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république - Page 5

  • En 150 ans, dans quel état lamentable le Système a-t-il mis la France, première puissance du monde sous la Royauté !...

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2022

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    Vous demandez pourquoi nous sommes royalistes ?

    Parce que nous étions la première puissance du monde lorsque la catastrophique révolution éclata. Et maintenant que les révolutionnaires ont installé la République en 1875, ils ont eu tout le temps - en 150 ans, tout de même !... - d'appliquer au pays le plus en avance, le plus riche, le mieux placé, à l'époque, les - soi-disant - meilleures théories du monde, le régime le plus merveilleux : partant de si haut, avec le meilleur des régimes au monde (soi-disant, la République), nous devrions nager dans le bonheur, et nous trouver quelque part entre Sirius et Jupiter, dans une position de puissance stratosphérique.

    Or, est-ce le cas ? Que voyons-nous, lorsque nous observons l'état calamiteux dans lequel ce Système a mis la France en 150 ans ? 

    • la France est le pays le plus taxé au monde, il ne faut même plus parler de taxes mais de spoliation et, en plus, une spoliation inefficace : l'argent que nous vole le Système, par ses impôts excessifs, n'est pas investi dans la Recherche, par exemple, ou ce qui prépare l'avenir, mais il est gaspillé :

    - dans la sur-administration... (à quoi servent les 243 Sous-préfectures ? Le Sénat ? Le doublon élus départementaux et régionaux...)

    - dans une immigration qui nous coûte  certainement plus de 50 milliards par an (avec ces plans banlieues réguliers qui sont autant de gouffres réguliers, une AME scandaleuse, 2 millions de Carte Vitale en trop...)...

    - dans une des-Éducation nationale qui maintient à l'école, au lieu de favoriser l'apprentissage et l'acquisition d'un métier dès 14ans, des dizaines de milliers d'élèves, pendant des années, qui se retrouvent enfin sans rien, sans diplôme, sans formation, direction : Pôle Emploi !...

    Le Système "nous mange la laine sur le dos", comme on dit au Québec : ne prenons que deux exemples : un plein de 1OO euros d'essence c'est à peine 40 euros d'essence mais 60 centimes de taxes ! Et ces "Droits de succession", qui sont un vol pur et simple puisque l'héritage, ce sont des biens que les Français ont acquis tout au long de leur vie, et sur lesquels ils ont déjà payé toute sorte d'impôts : le Système les fait encore re-payer à leur mort !

    • il y a 12 millions de pauvres aujourd'hui ("sous le seuil de pauvreté", soit 18.46% de la population française) ! 4 millions de "mal logés" et 14 millions de "fragilisés" en ce domaine (source Fondation Abbé Pierre); plus de 5 millions et demis de chômeurs, et un chômage de masse qui dure depuis plus de quarante ans; une dette publique qui a atteint 3.000 milliards (soit129% du P.I.B.); un tiers de nos concitoyens diminue ses achats alimentaires et reporte ou annule carrément ses soins médicaux; les Français sont devenus les premiers consommateurs d'anti-dépresseurs d'Europe et un étudiant sur quatre a des pensées suicidaires ; les précaires et intermittents sont plus de 9 millions (qui vivent sous le "seuil de pauvreté monétaire", ce taux s'établissant de 14,6%); un déficit du commerce extérieur chronique, qui s'établit à 100 milliards par an, qui est constant depuis quinze ans et augmente même : bientôt, à ce rythme, le Système aura fait de la France un... Zanzibar ! 

    • des quartiers entiers de nos villes sont des zones de "non France" à cause de l'immigration/invasion voulue et imposée par le Système, qui implante de force l'Islam chez nous, dans le but inavoué mais réel de détruire enfin ce qu'il reste de catholicisme vivant...

    •  la culture et la civilisation française, nos moeurs, notre art de vivre sont en grand danger face à l'américanisation, l'islamisation, l'abêtissement et l'appauvrissement culturel qui se propagent et ne cessent d'augmenter : 535 candidats ont passé une épreuve de latin au baccalauréat en 2022, 535 pour toute la France… alors que le latin devrait être enseigné à tous les élèves dès la sixième ! Avec la disparition de son enseignement, c'est une certaine disposition de pensée qui disparaît, c'est notre Eprit, ce sont nos Racines intellectuelles, mentales, morales...

    • et, par-dessus tous ces désastres, il nous faut encore subir la tyrannie du monstre doux qu'a prophétisé Tocqueville, la bien pensance du politiquement correct, la doxa imposée par le Système...

    Encore cette liste est-elle bien loin d'être complète !

    Ne vous étonnez donc pas que nous soyons royalistes : c'est nous qui nous étonnons que, face à un tel désastre, en tous domaines, vous fassiez encore confiance au Régime qui nous y a conduit !

    Et, si vous n'êtes pas satisfaits de l'état du Pays, soyez royalistes ou ne vous plaignez pas ! : car, malgré ce constat calamiteux et loin d'être exhaustif, la France peut rebondir, un nouveau matin français peut se lever pour elle, et elle peut reprendre sa marche en avant vers les hauteurs, vers les sommets : il suffit pour cela de renvoyer ce Régime qui la tue, et de lui redonner son régime traditionnel, qui l'a faite, et qui en a fait la première puissance du monde, "la Grande nation" : sa Royauté traditionnelle...

    Oui, pour parler familièrement, on s'est bien fait avoir avec la Révolution et l'instauration de la République, en 1875...

  • Laissez tomber la République. Exigez le retour de notre oy.

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

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  • Ne pas donner à la république le Bon Dieu sans confession…

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Les ministres de la République, qui connaissent mieux les loges que les églises, nous surprendront toujours. Après Monsieur Castaner qui, après des études poussées en poker, se mêlait de théologie en disant que les catholiques n’avaient pas besoin d’églises puisqu’ils pouvaient prier chez eux, nous avons Monsieur Darmanin qui prétend modifier la discipline canonique des sacrements au vu de la prétendue suprématie du droit républicain …

    Cette remarque fait suite aux remous suscités par la production d’un calamiteux rapport sur la pédophilie dans l’Eglise (rapport sur lequel il y aurait beaucoup à dire ne serait-ce que parce que, si les partisans de la laïcité le désirent, d’autres milieux plus proches d’eux pourraient bénéficier d’une étude comparable). Les recommandations des auteurs comportent notamment le souhait de la remise en cause du secret de la confession. Cette prétention témoigne de la part desdits auteurs d’une manie de réglementer tous azimuts et d’une ignorance crasse des bases de la religion qui était naguère encore celle de la majorité des Français.

    À vrai dire, cette intrusion des rapporteurs dans le domaine de la théologie relève de l’incompétence ou bien du phantasme. Comme si les criminels pédophiles se pressaient à l’entrée des confessionnaux ! Et les partisans de la laïcité qui font de telles recommandations n’oublient-ils pas quelques détails ? Ainsi est-ce leur clique qui a décidé, en 1905, la séparation de l’Église et de l’État. Depuis lors, en bonne logique, ils n’ont plus rien à voir dans l’organisation interne de l’Eglise. Il fallait y penser avant ! 

    D’autre part et surtout, il s’agit de discipline des sacrements. En cette matière, l’Eglise n’est pas libre de faire n’importe quoi. Outre le fait qu’il existe une législation canonique universelle, et non particulière à tel ou tel pays, l’Eglise  est tenue par des préceptes divins. C’est d’ailleurs là le nœud de la question, qui détermine tout : comme dans les Actes des Apôtres, l’on ne peut que répondre, lorsqu’un précepte divin s’oppose à la décision de Césars quelconques, qu’ils soient tyrans, empereurs ou républiques : « NOUS NE POUVONS PAS… » (« NON POSSUMUS », Actes IV, 20) et «  IL FAUT OBEIR A DIEU PLUTOT QU’AUX HOMMES. » (Actes V,29). 

    À ces citations, qui résolvent le problème sans discussion possible, l’on peut ajouter une observation de bon sens : si le secret de la confession n’était pas absolu, les gens qui ont de graves fautes à se reprocher ne se confesseraient pas, même s’ils en avaient la velléité. Ainsi le soi-disant remède entrevu par les auteurs du rapport ferait- il l’effet d’un cautère sur une jambe de bois… Il ne faut pas confondre un sacrement, qui permet parfois à des pécheurs, qui sont aussi des délinquants, de se reprendre, avec une institution de police. Mais, au-delà de l’absurdité, il faut relever, dans une telle proposition, un désir totalitaire d’assujettir l’Eglise à un Etat de plus en plus liberticide. À quand l’enregistrement obligatoire des confessions ?

    Nous devons noter qu’un évêque a répondu ce qu’il fallait. Une fois n’est pas coutume : nous avons plaisir à féliciter en cette occasion le président de la Conférence Episcopale, Mgr de Moulin-Beaufort, qui a rappelé, sans provocation, mais avec netteté que le secret de la confession l’emporte sur les lois de la République. Aussitôt l’on a eu des cris d’orfraie, comme à la suite d’un crime de lèse-majesté. Le porte-parole du gouvernement, Monsieur Gabriel Attal, qui n’a probablement qu’une notion vague du catéchisme catholique, a solennellement déclaré : « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République dans notre pays. » Comme si la France n’avait pas vécu plus de dix siècles de monarchie ! Et comme si sa République, qui est la cinquième, ne changeait pas constamment de lois ! Monsieur Darmanin, le Ministre de l’Intérieur a même prétendu «convoquer » l’imprudent prélat comme on le ferait pour n’importe quel sous-fifre. Ce goujat de ministre ignore sans doute qu’un évêque n’a pas de compte à rendre à la République en matière religieuse… 

    Nous espérons que l’évêque maintiendra la position chrétienne qu’il a rappelée. Il pourrait en profiter pour rappeler à ses interlocuteurs que la séparation et la laïcité sont leur œuvre, et qu’il n’est pas soumis à la discipline des agents publics. Quant à la loi de l’État, l’obéissance lui est due en principe. Cependant elle ne peut et doit être respectée que si elle est respectable (pensons que c’est ce même Etat qui a, par exemple, prétendu légaliser l’avortement, c’est-à-dire le crime contre les tous petits, et qui s’apprête à allonger les délais du crime autorisé !) 

    La meilleure solution pour éviter les conflits entre l’ordre spirituel et l’ordre temporel serait d’avoir une législation « catholico-compatible », comme aux temps concordataires. Les républicains le comprenaient plus ou moins jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale (par exemple, malgré la séparation de 1905, l’avortement est resté condamné par la loi jusqu’en 1975). Ne dissimulons pas que l’objectif politique de tout catholique, s’il a réellement la foi, doit être de faire du Décalogue une des sources de la légalité. Cette solution reviendrait seulement à appliquer les principes du Notre Père : « que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » À ceux qui invitent les catholiques à rendre à César ce qui est à César, il convient de rappeler inlassablement que César n’a le pouvoir légitime que s’il est lui-même soumis à Dieu.

    François Marceron

     

    Source : medias-presse.info

  • La République des copains et des coquins

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2021

    La République des copains et des coquins

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    Ce gouvernement veut licencier les soignants honnêtes qui ne sont pas vaccinés… mais veut garder un ministre de la Justice mis en examen.

    Dans un communiqué publié par Matignon, le Premier ministre Jean Castex “renouvelle toute sa confiance” en son ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, et lui demande de poursuivre sa tâche. L’ancien avocat pénaliste a été mis en examen vendredi, pour de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités.

    Par ailleurs, Dupond-Moretti ne sera pas poursuivi en justice pour les 300 000 euros omis de sa déclaration d’intérêts. Ces 300 000 euros venaient des droits d’auteurs générés par le spectacle qu’il jouait au théâtre avant d’être ministre (on a pourtant l’impression qu’il se croit toujours au spectacle). La Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATV) estime que cet oubli n’était pas intentionnel. Tous les Français qui oublient quelques euros dans leur déclaration d’impôts aimeraient que l’administration juge cet oubli non intentionnel…

    Le ministre de la Culture Roselyne Bachelot a également omis de mentionner dans sa déclaration d’intérêts une partie des rémunérations perçues de la SARL RBN Conseil, société qu’elle détient à 100 %, au titre des revenus 2017, 2018 et 2019 », de même qu’elle a « omis de déclarer certains droits d’auteur au titre des mêmes années ». Comme pour M. Dupond-Moretti, la HATV a estimé que la nature de ces omissions n’étaient pas « de caractère intentionnel ou substantiel au regard » du patrimoine de la ministre.

     

    Source : lesalonbeige

  • hors de question de célébrer cette pseudo fête nationale.

    Publié par Guy Jovelin le 14 juillet 2021

    Je vomis cette république comme chaque année, hors de question de célébrer cette pseudo fête nationale. Mon seul drapeau, le blanc à fleurs de lys. Pour Dieu, le Roi et l'amour de la liberté.✝️
     

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