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république - Page 9

  • C’était un 6 février… 1934

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2020

    À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

    Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

    22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

    La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
    Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule » (lire article ici).

    Chaque année les nationalistes rendent hommage à ces morts.
    Comme Robert Brasillach en son temps :

    « Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. »

    Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

    Les morts du 6 février :

    – AUFSCHNEIDER Alphonse, mort pour la France
    De Schiltigheim (Bas-Rhin), 37 ans, valet de chambre, tué d’une balle au cœur près de la place de la Concorde. Il était ligueur d’Action française.
    – CAMBO Costa, mort pour la France
    42 ans, d’origine hellénique, naturalisé Français, musicien sans travail, mort le 9 février des multiples blessures reçues dans la nuit du 6. Allié d’Action française.
    – CHEYNIER LE JOUHAN DE NOBLENS Gratien, mort pour la France
    55 ans, industriel, ancien combattant, frère de trois combattants morts pour la France, marié et père d’un enfant de 7 ans ½, membre de la Solidarité française. Atteint d’une balle entre les yeux.
    Il fut frappé et piétiné avec un acharnement bestial, comme le prouvent les nombreuses contusions et fractures du crâne, du nez et de la mâchoire que l’on releva sur lui. Il décéda quelques heures après son transport à l’hôpital Beaujon.
    – COUDREAU Raymond, mort pour la France
    49 ans, commis-livreur dans une mercerie en gros ; n’appartenant à aucune association politique, veuf et père de six enfants, dont deux en bas âge.
    – ETHEVENEAUX Louis, mort pour la France
    25 ans, garçon charcutier, reçut, près de la Madeleine, un coup de matraque d’un policier et mourut d’une fracture du crâne.
    – FABRE Jean-Eloi, mort pour la France
    Etudiant en médecine, interne à l’hôpital Saint-Joseph, membre des Jeunesses patriotes, tué d’une balle au cœur devant le pont de la Concorde. Il avait été blessé en 1925, lors d’un guet-apens organisé rue Damrémont par les communistes.
    – GARNIEL Lucien, mort pour la France
    Garçon boucher, 16 ans, blessé d’une balle qui l’atteignit à la colonne vertébrale, mort le 1er novembre, après une longue et douloureuse agonie.
    – Mlle GOURLAND Corentine, morte pour la France
    Femme de chambre, 34 ans, tuée d’une balle à la tête sur la terrasse de l’hôtel Grillon, place de la Concorde.
    – JAVEY André, mort pour la France
    39 ans, n’appartenant à aucune association politique, ancien combattant, blessé aux Eparges, croix de guerre. Succomba à ses blessures le 11 février.
    – LABOUCHEIX Marius, mort pour la France
    Directeur administratif de la société « L’Energie industrielle », ancien combattant, laisse deux orphelins, frappé d’une balle en arrivant près de la place de la Concorde.
    – LALANDE Raymond, mort pour la France
    Menuisier et tapissier d’autos, 24 ans. Atteint sur la place de la Concorde d’une balle qui lui fit éclater le tibia. Succomba des suites de sa blessure le 5 février 1936. S’était inscrit aux Camelots du Roi après le 6 février.
    – LAMMERT Henri, mort pour la France
    31 ans, officier mitrailleur de réserve, gérant d’un hôtel meublé appartenant à ses parents. Ne faisant partie d’aucune association politique. Tué d’une balle dans le dos, sur la place de la Concorde. Il laissait une veuve sur le point d’accoucher.
    – LECOMTE Jules, mort pour la France
    35 ans, engagé dans la marine à 19 ans embarqué sur les patrouilleurs de la division de la Loire, ouvrier à l’usine Renault, succomba le 12 février, ayant reçu une balle dans le ventre. Marié, sans enfant, il était Ligueur d’Action française et chef d’équipe de Camelots du Roi.
    – LIEVIN Charles, mort pour la France
    Cuisinier, 34 ans, blessé le 6 février 1934 d’une balle à la colonne vertébrale, mort le 6 décembre 1935, après vingt et un mois d’atroces souffrances, laissant une femme sans ressources.
    – MEZZIANE Ali, mort pour la France
    28 ans, musulman, membre de la Solidarité française, manœuvre en chômage, écrasé par un camion de la police lancé à toute allure, puis achevé à coup de pied et de matraque. Mort le 7 février.
    – MOPIN Jean, mort pour la France
    24 ans, atteint à la colonne vertébrale, mort le 7 décembre d’une infection généralisée, après de longs mois de souffrances héroïquement supportées. Il a été inhumé à Compiègne.
    – MUNNIER Albert, mort pour la France
    27 ans, comptable, depuis quelques mois sans travail, tué d’une balle de révolver dans la tête, rue Boissy-d’Anglas. Il était marié et père d’un bébé de 18 mois.
    – PEUZIAT René-Alain, mort pour la France
    29 ans, frère du champion cycliste, n’appartenant à aucune association politique.
    – ROSSIGNOL Raymond, mort pour la France
    37 ans, industriel, ancien combattant, membre des Jeunesses patriotes, officier de réserve de cavalerie, marié, père d’un enfant de 12 ans, tué d’une balle de révolver en pleine tête devant le pont de la Concorde.
    – ROUBAUDI Georges, mort pour la France
    36 ans, industriel, directeur d’une grande maison d’importation et d’exportation de soierie occupant 200 ouvriers, ancien combattant, engagé volontaire à 17 ans, croix de guerre avec deux citations, marié et père de trois enfants dont l’aîné n’avait pas 6ans. Ligueur d’Action française et membre de l’Association Marius Plateau.
    – SOUGARY Alfred, mort pour la France
    30 ans, dessinateur, membre de l’Association des Décorés de la Légion d’honneur au péril de leur vie, fut tué à coups de matraque et relevé la colonne vertébrale complètement disloquée.
    – VAURY Henri, mort pour la France
    39 ans, ancien combattant.

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    Source : contre-info

  • Non cette République n'est pas une dictature. Mais elle est un totalitarisme.

    Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    "Essayez la dictature, et vous verrez"... En tentant maladroitement de se dédouaner des accusations dictatoriales portées contre sa pratique du pouvoir, Emmanuel Macron prend le risque que les Français, qui espèrent et attendent l'avènement d'un régime fort pour le  Salut national, lui répondent : "Chiche" !
     
    Non, en effet, la France n'est pas une dictature. 
     
    Une dictature suppose une autorité, une direction, une vision de long terme que l'on chercherait vainement dans ce marécage institutionnel, ce cloaque idéologique et cette lise politique fondée sur la mystification et les combinaisons de hasard qu'est, depuis son commencement, la Cinquième République. 
     
    Mais, s'il n'est pas une dictature, ce régime est bien un totalitarisme. Totalitarisme d'une caste oligarchique toute entière habitée d'un seul dessein : conserver coûte que coûte le pouvoir ; totalitarisme de la finance, du libre échangisme et de l'argent-roi ; totalitarisme du fiscalisme et de la bureaucratie sclérosante ; totalitarisme du progressisme sociétal et de l'accomplissement migratoire ; totalitarisme, par un paradoxe qui n'est que d'apparence, du laxisme et du laisser-faire ; totalitarisme de la déconstruction social; totalitarisme, enfin, de la bien-pensance et du politiquement correct livrant au lit de Procuste toute affirmation non conforme.
     
    Macron, hologramme de ses mandants, en est la représentation la plus achevée.
  • Emmanuel Macron : le « colonialisme a été une erreur profonde, une faute de la République »

    Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2019

    Lors d’une conférence de presse donnée à Abidjan (Côté d’Ivoire) en compagnie du président ivoirien Alassane Ouattara, samedi 21 décembre, le président français Emmanuel Macron a estimé que le colonialisme avait été une « faute de la République ».

    « Trop souvent aujourd’hui la France est perçue » comme ayant « un regard d’hégémonie et des oripeaux d’un colonialisme qui a été une erreur profonde, une faute de la République », a-t-il déclaré, appelant à « bâtir une nouvelle page ».
    […]

    Le Monde via fdesouche

  • France chrétienne ou République

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2019

    L’image de droite est issue de la soirée de débauche homosexuelle organisée publiquement à l’Elysée pour la fête de la musique.

     

    Source : contre-info

  • Voile islamique : Esther Benbassa a fait preuve d'une ignorance abyssale de la vérité...

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2019

     

    Sur CNews, chez Morandini, ce vendredi 18 octobre, Esther Benbassa, qui défend le port du voile, affirme : "La République n'interdit pas les identités".

    Donc, elle "est pour" le port du voile. CQFD...

    C'est son affaire, mais qu'elle fasse preuve d'une ignorance aussi grande de ce qu'est "la République", que nous préférons aujourd'hui combattre sous le nom de "Système", cela laisse rêveur !

    Car, n'en déplaise à madame Benbassa, le Système interdit bien de fait et combat les identités, si elles sont et françaises nées de l'Histoire, à commencer par l'identité chrétienne, qu'il veut exterminer et remplacer par... lui-même, se concevant comme une "Nouvelle religion républicaine" : c'est le sens de la fameuse expression : "l'an un de la République" - et de ses dérivés, comme "les soldats de l'An II" - qui signifie que l'on commence à dater les événements à partir de la Révolution, comme l'usage s'est répandu de le faire à partir de la naissance du Christ.

    "Du passé faisons table rase", tel est le programme de cette Révolution, qui veut tout changer, et surtout créer un homme nouveau, sans Dieu et sans Roi : voilà pourquoi il lui a fallu "interdire" et combattre - dans une lutte à mort - les autres identités héritées de l'Histoire, pour les remplacer par des abstractions, ou par n'importe quoi, pourvu que cela "casse" ces héritages, les fasse oublier pour qu'ils disparaissent et laissent apparaître l'homme républicain nouveau : par exemple, les Provinces ont été supprimées, remplacées par les Départements, et les langues régionales ont été combattues, voire interdites. Marcel Pagnol a raconté comment, lorsqu'il était enfant, les élèves de sa classe se faisaient taper durement sur les doigts avec une règle en fer par l'instituteur (les sinistres "hussards noirs de la République", qui ont décervelé le peuple français...) afin qu'ils ne parlent pas provençal; et, en Bretagne, tout le monde sait qu'il y avait des écriteaux "Défense de cracher par terre et de parler breton".

    Cette lutte à mort contre toute les formes d'identités françaises reçues d'une riche et longue Histoire, elle est dans les gènes de la République idéologique, du Système, c'est comme son ADN.

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    Et pour mieux combattre ces identités, le Système, a d'abord "changé le peuple" dans son "mental", son "moral", en lui mentant - à l'école et dans les médias - sur son passé et en lui inculquant une grossière histoire officielle outrageusement mensongère; et, maintenant, il continue à "changer le peuple", cette fois physiquement, par l'immigration massive.

    Et, follement inconscient, il est prêt à se servir de n'importe quelle "identité" ou "tradition" extérieure - en l'occurrence, les musulmanes - pour achever d'abattre ce qui reste encore de la France traditionnelle. Le Système pense, d'une façon insensé, qu'il pourra manipuler ces nouvelles moeurs, qui céderont ensuite devant ce qu'il appelle pompeusement "les valeurs de la République" ! Hier, Najat Valaud-Belkacem voulait développer l'enseignement de la langue arabe à l'école - cette même école qui a extirpé le Breton, le Provençal et autres langues locales... - aujourd'hui madame Benbassa veut voiler nos rue. Ces inconsciences reviennent à oublier que, si d'aventure l'Islam devenait majoritaire en France, il convertirait celle-ci en République islamique, et jetterait aux poubelles de l'Histoire cette Révolution et cette République idéologique qui lui font follement son lit...

    De même que la révolution mange toujours les révolutionnaires, l'Islam mange toujours ce qui est plus faible que lui.

    Madame Benbassa ignore tout cela, ou alors elle a dit autre chose que la vérité, au choix : nous nous garderons bien de dire laquelle de ces deux affirmations il faut lui attribuer; nous nous contenterons simplement de bien remettre les choses au point...

     

    Source : lafautearousseau