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toulouse - Page 34

  • Toulouse : deux migrants interpellés après 29 cambriolages « leur caverne d’objets volés était digne d’Ali Baba »

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2020

    Par  le 21/06/2020

    Toulouse. Deux voleurs arrêtés après 29 cambriolages : leur caverne d’objets volés était digne d’Ali Baba

    Lundi 15 juin 2020, les gendarmes ont arrêté deux individus coupables de 29 cambriolages en Haute-Garonne. Ils détenaient un stock d’objets volés digne de la caverne d’Ali Baba.

    […]

    « Des dizaines et des dizaines » d’objets volés

    Les gendarmes sont alors tombés sur ce qui s’apparente à une véritable caverne d’Ali Baba. Et ils ont même vu double puisque le duo avait réparti son recel en deux endroits, l’un à Montréjeau donc et le second, route de Seysses, à Toulouse.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Actu Toulouse via fdesouche

  • Rassemblement pour Traoré : quelques centaines de personnes défilent, des incidents lors de la dispersion

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2020

    Dans le quartier des Carmes, les vitrines de commerce ont subi quelques dégradations. © Infos-Toulouse

    Pour la deuxième semaine consécutive, le collectif Vérité et Justice pour Adama 31 a appelé à braver l’interdiction de manifester à Toulouse.

    Derrière la place du Capitole, plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés, mercredi 10 juin, pour dénoncer les « violences policières et le racisme ». À la tribune, des personnalités anonymes qui « débattent », puis des représentants d’associations de gauche. 

    Lire aussi : Toulouse : la manifestation « contre les violences policières » tourne à l’émeute

    Après deux heures de prises de parole, c’est une foule moins nombreuse que l’année dernière qui s’est élancée sur la rue Alsace-Lorraine jusqu’au Palais de Justice, où les forces de l’ordre, absents jusque là, protégeaient les entrées. Après plusieurs dizaines de minutes de face à face électrique mais sans violences, interrompant la circulation des deux lignes de tramway, la manifestation sauvage a ensuite empruntée la grande rue Saint-Michel. 

    Infos Toulouse@InfosTolosa

    Plusieurs centaines de personnes aujourd'hui pour la pro . Quelques incidents lors de la dispersion.

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    C’est au niveau de l’avenue de Crampel que les premières tensions se sont manifestées. Quelques poubelles incendiées et du gaz lacrymogène utilisé par la police qui tentaient de dispersé l’attroupement d’une centaine de personnes. Pour l’heure, pas d’interpellation communiquée, ni de blessés d’un côté comme de l’autre. 
     
  • 9 juin 721 : Quand Eudes d’Aquitaine arrêtait la conquête musulmane à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2020

    Représentation de la Bataille de Toulouse, le 9 juin 721.

    Le 9 juin est une date méconnue bien que victorieuse pour la ville de Toulouse. En effet, c’est à cette date qu’en 721, les troupes d’Eudes d’Aquitaine stoppèrent l’invasion arabo-musulmane dans le sud-ouest de la France.

    Suite à la conquête de l’Espagne et du Portugal, formant le califat d’Al-Andalus, les Sarrasins prennent le parti de remonter dans le Sud de la France. Ainsi, Narbonne est conquise en 718, de même qu’Agde, Béziers et Nîmes, mais Eudes d’Aquitaine se mettra en travers de leur chemin à Toulouse…

    Lire aussi : L’occupation musulmane en Languedoc au VIIIe siècle

    Le cas de Toulouse est très particulier dans cette période : une fois ces villes tombées, Toulouse demeurait le dernier rempart contre l’invasion de l’Aquitaine et, au delà, du royaume franc. L’année 721 sera décisive : le siège de Toulouse et la défaite de l’Émir Al-Samh ibn Malik devant ses remparts vont entraîner la chute de l’occupation sarrasine sur notre sol.

    Lire aussi : Eudes d’Aquitaine, celui qui sauva Toulouse de la conquête musulmane

    Le rôle décisif d’Eudes d’Aquitaine

    La bataille de Toulouse n’aurait jamais été remportée sans Eudes d’Aquitaine : fils du duc de Gascogne Bodogisel et de Sainte Ode de Francie, son autorité s’étend de la Loire aux Pyrénées, jusqu’au Rhône à l’est. Alors que l’armée de l’Al-Andalus entame sa conquête, les royaumes francs d’Austrasie, dirigé par Charles Martel, et de Neustrie, dont le maire du palais est Rainfroi, se livrent une guerre sans merci dans laquelle intervient Eudes en 717. Cette lutte de pouvoir facilite grandement l’avancée musulmane sur les terres franques.

    Eudes d'Aquitaine

    Lorsque débute le siège de Toulouse par 5 000 musulmans en novembre 720, la cité s’épuise rapidement. Eudes planifie une sortie héroïque le 9 juin 721 : en sous-nombre mais profitant d’un effet de surprise absolu, il met en fuite l’armée de l’émir Al-Samh ibn Malik par une charge de 2 000 hommes sur ces paroles légendaire : « Sur mon honneur, je vous le dis, jamais on ne parlera l’arabe ici ! ». L’émir, bien qu’il ait rapidement fui devant le courage des Francs, est rattrapé et tué. Inspirés par cette victoire, les Wisigoths d’Espagne se soulèvent à leur tour, appuyés par Eudes qui poursuit le général maure Ambiza. En 726, il parvient à massacrer entièrement cette armée entre Toulouse et Narbonne.

    Lire aussi : Boisson Divine : ils ont chanté la bataille de Toulouse
    « Longue est la plainte des arabes car leur cœur est bien lourd. Les Francs chantent leur petite victoire à Poitiers, mais nous, nous pleurons notre immense défaite devant Toulouse. Et nous implorons Allah d’accueillir au paradis, nos morts restés sur la chaussée des martyrs. »

    Ibn Hayyan ben Abou Djebbala (fakys du khalife Omar au VIIIe siècle), cité par l’historien El Maqqari El Tlemcani (1591-1632)

    Malgré leurs rivalités politiques, Charles Martel et Eudes s’allient en 731, pour consolider leur pouvoir et bâtir une armée afin de vaincre et déjouer les prochaines invasions. Devant l’avancée des armées de Charles Martel et d’Eudes de Gascogne réunies, Abd el-Rahmann, émir de Cordoue arrête sa progression entre Poitiers et Tours le 17 octobre 732. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, que se font face les ennemis. Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Abd-er-Rahman meurt au combat et la nuit suivante, ses hommes se retirent. L’armée musulmane est ainsi définitivement stoppée.

    Eudes d'Aquitaine

     

    Source : infos-toulouse

  • Toulouse : des jeunes mineures sous la responsabilité des foyers pour l’enfance ont été exploitées sexuellement

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2020

    Par  le 30/05/2020

    Une proxénète de 17 ans interpellée et mise en examen à Toulouse

    […]

    Elle exploitait des adolescentes et jeunes mineures recrutées dans des foyers pour l’enfance. Une jeune femme de 17 ans et demi a été placée en détention provisoire vendredi 29 mai à Toulouse, apprend-on ce samedi, pour proxénétisme aggravé. Elle avait recruté cinq femmes (dont quatre de 16 à 18 ans) dans des foyers pour l’enfance et les prostituait.

    […]

    France Bleu via fdesouche

  • Toulouse : Mis en examen pour viols sur mineurs, il est libéré pour faute de procédure, une décision qui « redonne le moral aux avocats toulousains »

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2020

    Par  le 26/05/2020

    La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse vient de remettre en liberté des hommes mis en examen pour des faits graves. Ces décisions redonnent le moral aux avocats toulousains.

    Corine Chassagne, magistrate d’expérience et indépendante, vient en tout cas par ses deux décisions d’envoyer des signaux forts au lendemain du déconfinement.

    Saisie dans le cadre d’un référé-liberté, Corinne Chassagne qui a pris au printemps la présidence de la chambre de la cour d’appel qui « surveille » le travail des juges d’instruction, a remis en liberté un homme de 27 ans, mis en examen pour « viols sur mineurs ». Cette remise en liberté quatre jours après la mise en examen dans un dossier criminel ne s’appuie pas sur le fond du dossier mais sur une erreur de procédure de la juge d’instructionLa magistrate a oublié d’aviser le curateur du suspect lors de sa mise en examen.

    Autre affaire : la libération d’un suspect logeant dans un appartement où les policiers de la brigade anticriminalité avaient saisi 3 900 € en liquide, plus 10 kg de cannabis, résine et herbe, et des ecstasys. Mais aussi des cagoules, des gants, des munitions…

    La dépêche via fdesouche