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En décembre, le Comité des Nations unies pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD) a exhorté la Suisse à renforcer sa législation, estimant qu’il n’existait pas de loi fédérale claire interdisant la discrimination raciale. Il a également demandé à Berne de prendre davantage de mesures pour lutter contre l’augmentation des discours de haine sur Internet et contre “la poursuite du profilage racial par la police”.
Dimanche 19 septembre, alors que l’US Le Cours affrontait l’AS Arzon-Tour du Parc, le match a dû être écourté sur la fin après des violences entre joueurs.
Le président de l’US Le Cours parle d’abord d’insultes à l’égard de ses joueurs et du corps arbitral, puis des tacles, jusqu’à ce qu’un adversaire écrase la cuisse d’un de ses joueurs, « et lui mette des coups de crampon ». « Mon joueur se relève, repousse l’autre, qui lui met alors trois droites en plein visage », retrace-t-il. Les deux sont blessés à la lèvre, le match est alors suspendu.
Dans le vestiaire, (…) les insultes continuent de fuser à l’égard de ses joueurs – « du grand vocabulaire » – et des menaces, telles qu’« on va vous attraper », sont également proférées. De peur d’être agressés physiquement, ils trouvent refuge dans les locaux « pendant vingt minutes », appellent le 17, « mais aucune patrouille n’est envoyée ».
Une version que la coprésidente de l’AS Arzon-Tour du Parc, réfute. « Ça fait quatre ans que je suis dans ce club, c’est la deuxième fois que ça se passe comme ça », assure-t-elle. Pour elle, ce sont ses joueurs qui ont été agressés et insultés. « Les insultes racistes, il y en a assez », s’agace-t-elle.
Les meurtres et assassinats d’enfants dans la rue en France en 2021 ne sont pas le problème. Le problème, c’est le racisme de la police et des Français
Pierre Sautarel
@FrDesouche
Les 2 gamins de 13 et 14 ans morts dans des rixes dans l' #Essonne auront occupé l'actualité à peine une soirée. 1000 fois moins de retombée que l'affaire #zecler et 10000 que l'affaire #theo ou #adama. Il y a une forme de sociopathie collective qui est effrayante.
Les préparations en poudre pour crêpes du groupe PepsiCo vont changer de nom ! Toujours dans le sillage du mouvement de protestations contre les violences racistes de la police et la mort de l’Afro-Américain George Floyd sous le genou d’un policier blanc, ces préparations en poudre ne porteront plus la marque “Aunt Jemima” (Tante Jemima), ni la face hilare d’une bonne cuisinière afro-américaine, inscrite en médaillon sur les célèbres boîtes rouges de la marque américaine.
En juin 2021, les pancakes et bouteilles de sirop d’érable seront rebaptisés “Pearl Milling Company”, du nom originel du fabricant de farine fondé en 1888, a indiqué le groupe PepsiCo dans un communiqué. Ce changement fait suite aux critiques dont font l’objet certaines marques américaines utilisant les symboles de stéréotypes raciaux comme pour le riz Uncle Ben’s, récemment rebaptisé “Ben’s” par sa maison-mère, Mars. PepsiCo avait décidé d’abandonner progressivement le nom d'”Aunt Jemina” en juin 2020. […]