Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023
Lire l'article : breizh-info
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Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023
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Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022
Publié par Guy Jovelin le 01 février 2022
Nous assistons en ce moment à une véritable leçon de vie qui se joue sur la scène politique sur le thème de la trahison.
Durant des années, Marine Le Pen a vécu par la trahison. Elle a trahi la ligne du Front National dont elle a pris la présidence. Elle a trahi les militants historiques de son parti, les remplaçant progressivement par des cohortes de représentants du lobby LGBT. Elle a accordé à tous les lobbies de l’anti-France une place de choix au sein de son parti. Elle a trahi les grandes figures de son parti, telles que Bruno Gollnisch renvoyé au placard. Elle a trahi son propre père. Elle est donc une experte en trahison.
Or, pour paraphraser le célèbre adage Qui a vécu par le glaive périra par le glaive, on peut considérer que qui a vécu par la trahison périra par la trahison. Ainsi observe-t-on comme un châtiment cette hémorragie qui rythme désormais quotidiennement la vie du Rassemblement National et de sa présidente au profit du parti d’Eric Zemmour.
Il reste que cette leçon de vie devrait être également méditée par Zemmour et ses plus fidèles thuriféraires. Bien sûr, lorsqu’un jeune parti voit frapper à sa porte des élus venant d’ailleurs, la tentation est grande de les accepter tous et de pouvoir les exhiber comme un trophée de chasse. Voyez comme ils se rallient tous à mon beau panache blanc. C’est oublier qu’une part de ceux-ci sont des champions du retournement de veste.
Jadis de bons et loyaux militants du Front National furent écartés au profit de transfuges pourtant venus d’horizons parfois bien opposés au camp national. Il n’est pas besoin d’être devin pour comprendre qu’après l’élection présidentielle, lorsque viendra le temps de préparer les élections législatives, bien des militants bons et loyaux du parti Reconquête d’Eric Zemmour seront écartés au profit de ces transfuges dont les dents rayent déjà le parquet.
Qu’on me comprenne bien. En soi, être un transfuge n’a rien d’infâmant. Celui qui, en toute bonne foi, s’est engagé dans un parti politique, s’apercevant que ce parti change de ligne, décide de rallier un autre parti qui défend les idées pour lesquelles il est entré en politique, est simplement cohérent. Lorsqu’elle est aveugle, la loyauté n’est que soumission à la logique de particratie.
Mais dans le cas que nous observons, il est évident que les Gilbert Collard, Guillaume Peltier et consorts exporteront chez Reconquête d’Eric Zemmour tous les travers dont ils ont naguère fait « profiter » leurs précédents ports d’escales politiciennes.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2021
De Marion Duvauchel, paroissienne catholique :
Le Rapport Sauvé est une imposture et un pseudo travail fondé sur une méthodologie frauduleuse.
Comment a t-on calculé l’ampleur des crimes sexuels commis par des religieux français ? Comment a-t-on pu parvenir au chiffre de 216 000 victimes en quelques semaines ?
On l’a obtenu en interrogeant 243 personnes directement et 2819 par courrier, soit un total de 3602 témoignages directs (si l’on admet qu’un courrier soit un témoignage direct). Il reste donc 212 938 témoignages tenus pour autant de victimes. Ce chiffre, comment l’a-t-on obtenu ? Par une simple extrapolation.
La méthodologie est à suffoquer d’ahurissement. Dans un premier temps l’IFOP institut de sondage privé grassement nourri par Macron et tous les précédents présidents de la Cinquième République, a organisé un sondage. On est en droit de douter de l’indépendance politique d’un organisme qui, de notoriété publique, a fait preuve d’une grande imprécision dans un nombre impressionnant de sondages politiques.
C’est donc par sondage qu’on a obtenu des « témoignages » pour ce qui s’apparente à un procès public orchestré par des médias dont la liberté n’est plus un secret pour personne.
Pour ce rapport Sauvé, le travail de l’Inserm a été mené par Nathalie Bajos, sociologue et démographe, qui y est responsable de l’équipe Genre. Autrement dit, une idéologue dont on peut lire le credo sur le site de l’IRIS :
« interroger les inégalités sociales de santé en croisant la sociologie de genre et la sociologie de la santé et en convoquant une perspective inter sectionnelle d’articulation des rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race ».
La cuistrerie du vocabulaire ne saurait tromper personne.
L’enquête sur les crimes de l’Église a donc été synthétisée par une féministe d’extrême-gauche, une adversaire déclarée de l’éthique sexuelle de l’Église, voire de l’Église. Dans une vidéo dont on trouvera le lien ci-après (cette vidéo), Nathalie Bajos explique que les parents ont tort d’être angoissés à l’idée que leurs enfants regardent du porno et que les changements dans l’éthique sexuelle n’ont rien que de très normal, que les parents doivent accepter et se conformer aux nouvelles normes sexuelles des adolescents. Normes programmées et massivement diffusées par les medias : JT, cinéma, publicité… Tout concourt à la nouvelle programmation sexuelle.
Que des membres de l’Église aient commis des fautes, et des fautes intolérables, nul n’en doute. Qu’une droite appréciation du phénomène fût nécessaire, cela aurait été non seulement nécessaire mais juste. À la condition que ce soit dans une société déterminée elle-même à lutter contre la pédo-criminalité.
Or, après que des faits de pédophilie avérés aient été établis pour des personnalités littéraires (Frédéric Mitterrand, Gabriel Matzneff..) aucune poursuite n’a jamais été entreprise. Mieux encore, des justifications liées à l’époque, à l’esprit du temps ont encore aujourd’hui cours pour excuser ces comportements et ce prosélytisme.
Une société qui encourage et valorise la délinquance sexuelle juvénile, qui organise l’avortement de masse, qui non contente de n’avoir jamais puni ses pédophiles notoires absout la pédophilie parce que sociologiquement considérée comme normale, une société qui se fait l’ardent prosélyte d’une éthique sexuelle perverse (celle-là même que défend Mme Bajos), ses membres n’ont aucune légitimité à produire ce type de rapport.
Une société dépravée qui dégrade l’amour, méprise l’honneur et le courage, disqualifie les aspirations les plus élevées en l’homme doit demander pardon pour les lois scélérates qu’elle défend, pour l’éthique sexuelle perverse qu’elle justifie et pour l’Himalaya de mensonges que sa presse obséquieuse relaie depuis un demi-siècle.
Mais que l’épiscopat français ait commandité ce travail aux ennemis mêmes de l’Église, à ceux qui se font les prosélytes de l’avortement de masse et de tout ce qui soutient l’idéologie du genre, voilà qui invite à ne pas prendre au sérieux non pas la question, mais les chiffres établis par ce rapport. Que ce même épiscopat ait l’insolence d’inviter aujourd’hui les fidèles à financer ces réparations, voilà qui dépasse les bornes.
Le Rapport Sauvé n’est pas seulement l’enfant malade des ennemis du catholicisme. Il est une vaste opération de manipulation idéologique destinée à faire douter les derniers fidèles de leur Église et à finir de vider les paroisses. Avec la complicité active des évêques de France.
On a demandé récemment leur démission collective. L’épiscopat n’a pas à démissionner pour avoir couvert des actes criminels mais pour avoir confié à des ennemis de l’Église une recherche qui réclamait la raison prudentielle, le temps, des vérifications difficiles et délicates, une objectivité sans faille envers les victimes comme envers les coupables présumés. Et puisqu’il s’agit d’accusations d’une extrême gravité, qu’elles fassent l’objet de vérifications soignées et contradictoires, comme notre justice le réclame.
Non seulement depuis plusieurs années, les évêques de France n’ont pas défendu ce qu’il était de leur devoir de défendre : une éthique sexuelle digne de la nature humaine, les droits des plus fragiles, (les enfants conçus non nés, pas seulement les migrants musulmans), mais ils ont abdiqué toute parole qui soit le reflet de la Parole dont ils sont les Serviteurs.
C’est à leur Christ que les évêques ont à demander pardon car c’est Lui qu’ils ont trahi, avec leurs choix mauvais, leur couardise, leur lâcheté et leur pleutrerie qu’ils ont l’insolence d’envelopper sous la dorure de la raison prudentielle.
Le rapport Sauvé est le signe visible de la trahison de l’épiscopat lui-même qui prend aujourd’hui le triste masque de Judas.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2019
L’agression commise par un Afghan, « demandeur d’asile », a suscité une réaction significative chez ceux qui depuis de longues années sont, au pouvoir, les complices de l’immigration dont souffrent les Français : ils ont aussitôt soulevé un quadruple nuage de fumée pour voiler la réalité et dissimuler leur lourde responsabilité. D’abord, ouf ! Ce n’est sans doute pas un acte terroriste. La belle affaire : il s’agit bien d’un immigré, sans doute clandestin à l’origine, qui demande l’asile pour ne pas être expulsé et bénéficier des aides prévues. Ensuite, c’est sans doute un déséquilibré ou un drogué qui n’a pas été repéré et suivi, comme s’il était naturel que services sociaux et médicaux se mobilisent en priorité pour des étrangers qui n’ont aucune raison d’être présents sur le sol national. En troisième lieu, la main sur le coeur ils nous disent que les services de sécurité ont été irréprochables, que la police et la justice travaillent dans le sérieux et sérénité, et qu’il convient dans un premier temps de ne penser qu’aux victimes… C’est un peu tard, non ? Un élu a le toupet de parler de fatalité, parce que bien sûr la présence d’un Afghan en France est une fatalité qui n’a rien à voir avec la volonté politique et le laxisme judiciaire ! Enfin, comme d’habitude on se dit outré que la droite puisse récupérer le drame…
Peu importe que l’Afghan qui a assassiné un Français et blessé grièvement plusieurs autres soit un terroriste ou non. Peu importe qu’il soit sain d’esprit ou non : il n’avait pas à être là ! L’Afghanistan est un pays dont la violence est légendaire. Ni les Britanniques, ni les Russes, ni les Américains et leurs alliés n’ont pu y instaurer leur domination. L’orgueil tribal, le fanatisme religieux et un goût immodéré pour la guerre rendent ce peuple très divers indomptable dans l’ensemble. 90 soldats français y sont morts sans doute pour rien : il est probable que les Talibans sortis par la porte en 2001 reviendront par la fenêtre. Ils contrôlent déjà une grande partie du territoire. Et il faudrait que la France ouvre ses portes avec générosité aux ressortissants de ce pays dont les relations avec la France sont ténues ?
Le drame de Villeurbanne ne pose qu’une question : celle de la politique migratoire de l’Europe et de la France. Le meurtrier bénéficiait d’un logement dans un centre d’accueil et d’une carte de séjour temporaire. Or, il semble avoir deux identités distinctes, et trois dates de naissance différentes. Il serait déjà venu en France en 2009, et y serait depuis 2016. Il aurait séjourné dans plusieurs autres pays européens, l’Allemagne, l’Italie, la Norvège et il prétend avoir reconnu dans sa victime une personne rencontrée au Royaume-Uni… On ne peut qu’être effaré par ce constat : un individu qui n’a rien à faire en Europe peut la parcourir sans qu’on ait une idée claire de son identité, et il peut obtenir un titre de séjour, un logement et sans doute un certain nombre d’aides en France ! On dira qu’il n’était pas connu des services de police et qu’il n’était pas radicalisé…. Mais son acte, même s’il est la conséquence d’un déséquilibre mental plus ou moins passager, peut-être provoqué par l’usage de stupéfiants, porte la marque d’un pays, d’une culture qui ne sont pas les nôtres : l’usage de l’arme blanche, l’invocation religieuse délirante ont donc conduit à la mort d’un jeune Savoyard. Ce n’était pas une fatalité : ce Français est la victime du laxisme et de l’irresponsabilité qui règnent dans notre pays, en premier lieu chez les dirigeants politiques. Ceux-ci ont ouvert les portes de la France au point d’en faire une passoire accueillante, attirante même. Y viennent et y séjournent des individus mal identifiés, dont les motivations sont confuses entre souhait de quitter un pays où l’on vit mal, volonté de trouver du travail et désir de vivre aux frais d’un Etat qui n’est pas le sien. Rares sont ceux qui sont réellement menacés dans l’ensemble de leur pays d’origine, plus rares encore sont ceux qui ont des engagements politiques réprimés là où ils vivent et qui les obligent à chercher une terre d’asile. Les demandes devraient donc être instruites pour la plupart au départ, et non à l’arrivée. La France a l’un des réseaux diplomatiques les plus importants du monde. C’est à lui d’assurer la première frontière.
L’incurie de nos dirigeants confine une fois de plus à la trahison. La mort d’un Français en est le douloureux symbole. Mais au-delà, c’est l’identité de la France qui est menacée, sa culture, la manière de vivre des Français. 255 550 titres de séjour ont été accordés en 2018 : un record ! 315 800 immigrés bénéficient de l’Aide Médicale d’Etat notamment pendant les longues périodes du traitement des dossiers. Cela représente une dépense d’un milliard d’Euros. 100 000 obligations de quitter le territoire ont été délivrées… dont 12% seulement sont devenues effectives. Le meurtre commis dans la banlieue lyonnaise doit d’abord nous interpeller sur le suicide de notre pays.
Source : ndf