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toulouse - Page 12

  • Toulouse : la justice bloque l’expulsion de la centaine de migrants “mineurs” qui occupent l’université Paul Sabatier, pourtant des tests ont révélé que la grande majorité de ces “mineurs” sont en réalité majeurs

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Le tribunal administratif de Toulouse a levé vendredi la mesure d’expulsion qu’il avait prononcée en décembre contre les jeunes migrants qui occupent depuis un mois une aile du bâtiment 4R3 sur le campus de l’université Paul Sabatier.

    C’est “une victoire” pour la centaine de mineurs non-accompagnés qui occupent depuis mi-décembre une aile du bâtiment 4R3 de l’Université Paul Sabatier. Ce vendredi 13 janvier, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a finalement levé la mesure d’expulsion qu’il avait ordonnée le 29 décembre.

    La juridiction explique avoir pris en compte “un élément nouveau” pour modifier sa décision. La direction de l’université qui avait saisi le tribunal pour obtenir l’expulsion des jeunes migrants a justifié son action en justice en mettant en avant des risques chimiques et électriques dans le bâtiment en question. Elle avait notamment évoqué la présence “de bocaux de produits chimiques en sous-sol”, l’absence d’équipement adapté pour assurer la sécurité et l’hygiène des occupants et “un défaut de système de sécurité incendie”.

    Mais ce vendredi, lors d’une nouvelle audience, Me Fanny Sarasqueta, conseil des mineurs isolés a pu prouver “l’absence de risque avéré tenant à la présence de substances et produits dangereux ou à la présence de branchements électriques non sécurisés”.

    (…) Dans leur grande majorité, ces jeunes migrants se sont vus refuser le statut de mineurs isolés après leur évaluation par le DDAEOMI, dispositif chapeauté par le Département de Haute-Garonne, qui a conclu à leur majorité.

    La Dépêche via fdesouche

  • Toulouse : nuit de la Saint-Sylvestre

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

    fdesouche

    Image

    Toulouse :

    41 incendies, feu dans un foyer pour enfants, tentative de viol, commissariat attaqué : nuit de la Saint-Sylvestre agitée dans l’agglo toulousaine

    Selon un premier bilan, lors de ce réveillon la Saint-Sylvestre, les pompiers ont dû intervenir sur 41 incendies en Haute-Garonne. Un feu s’est notamment déclaré dans un foyer d’accueil pour enfants, aucun blessé n’est à déplorer.

    Un incendie s’est notamment déclaré dans un foyer d’hébergement pour enfants peu après minuit à Auzeville Tolosane. Le feu qui a rapidement été maîtrisé par les sapeurs-pompiers a pu être limité au rez-de-chaussée du foyer. 5 enfants et un adulte étaient sur les lieux lors de la propagation des flammes. Ils avaient pu sortir avant l’arrivée des secours.

    La Dépêche

    La police intervient pour une tentative de viol

    Une jeune femme a par ailleurs été victime d’une tentative de viol place Agapito Nadal au niveau du métro Arènes. Peu avant minuit, un passant a été alerté par des cris et est venu en aide à la victime. Le suspect, un homme de 22 ans, a été interpellé dans la foulée par les policiers toulousains. La jeune femme a porté plainte.

    France Bleu

    Mais les incidents de la nuit ne se sont pas résumés aux voitures brûlées. Selon nos informations, le commissariat de Bellefontaine, au Mirail, a été attaqué par des tirs de mortier. De même, des bouteilles en verre ont été jetées sur le parking du commissariat et des coups ont été donnés sur le rideau métallique devant l’entrée.

    Par ailleurs, un policier a été blessé par un conducteur de scooter. « L’auteur est toujours en fuite », indique une source policière à Actu Toulouse. 

    Actu.fr

  • A Toulouse l’extrême-gauche règne par la censure et la violence sur la fac du Mirail: « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche » ironise le député LFI de la circonscription

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    […]

    « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche », abonde fièrement François Piquemal, député LFI de la 4ème circonscription de Haute-Garonne, sur laquelle est implantée l’université. Ici, l’espace idéologique semble être dominé sans partage. Slogans anticapitalistes, néoféministes, pro Palestine et anti « extrême-droite » offrent une mosaïque de couleurs rouges, où le bleu est proscrit. On y retrouve évidemment les formations situées à l’extrême gauche de l’échiquier politique, comme Révolution permanente, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) de Philippe Poutou ou La France Insoumise. Même le Parti Socialiste et EELV y semblent exclus, sûrement trop ternes pour y figurer. De nombreuses manifestations partageant une idéologie commune et excluante, animent la vie du campus. « C’est très rare de passer une journée sans voir brandir des pancartes prônant l’antispécisme, l’écologie radicale ou autre », raconte Daphné, 21 ans, étudiante en civilisation étrangère.

    Dans un lieu de formation aspirant à développer un esprit critique, la diversité politique et idéologique n’est guère au rendez-vous. « Quand certaines idées ne passent pas, et bien elles ne passent pas », tonne François Piquemal, qui ajoute: « c’est tout de même préférable que les idées racistes ou de capitalisme extrême n’aient pas leur place ici ». Les tracts politiques de la droite et du centre y sont systématiquement retirés. « Nous avons beaucoup tracté durant les législatives, elles étaient déjà remplacées dès le lendemain », regrette Sébastien Canovas, responsable des jeunes Les Républicains de Haute-Garonne, parfois même en moins d’une heure.

    […]

    « C’est impossible pour quelqu’un de non politisé de devenir de droite dans cette université », explique Yann Montigny, ancien étudiant en japonais et membre de Génération Zemmour.

    Octobre 2021, vers midi, une journée assez banale sur le campus de l’université Jean Jaurès, qui va voir son sol se couvrir de rouge… sang. Alors que Damien, militant Génération Zemmour, finit son repas au self, il décide d’aller coller des affiches de son parti sur le campus avec un ami. « Il n’y avait pas trop de passage, on en a profité », se rappelle Damien. Un jeune homme, vêtu de noir de la tête aux pieds, s’approche alors des jeunes militants. « Il se place en face de nous et commence à nous insulter, nous menace et arrache nos stickers ». L’individu, un militant « antifa » selon Damien, se décide finalement à partir, avant de revenir, déterminé. « Je me penche pour récupérer d’autres stickers, et à ce moment là je prends un coup de poing américain dans le crâne », rapporte le jeune homme. Le crâne est légèrement ouvert et sanguinolant. « Quand la sécurité est arrivée, l’antifa leur a dit: « Attrapez-les, c’est des fachos ». Ils nous ont dévisagé ». Hospitalisé et recousu avec quatre points de suture, Damien a fait confirmer sa blessure par un médecin expert juridique, avant de déposer plainte. Mais cette dernière n’a pas abouti. « Les caméras étaient comme par hasard tournés autre part. L’université n’a ensuite rien communiqué sur l’incident… Cinq jours plus tard, je suis reparti coller des affiches, ils ne me font pas peur ». « C’est quand même une provocation de venir coller des affiches pour quelqu’un qui a été pénalement condamné par la justice », commente le député LFI François Piquemal. Contactée, la présidence n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, tout comme le vice-président étudiant. Aucun professeur non plus n’a voulu communiquer sur le sujet. « Valeurs actuelles, c’est pas mon truc », a répondu un enseignant en histoire.

    […]

    « Certains cours étaient clairement orientés politiquement, certains ont changé de nom et sont devenus des cours de féminisme », déplore Tom, notre ancien étudiant en sociologie. D’autres, comme lui, confirment la présence de certains biais idéologiques : « Une professeur a dit que plus les gens votent à droite, moins ils sont cultivés », rapporte Marine, 25 ans, étudiante en sciences humaines économiques et sociales.

    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • Toulouse : une jeune femme de 23 ans agressée à coups de couteau dans le métro pour son portable

    Publié par Guy de Laferrière le 17 novembre 2022

    Une jeune femme a été agressée dans le métro de Toulouse dans la nuit de mardi à mercredi. Son agresseur l’a poignardée pour tenter de lui dérober son téléphone portable.

    Une agression qui aurait pu très mal finir. Dans la nuit de mardi à mercredi, à Toulouse, une jeune femme a été frappée à coups de couteau par un homme, qui a tenté de lui dérober son téléphone portable. L’assaillant a pris la fuite.

    La scène s’est déroulée peu après minuit, lorsque la victime se trouvait dans le métro au niveau de La Vache, en direction du quartier de Borderouge. C’est alors qu’elle a été approchée par un homme, qui l’a agressée, finissant par lui voler son téléphone portable après l’avoir poignardée à la main et à l’épaule, d’après les informations de La Dépêche.

    Blessée légèrement, la jeune femme de 23 ans est parvenue à se lancer à la poursuite de l’assaillant et a pu récupérer son téléphone. L’homme s’est alors enfui, tandis que la victime a repris le métro.

    Une fois loin des lieux, elle a contacté les sapeurs-pompiers qui lui ont prodigué les soins nécessaires. C’est alors que les forces de l’ordre ont été prévenues, et qu’elles ont pu recueillir par la suite la version des faits de la jeune femme avant qu’elle ne soit transportée dans une clinique.

    CNews

  • Encore un homme blessé à l’arme blanche en plein centre de Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    Au lendemain d’une altercation près de la rue de Metz, une nouvelle bagarre a éclaté dans le centre-ville toulousain le mercredi 26 octobre en fin d’après-midi. Une homme a été légèrement blessé par arme blanche, cette fois derrière le Capitole. Encore une fois à une heure de forte affluence.

    C’est la deuxième agression à l’arme blanche en 24 heures en plein centre de Toulouse, à une heure de forte affluence. Mercredi 26 octobre, vers 18h30, les pompiers on dû prendre en charge un homme blessé à l’arme blanche sur le square de Gaulle, derrière l’hôtel de ville, près du métro Capitole.

    La victime n’est pas sérieusement blessée, et a été transportée à l’hôpital Purpan. Mardi vers 17h, c’est rue de Metz côté Esquirol qu’un homme a lui aussi reçu un coup de couteau. Ses jours ne sont pas en danger, et un suspect a été interpellé.

    France Bleu via fdesouche