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toulouse - Page 42

  • En moyenne une garde à vue par heure à Toulouse

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2019

     
    collégien garde à vue

    C’est un chiffre qui fait tourner la tête des magistrats. Une garde à vue toutes les heures serait entamée, soit 9.000 procédures en 2018 à Toulouse. Une statistique avancée par Dominique Alzeari, procureur de la République, durant l’audience solennelle de rentrée au tribunal de grande instance (TGI) de Toulouse, lundi 2 septembre. Pour gérer ces interpellations, le procureur peut compter sur 25 magistrats, contre « 30 estimés pour être efficace »

    Lire aussi : Suicide dans la police : « Triste, forcément, en colère surtout »

    Le grand rendez-vous de la rentrée s’est déroulé devant les nouveaux magistrats et fonctionnaires de la juridiction qui prenaient officiellement leur fonction. L’occasion pour Marc Pouyssegur, président du TGI de dénoncer le manque de moyens de la justice dans la ville rose. 

    Rapportés par Actu.fr, les chiffres sont inquiétants pour le fonctionnement de la justice toulousaine. Pour Marc Pouyssegur, le nombre de greffiers est de 168, alors qu’il estime « à 240 le nombre nécessaire ». Le tribunal de grande instance compte actuellement 68 magistrats, alors qu’il faudrait « au moins cinq juges supplémentaires », a t-il demandé. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse.

     

    Source : nfos-toulouse

  • Toulouse : un élu écologiste se fait voler son portable dans la rue et le retrouve grâce à la vidéosurveillance… qu’il dénonce

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

     

    L’élu d’opposition Europe Ecologie-Les Verts toulousain Antoine Maurice s’est fait dérober son téléphone portable par trois individus. Deux d’entre-eux ont été arrêtés et le téléphone récupéré grâce à la vidéosurveillance… que l’élu a toujours combattue !

    […]

    Un opposant politique à Antoine Maurice, qui a eu vent de l’histoire, s’amuse de l’ironie du sort : «Il a toujours combattu les caméras de vidéosurveillance et c’est grâce à l’une d’entre-elles que deux hommes ont été arrêtés et qu’il a récupéré son téléphone !»

    […]

    La Depeche via fdesouche

  • A Toulouse, le virage radical de la délinquance

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2019

    Par  le 21/08/2019

    Toulouse, une génération de jeunes caïds met la ville à feu et à sang pour le contrôle des points de deal. Leur héros : Mohamed Merah.

    « Le tête-à-tête à l’ancienne, c’est fini, maintenant on sort le calibre », lâche un flic qui les observe depuis longtemps. Les profits du trafic de stupéfiants ont fait dérailler les jeunes caïds des Izards, de ­Bagatelle, de la Reynerie, ­d’Empalot et du Mirail, ces quartiers nichés au cœur de Toulouse. La Ville rose s’est mise à voir rouge sur fond de trafic de cocaïne, d’héroïne et de cannabis, un marché en constante expansion à la faveur de l’explosion démographique de la préfecture de la Haute-Garonne (plus 15.000 nouveaux habitants par an), tirée par une industrie aérospatiale en plein âge d’or. Les clients, cadres qualifiés ou étudiants, ont le portefeuille garni, à tel point que les dealers les surnomment les « yankees » (déformation du verlan « ienclits »), comme s’ils avaient des dollars collés sur le front. […]

    Mais il y a autre chose, que pointe ce policier qui les connaît bien : l’effet Merah. Plusieurs de ceux qui sont morts sous les balles (treize règlements de comptes en 2018, cinq depuis le mois de janvier) ont grandi dans la même cage d’escalier que Mohamed Merah, cet enfant des Izards devenu tueur au nom d’Allah sans qu’aucun radar ne le détecte. […] Parmi eux, quatre fortes têtes, Mehdi El-Aouamad, Hanifi Guedili, Nadir Benoua et Malik Benani, dit « Ribéry », rendent la vie impossible aux surveillants, se souvient un ancien cadre du centre. Du moins jusqu’à l’arrivée d’une poignée de caïds marseillais, qui, malgré leur petit nombre, assoient aussitôt leur emprise sur leurs homologues toulousains. […]

    La PJ fait avec les moyens du bord et des effectifs bien maigres, sans compter que les magistrats spécialisés sont à Bordeaux, ce qui engendre des pertes de temps colossales. Les dealers, eux, se sont professionnalisés : ils changent de voiture chaque jour pour éviter les balises, dorment loin de chez eux (et de leurs ennemis), recourent en guise de petites mains à des « ­blédards » (souvent originaires de Mostaganem, en ­Algérie) inconnus des services. […]

    Le JDD via fdesouche

  • Toulouse : les trafiquants de drogue se déguisent en braqueurs de la série «La Casa de Papel»

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    […] Pour appâter la clientèle, les délinquants de l’avenue de la Gloire, un quartier toulousain, n’ont pas hésité à se mettre en scène dans une vidéo publiée sur le réseau social Snapchat, une application de conversation éphémère. Dans ce court-métrage d’une minute, on voit le visage du « professeur », le héros de la saga, accompagné d’un texte  » La Cama de Papel », un jeu de mots qui rappelle que sur leur point de vente, on trouve plus facilement de la « came », que des billets de banque.

    La Dépêche du Midi via fdesouche

  • Toulouse : un policier de 35 ans tabassé à mort alors qu’il défendait une femme (MàJ : Rachid, complice présumé, remis en liberté)

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    07/08/2019

    « Il n’y a pas une seconde sans que je pense à cette nuit-là mais je n’ai rien à faire à trois dans une cellule de 9 mètres carrés », a expliqué ce père de famille, ce mardi, aux magistrats. Entendu. La Chambre de l’instruction a rendu son arrêt : Rachid, 39 ans, sera libéré sous contrôle judiciaire en attendant que l’instruction se poursuive.

    (…) La Dépêche


    06/08/2019

    Ce mardi midi, les avocats de Rachid -père de 3 enfants et fonctionnaire depuis 15 ans à la mairie de Colomiers-, impliqué dans la bagarre qui a coûté la vie d’un policier toulousain en civil, ont sollicité une remise en liberté de leur client.

    (…) La Dépêche


    20/07/2019

    Un policier âgé de 35 ans, qui n’était pas en service, est mort après avoir été roué de coups sur le parking de la discothèque toulousaine Esmeralda, dans la nuit de vendredi à samedi. Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue.

    La police a été alertée vers 5h25 par les pompiers pour une personne en arrêt cardio-respiratoire près de la discothèque Esmeralda, à moins de 10 km du centre de Toulouse, a indiqué à nos confrères de l’AFP une autre source proche du dossier. Le gardien de la paix n’a pas pu être ranimé par les secours et est rapidement décédé, a-t-on précisé. Sur Twitter, le syndicat Unité SGP Police a rendu hommage à Benjamin, « tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse. »

    Selon nos informations, l’employée d’une friterie aurait été importunée par un groupe de jeunes pour une histoire de file d’attente. Le policier de 35 ans se serait alors interposé et aurait été roué de coups, de poings et de pieds, par deux hommes qui « l’ont fait chuter et sa tête a lourdement heurté le sol ». Ses agresseurs ont ensuite pris la fuite dans une voiture dont l’immatriculation a pu être relevée par des témoins, selon La Dépêche.

    Ce samedi matin, vers 8 heures, les experts scientifiques étaient encore sur les lieux pour geler la scène de ce qui est désormais un crime. Un meurtre, c’est certain. Ou un assassinat ? Selon plusieurs sources, la victime connaissait son agresseur principal. Mais était-ce dans le cadre de ses fonctions de policier officiant notamment aux Izards, un quartier tristement célèbre pour son trafic de produits illicites ? Ou était-ce à titre personnel ? Seule l’enquête de la PJ pourra le déterminer

    Il allait être papa. Benjamin K., 35 ans, aurait dû devenir père de famille d’ici peu. Le décès brutal de ce jeune homme de 35 ans plonge sa compagne, sa famille, son entourage et ses collègues dans une douleur indicible. En poste depuis un an à la brigade spécialisée de terrain nord (BST), il était basé au commissariat de La Vache. Il travaillait notamment dans le quartier des Izards, l’un des secteurs les plus sensibles de la Ville rose. (…) Ce grand gaillard qui mesurait 1,85m était notamment un fana de musculation selon certains de ses collègues. Ce samedi, il a vraisemblablement été attaqué par-derrière.

    UNITÉ SGP POLICE@UNITESGPPOLICE
     

    UNITÉ SGP POLICE présente ses plus sincères condoléances à la famille, amis et collègues de Benjamin, tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse.
    Une pensée particulière pour la BST Nord de Toulouse dans laquelle Benjamin faisait parti et pour sa compagne enceinte.

     
     

    LCI / La Dépêche