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toulouse - Page 40

  • Crèche vivante perturbée à Toulouse : que va faire le parquet ?

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2019

    Auteur : Michel Janva

    Crèche vivante perturbée à Toulouse : que va faire le parquet ?

    L’Agrif sera vigilante :

    Ainsi, la crèche vivante qui était réalisée ce dernier samedi, place Saint Georges, au cœur de Toulouse, avec des enfants, a dû être évacuée en urgence.

    Quelques dizaines de nervis gauchistes détachés de l’arrière de la manifestation des gilets jaunes et scandant des slogans de haine antichrétienne, en ont envahi l’espace, imposant aux organisateurs de la crèche l’abandon des lieux.

    La police n’est pas intervenue contre cette grave violence liberticide rappelant dans le passé les premiers actes annonciateurs des tragiques périodes révolutionnaires de persécution anticatholique.

    L’Agrif attendra du parquet de Toulouse les poursuites qui s’imposent contre les responsables, connus, de cette agression de racisme antichrétien, pour « entrave concertée à l’exercice de la liberté d’expression selon l’article 431-1 du code pénal ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Toulouse : la crèche vivante perturbée, notre journaliste agressé

    Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2019

    L’édition 2019 de la crèche vivante de Toulouse a dû être écourtée après l’intervention de contre-manifestants devant des enfants apeurés. 

    Ce devait être un samedi où l’esprit de Noël rayonnait sur Toulouse, un esprit loin du consumérisme des boutiques, des tensions qui traversent le pays entre gilets jaunes et forces de l’ordre. Un petit moment de paix dans une société dessoudée, un moment de partage face à l’individualisme, un moment de beauté avec des choristes, un moment de tradition avec la crèche vivante. 

    Une contre-manifestation devenue démonstration christianophobe

    Pour la septième année consécutive, l’association Vivre Noël autrement organisait la crèche vivante, place Saint-Georges à Toulouse. Si une partie est restée à l’endroit prévue, une autre délégation, composée des rois mages, de saint Joseph, de la Vierge et l’Enfant-Jésus, ont déambulé durant plus d’une heure dans l’hyper-centre de Toulouse, de la cathédrale Saint-Étienne au Capitole. Dans une ambiance bucolique, les bénévoles ont distribué entre deux chants de l’Avent, des petits prospectus avec les horaires des messes de Noël. 

    Lire aussi : Une crèche vivante de Noël à Toulouse

    C’est au retour de la crèche déambulatoire que les esprits se sont échauffés avec une cinquantaine de manifestants, issus de l’extrême gauche. Sous couvert de « laïcisme », ils ont sifflé les choristes, scandé des chansons blasphématoires et insulté des participants avant d’en arriver aux mains avec certains, arguant « que cet événement était illégal dans un État laïc ». Pas de chance pour eux, la préfecture, comme la municipalité avait bien autorisé la tenue de la crèche vivante, contrairement à leur rassemblement. 

    Un journaliste d’Infos-Toulouse agressé

    Plusieurs contre-manifestants ont tenté d’atteindre la crèche. L’un d’entre-eux, visiblement en plein live sur les réseaux sociaux, a pris à partie des bénévoles de l’association, insultes en prime. Évacué une première fois, il est revenu à la charge, et c’est à ce moment, que notre équipe de journalistes qui filmait la scène, a été prise à partie par quelques individus, n’hésitant pas à arracher l’appareil photo de notre reporter pour le jeter au sol. Un geste lâche de la part de ce militant opposé à la liberté d’informer qui lui vaudra une seconde exclusion de la place, obligé de rejoindre ses comparses, dont des membres clairement identifiés de l’association Act Up, Union Antifasciste Toulousaine et d’autres groupuscules de l’extrême gauche, réunis pour tenter de contrôler un nouvel acte des Gilets jaunes. 

    Lire aussi : Antifas, Black bloc : ils tentent de détruire les Gilets Jaunes

    Suite à ces escarmouches, la crèche vivante a été écourtée de plus d’une heure, empêchant trois groupes de choristes de se présenter sur scène et les enfants de poser dans la crèche. Outré, les participants ont été contraint de quitter la place, parfois sous les pleurs effrayés des enfants. 

    L’archevêque « déplore » cette attaque

    Dans un communiqué publié dimanche 15 décembre, l’archevêque Monseigneur Le Gall a condamné cette interruption de la Crèche vivante.

    « Cette manifestation joyeuse durant laquelle des chants de Noël sont entonnés, des scènes de Nativité jouées par des enfants et des adultes, aidés par de multiples animaux, n’a d’autre but que de donner de la profondeur à cette fête. En tant qu’Archevêque de Toulouse, je déplore que le simple rappel de la naissance de Jésus et des valeurs qu’elle véhicule (accueil de l’étranger, annonce de la Paix et signe d’une tendresse dont nous avons tous besoin) ne soit plus respectée dans notre pays et suscite même des actes de violences verbales et physiques de ceux qui s’érigent comme défenseurs de la liberté. J’invite chacun à défendre pacifiquement la liberté d’expression ainsi qu’à respecter l’histoire et les traditions de notre pays. + Robert Le Gall ».

    Étienne Lafage.

     

    Source : nfos-toulouse

  • Toulouse : la crèche vivante des enfants attaquée au cri de « Stop aux fachos! »

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2019

    Par  le 15/12/2019

    Affligeant. C’est aux cris de « Stop aux fachos », sans même se rendre compte que c’est ce qu’ils sont eux-mêmes, en ne respectant aucunement la liberté de pensée des autres, qu’une cinquantaine d’individus, a interrompu samedi, vers 16h la crèche vivante avec chœurs, qui devait se dérouler jusqu’à 18 heures, place Saint-Georges.

    Regroupés sur les murettes entourant la place, vociférant et proférant insultes et cris à l’encontre « des flics, des fachos » revendiquant « nous, on est les anticapitalistes ». Effrayant les enfants qui jouaient dans la pastorale et jouant la provocation jusqu’à descendre sur la place en cherchant la confrontation. Ce qui a clos définitivement la représentation, prévue avec succession de chorales, jusqu’à 18h. Alors, les enfants sont descendus de l’estrade, trois chœurs prévus encore n’ont pas chanté. L’âne et les moutons sont repartis dans leur ferme. Et le public déçu, hochait la tête de dépit. Aussi triste que crétin. Quel intérêt de venir manifester là ?
    […]
    La Dépêche via fdesouche

  • Toulouse : volées par dizaines, les motos alimentaient un trafic de pièces détachées… au Ghana

    Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2019

    Par  le 09/12/2019

    Les statistiques commençaient à devenir alarmantes. En l’espace d’un an, entre octobre 2018 et octobre 2019, les vols de moto avaient bondi de 45 % à Toulouse ! Une situation suffisamment préoccupante pour susciter l’intérêt des enquêteurs de la Sûreté départementale. Leurs investigations viennent de permettre l’incarcération de trois personnes, receleurs supposés d’un vaste réseau international.

    […]

    Trois Ghanéens de 23, 32 et 37 ans ont été écroués

    […]

    Lire la suite : Actu Toulouse via fdesouche

  • Toulouse : peines réduites en appel pour deux djihadistes partis en Syrie, qui posaient avec des kalachnikovs et une tête coupée

    Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2019

    Par  le 06/12/2019

    Deux jeunes Toulousains partis combattre en Syrie dans les rangs djihadistes ont été condamnés en appel jeudi soir à Paris à dix ans de réclusion criminelle, des peines inférieures à celles prononcées en première instance, a appris l’AFP vendredi de source judiciaire.

    (…) En avril 2018, lors de leur premier procès, Mounir Diawara, alors âgé de 23 ans, et Rodrigue Quenum, 22 ans, avaient été condamnés à quinze ans de réclusion. Tous deux venus de quartiers populaires de Toulouse, ils étaient rejugés pour s’être rendus du 28 mai au 12 août 2013 en Syrie où ils avaient rejoint les rangs de groupes djihadistes, d’abord le Jabhat al-Nosra puis l’organisation État islamique (EI).

    Ils apparaissaient sur des photos en tenue de combat, kalachnikov en main et, pour l’un d’eux, brandissant une tête coupée.

    Outre la participation à des actions militaires et à des exactions en Syrie, la justice leur reprochait d’avoir à leur retour en France fait du prosélytisme auprès d’individus fréquentant un appartement toulousain pour les convaincre de partir combattre. Comme en première instance, vingt ans de réclusion criminelle avaient été requis à leur encontre.

    Le Figaro via fdesouche