer il faut expliquer aux dealers qui on est dit cet habitant sous couvert d’anonymat :

    Ils sont cinq-six aux entrées, ils demandent où tu vas, qui tu vas voir, quel est ton nom tout juste si il ne faut pas donner de l’argent.

    (…)

    France Bleu via fdesouche