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toulouse - Page 38

  • Toulouse : la vidéo choc des agents de sécurité des HLM agressés au Mirail

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    Par  le 06/02/2020

    agents de sécurité agressés,hlm,mirail,toulouse

     

    Les agents du GITeS ont été pris à partie ce mercredi soir, au Mirail. Deux d’entre eux seraient blessés au visage après avoir reçu des pierres. Des cocktails molotov ont également été lancés.

    La soirée a été agitée au quartier du Mirail mercredi soir. Vers 21 heures, les équipes du groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté (GITeS), qui circulent au pied des HLM pour y assurer la sécurité, ont été violemment prises à partie.

  • Toulouse : À l’intérieur du plus grand squat clandestin parti en fumée

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2020

    Aquarius antifas squat

    Un incendie s’est déclaré, mardi 4 février au 44 avenue de Muret. Un squat géré par des associations d’extrême gauche regroupant plusieurs centaines de clandestins. Nos équipes s’étaient rendus sur place en novembre dernier. 

    Le 23 novembre dernier, les associations d’extrême gauche occupant illégalement les anciens locaux d’Enedis au 44 avenue de Muret, organisaient des journées portes ouvertes. L’occasion pour Infos-Toulouse d’aller voir le plus grand squat de la ville et de dresser un aperçu de ce lieu de vie clandestin. Il est important de préciser que malgré la mention « portes ouvertes » l’accès aux niveaux supérieurs, composés notamment de 275 chambres, était interdit aux visiteurs sans explication. Le rez-de-chaussée comportant plusieurs salles communes et aménagées pour l’occasion pouvaient cependant être visitées. 

    Un centre d’accueil pour clandestin

    Beaucoup de résidents du squat ne parlent pas français ou très mal. La maîtrise de la langue est d’ailleurs un véritable problème pour communiquer avec ces immigrés. En effet, il s’agit d’un obstacle de taille dans les démarches d’obtention des titres de séjours et autres papiers administratifs. À ce titre, la plupart d’entre eux sont en situation irrégulière.

    Lire aussi : Jean-Luc Moudenc interdit les campements sauvages dans le centre-ville

    Pour faire face à ce problème, l’association Saveurs d’exil propose des services de traiteurs sur Ebay. 21 militants d’extrême gauche et clandestins,  cuisinent et animent des buffets. Les bénéfices leurs sont ensuite reversés et permettent le défraiement de professeurs de français bénévoles. Les migrants profitent de deux heures de cours particulier, trois fois par semaine, censés leur apporter les bases de la langue française.

    « Des familles réfugiées », vraiment ? 

    Si beaucoup de militants associatifs présentent ces centaines de squatteurs comme des familles de réfugiés, fuyant les pays ravagés par la guerre, dans les faits il n’en est rien. Ainsi, les femmes et les enfants du squat ne dépassent pas la vingtaine d’individus. Pour le reste il s’agit de jeunes hommes, seuls pour la plupart.

    En discutant avec certains d’entre eux sur les raisons pour lesquelles ils migrent vers la France, les motivations personnelles, loin de celles alléguées par leurs soutiens, sont les principaux moteurs de leur venue en Europe.

    Lire aussi : Toulouse. Un squat pour clandestins toléré par les pouvoirs publics

    Omar (le prénom a été modifié) est arrivé du Soudan à bord d’une embarcation de fortune en se fiant à ceux qui lui vendaient l’Europe et la France comme le nouvel eldorado. Il fuyait « une situation familiale compliquée et était déjà passé par d’autres pays africains ou encore l’Arabie Saoudite », desquels il avait été rejeté. À présent, comme beaucoup d’autres habitants du squat, il considère que « les aides sociales de la France sont loin d’être à la hauteur de nos espérances ».

    Victime de cette désillusion, ils se contentent de vivoter sur les aides accordées et réclament plus de solidarité financière de la part des institutions françaises, non contents d’avoir un logement quand certains français doivent passer l’hiver sur le pavé.

    Des squats très politiques

    Les militants associatifs d’extrême gauche constituent leur premier soutien, et il n’est pas étonnant d’en croiser sur place. À l’occasion des portes ouvertes nous avions pu discuter avec l’une d’entre eux. Malgré son état légèrement alcoolisée, elle a pu nous exprimer son point de vue sur les squats qu’elle fréquente assidûment. Selon elle, il s’agit « aussi bien de lieux de vie que de lieux politiques ». Pour le reste, elle se sera contenté de répéter les grands principes humanitaires déjà écrit sur des pancartes censées faire office de décoration pour l’occasion.

    Lire aussi : Dans l’enfer des squats à Montpellier

    Si l’incendie de ces locaux permet de mettre en lumière un problème jusqu’alors négligé par les autorités, aujourd’hui, ce sont près de 500 clandestins selon les associations, et 700 selon France Bleu, que la préfecture va devoir reloger dans les gymnases toulousains. 

    L’incendie a mobilisé près de 70 pompiers. Aucun blessé n’est à déplorer. L’enquête devra déterminer l’origine de ce sinistre. Il n’est pas sans rappeler l’incendie du 8 mars 2017, au plus grand squat toulousain d’alors, situé dans le quartier des Arènes. 400 sans-papiers y étaient logés dans des conditions d’insalubrité et d’hygiène déplorable, causant notamment le ras-le-bol des riverainsDes coups de feu avaient retentis quelques semaines plus tard, avant que les bâtiments soient évacués par les services de police. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Toulouse (31) : déjà condamné 24 fois à 23 ans, Yssan braque des pompiers qui distribuaient des calendriers

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2020

    Deux pompiers, qui proposaient des calendriers à Longages fin novembre ont cherché à calmer un fils qui se montrait violent avec sa mère. Les deux pompiers se sont retrouvés avec une arme sous le nez. Épilogue ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Toulouse.  

    (…) Yssan, 23 ans et 24 condamnations judiciaires, comparaît devant la justice pour avoir violenté deux sapeurs pompiers, qui étaient occupés à proposer des calendriers.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Toulouse : la combine de certains policiers municipaux pour éviter de payer le stationnement (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

    Des policiers municipaux avaient mis en place durant plusieurs mois une combine pour éviter de payer les horodateurs dans un quartier du centre-ville :

     

    Source : ndf

  • Toulouse : les vœux de Jean-Luc Moudenc perturbés par des manifestants et des Gilets jaunes

    Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2020

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    Publié le  , mis à jour 

    Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole a vécu des vœux mouvementés, ce jeudi en fin de matinée, au palais des sports de la ville. Alors que l'élu présentait ses vœux comme chaque année à plusieurs milliers de fonctionnaires municipaux et métropolitains, une centaine de manifestants ont fait irruption dans la salle.

    C'est vers 11h30 que des manifestants qui défilaient à l'extérieur contre la réforme des retraites et des Gilets jaunes sont rentrés dans la salle et sont montés sur la scène où se trouvait Jean-Luc Moudenc aux côtés d'un autre élu, Henri De Lagoutine adjoint en charge du personnel, et le directeur général des services de la métropole.

    La police municipale de Toulouse est rapidement intervenue à l'aide de gaz lacrymogène. Puis les CRS et les gendarmes mobiles ont fait irruption pour déloger les manifestants. De nombreuses personnes sont sorties de la salle tandis que Jean-Luc Moudenc attendait que le calme revienne. Ce dernier a déploré cette action. "Lorsque je suis confronté à ce genre de situation, j'ai des principes : ne jamais céder reculer faiblir", a déclaré le maire de Toulouse.

    "La jovialité de ces vœux a été édulcorée et je peux comprendre que certains agents soient un peu découragés. Nous constatons un affaissement, un recul de l’autorité républicaine face à ceux qui font profession du désordre et qui nourrissent des principes contraires à ceux de la démocratie. Je leur ai proposé de prendre la parole en échange de sortir. Quel que soit le bord politique, je condamne  la violence. Un agent de la collectivité a été blessé et des portes ont été cassées", a ajouté Jean-Luc Moudenc.

    La rédaction
     
    Source : ladepeche