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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1295

  • Le grand exode des médecins algériens : 80% se dirigent vers la France

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    En Algérie, les départs massifs des médecins radiologues, néphrologues, anesthésistes-réanimateurs et surtout des psychiatres est inquiétant, selon l’Ordre national des médecins. Les femmes sont de plus en plus nombreuses à choisir la voie de l’expatriation. Les principales destinations sont la France, puis les Etats-Unis, l’Allemagne et le Qatar et récemment la Grande-Bretagne et le Canada. Sur les 15 000 médecins algériens qui exercent en France, 5000 sont en cours de régularisation.

    Près d’une cinquantaine de demandes de délivrance des certificats d’exercice et de bonne conduite sont enregistrées par semaine au niveau du Conseil national de l’Ordre des médecins, s’alarme le Dr Mohamed Bekkat Berkani, président du CNDM (Conseil National de Déontologie Médicale).

    Le nombre de demandes déposées par les médecins spécialistes désirant quitter le pays augmente chaque année, selon lui, dont 80% des praticiens se dirigent vers la France.

    «Nous recevons quotidiennement des demandes de confirmation de diplôme de tous les services hospitaliers métropolitains, et dernièrement ce sont les hôpitaux allemands qui expriment cette demande et certains pays du Golfe», a-t-il déclaré. Pour lui, «il s’agit d’une hémorragie cataclysmique des médecins spécialistes vers la France et autres pays européens. »

    L’Algérie forme chaque année un nombre important de médecins pour la France, dont les coûts sont faramineux. […] La liste des candidats à l’émigration s’allonge avec la liste des pays qui ouvrent les postes dans les principales spécialités médicales avec de nouveaux allégements des conditions d’accès.

    El Watan via fdesouche

  • Jehanne : un film d’animation d’Atam Rasho (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 10 heures

    Jehanne : un film d’animation d’Atam Rasho (VIDÉO)

    Ce film, entièrement réalisé en fonds propres et sans aucune subvention, est diffusé gratuitement :

    Il est possible de participer à son financement.

     

    Source : ndf

  • La mort

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 9 heures

    La mort

     

    Source : ndf

     

     
  • Bonne fête de la Toussaint ! (et textes commentés de la messe)

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    C’est, dans l’Eglise catholique, la fête de tous les saints connus et inconnus (ceux qui peuplent le Ciel, « l’Église triomphante »). Elle est célébrée le 1er novembre.

    « La solennité de tous les saints nous met devant les yeux la foule immense des rachetés, pour nous dévoiler l’avenir auquel nous sommes appelés. Elle doit aussi nous rendre conscients de notre solidarité avec ceux qui nous ont précédés victorieusement dans le monde invisible. Vivant près de Dieu, ils intercèdent pour nous ; ils sont des puissances dans nos vies. » (Liturgie des heures)
    Introït de la messe du jour :
    « Réjouissons-nous ensemble dans le Seigneur, car la fête que nous célébrons aujourd’hui est celle de tous les Saints. Cette solennité réjouit les Anges et tous en chœur louent le Fils de Dieu.
    Justes, exultez dans le Seigneur : aux cœurs droits convient sa louange. Alléluia. »
    Et collecte :
    « Dieu tout-puissant et éternel, qui nous avez accordé de célébrer dans une même solennité les mérites de tous vos Saints ; faites, nous vous en prions, que nos intercesseurs étant multipliés, une abondante effusion de vos miséricordes, objet de nos désirs, nous vienne de votre munificence. »

    Le 2 novembre, c’est « le jour des morts » : pensez à eux, priez pour eux, tâchez ces jours-ci de vous recueillir au cimetière sur les tombes de vos proches ou parents.

    Tableau d'Emile Friant

    Le choix de ces dates par l’Église fit coïncider ces célébrations avec l’antique fête celte de Samain (Samonios, en Gaule) qui se tenait le 1er novembre, marquant l’entrée dans la saison sombre et caractérisée par une « ouverture sur l’autre monde ».

    Attention, pour les catholiques, la Toussaint est une fête d’obligation (avec quatre autres, en France).

    TEXTES DE LA MESSE AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER (dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :

    Aux calendes de novembre, c’est le même empressement qu’à la Noël pour assister au Sacrifice en l’honneur des Saints, disent les anciens documents relatifs à ce jour. Si générale que fût la fête, et en raison même de son universalité, n’était-elle pas la joie spéciale de tous, l’honneur aussi des familles chrétiennes ? Saintement fières de ceux dont elles se transmettaient de générations en générations les vertus, la gloire au ciel de ces ancêtres ignorés du monde les ennoblissait à leurs yeux par-dessus toute illustration de la terre. […]

    Introït :
    Réjouissons-nous ensemble dans le Seigneur, car la fête que nous célébrons aujourd’hui est celle de tous les Saints. Cette solennité réjouit les Anges et tous en chœur louent le Fils de Dieu.
    Ps. 32, 1. Justes, exultez dans le Seigneur : aux coeurs droits convient sa louange. Alléluia.

    L’Antienne d’Introït rappelle aujourd’hui celle de l’Assomption de Notre-Dame. Cette fête est bien la suite, en effet, du triomphe de Marie : comme l’Ascension du Fils avait appelé l’Assomption de la Mère, toutes deux réclamaient pour complément l’universelle glorification des élus de cette race humaine qui donne au ciel sa Reine et son Roi. Joie donc sur la terre, qui continue si grandement de donner son fruit ! Joie parmi les Anges, qui voient se combler les vides de leurs chœurs ! Joie, dit le Verset, à tous les bienheureux, objet des chants de la terre et du ciel !

    Mais nous pécheurs, et toujours exilés, c’est avant tout de la miséricorde que nous devons prendre souci en toute circonstance, en toute fête. Ayons cependant bon espoir, aujourd’hui que tant d’intercesseurs la demandent pour nous. Si la prière d’un habitant du ciel est puissante, que n’obtiendra pas le ciel tout entier ?

    Collecte :
    Dieu tout-puissant et éternel, qui nous avez accordé de célébrer dans une même solennité les mérites de tous vos Saints ; faites, nous vous en prions, que nos intercesseurs étant multipliés, une abondante effusion de vos miséricordes, objet de nos désirs, nous vienne de votre munificence.

    ÉPÎTRE.
    Lecture du livre de l’Apocalypse de l’Apôtre saint Jean (Apoc. 7, 2-12.) :
    En ces jours-là : Voici que moi, Jean, je vis un autre Ange, qui montait du côté du soleil levant, ayant le sceau du Dieu vivant ; et il cria d’une voix forte aux quatre anges auxquels il avait été donné de nuire à la terre et à la mer ; et il dit : Ne nuisez point à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. Et j’entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau : cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des enfants d’Israël, étaient marqués du sceau. De la tribu de Juda, douze mille étaient marqués du sceau ; de la tribu de Ruben, douze mille ; de la tribu de Gad, douze mille ; de la tribu d’Azer, douze mille ; de la tribu de Nephthali, douze mille ; de la tribu de Manassé, douze mille ; de la tribu de Siméon, douze mille ; de la tribu de Lévi, douze mille ; de la tribu d’Issachar, douze mille ; de la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la tribu de Benjamin, douze mille étaient marqués du sceau. Après cela, je vis une grande multitude, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue ; ils se tenaient devant le trône et en face de l’Agneau, vêtus de robes blanches, et ils avaient des palmes dans leurs mains. Et ils criaient d’une voix forte, et disaient : Le salut est à notre Dieu, qui est assis sur le trône, et à l’Agneau. Et tous les Anges se tenaient autour du trône, et des vieillards, et des quatre animaux ; et ils se prosternèrent devant le trône sur leurs visages, et adorèrent Dieu, en disant : Amen. Bénédiction, gloire, sagesse, action de grâces, honneur, puissance et force à notre Dieu dans tous les siècles des siècles. Amen.

    Une première fois, aux jours de son premier avènement, l’Homme-Dieu, se servant pour cela de César Auguste, avait dénombré la terre [57] : il convenait qu’au début de la rédemption, fût relevé officiellement l’état du monde. Et maintenant, l’heure a sonné d’un autre recensement, qui doit consigner au livre de vie le résultat des opérations du salut. « Pourquoi ce dénombrement du monde au moment de la naissance du Seigneur, dit saint Grégoire en l’une des Homélies de Noël, si ce n’est pour nous faire comprendre que dans la chair apparaissait Celui qui devait enregistrer les élus dans l’éternité [58] ? » Mais plusieurs s’étant soustraits par leur faute au bénéfice du premier recensement, qui comprenait tous les hommes dans le rachat du Dieu Sauveur, il en fallait un deuxième et définitif, qui retranchât de l’universalité du précédent les coupables. Qu’ils soient rayés du livre des vivants ; leur place n’est point avec les justes [59] : c’est la parole du Prophète-roi que rappelle au même lieu le saint Pape.

    Toute à l’allégresse cependant, l’Église en ce jour ne considère que les élus ; comme c’est d’eux seuls qu’il est question dans le relevé solennel où nous venons de voir aboutir les annales de l’humanité. Eux seuls, par le fait, comptent devant Dieu ; les réprouvés ne sont que le déchet d’un monde où seule la sainteté répond aux avances du Créateur, aux mises de l’amour infini. Sachons prêter nos âmes à la frappe divine qui doit les conformer à l’effigie du Fils unique [60], et nous marquer pour le trésor de Dieu. Quiconque se dérobe à l’empreinte sacrée, n’évitera point celle de la bête [61] ; au jour où les Anges arrêteront le règlement de compte éternel, toute pièce non susceptible d’être portée à l’actif divin ira d’elle-même à la fournaise, où brûleront sans fin les scories [62].

    Graduel (Ps. 33, 10 et 11.) :
    Craignez le Seigneur, vous tous ses saints, car ceux qui le craignent ne manquent de rien.
    V/. Et ceux qui cherchent le Seigneur ne seront privés d’aucun bien.
    Allelúia, allelúia. V/. Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui êtes chargés, et je vous soulagerai. Alléluia.

    Vivons donc dans la crainte recommandée au Graduel : non celle de l’esclave, qui n’appréhende que le châtiment ; mais la crainte filiale qui redoute par-dessus tout de déplaire à Celui de qui nous viennent tous les biens, dont la bonté mérite tout amour. Sans rien perdre de leur béatitude, sans diminuer leur amour, les Puissances angéliques [63] et tous les bienheureux se prosternent au ciel en un saint tremblement, sous le regard de l’auguste et trois fois redoutable Majesté.

    ÉVANGILE.
    Lecture du Saint Evangile selon saint Mathieu (5, 1-12) :
    Si proche du ciel est aujourd’hui la terre, qu’une même pensée de félicité emplit les cœurs. L’Ami, l’Époux, le divin Frère des fils d’Adam revient lui-même s’asseoir au milieu d’eux et parler de bonheur. Venez à moi, vous tous qui peinez et souffrez, chantait tout à l’heure le Verset de l’Alléluia, cet écho fortuné de la patrie, qui pourtant nous rappelait notre exil. Et aussitôt, en l’Évangile, est apparue la grâce et la bénignité de notre Dieu Sauveur. Écoutons-le nous enseigner les voies de la bienheureuse espérance, les délices saintes, à la fois garantie, avant-goût, du bonheur absolu des cieux.

    Au Sinaï, Jéhovah, tenant le Juif à distance, n’avait pour lui que préceptes et menaces de mort. Au sommet de cette autre montagne où s’est assis le Fils de Dieu, combien différemment se promulgue la loi d’amour ! Les huit Béatitudes ont pris en tête du Testament nouveau la place qu’occupait, comme préface de l’ancien, le Décalogue gravé sur la pierre.

    Non qu’elles suppriment les commandements ; mais leur justice surabondante va plus loin que toutes prescriptions. C’est de son Cœur que Jésus les produit, pour les imprimer, mieux que sur le roc, au cœur de son peuple. Elles sont tout le portrait du Fils de l’homme, le résumé de sa vie rédemptrice. Regardez donc, et agissez selon le modèle qui se révèle à vous sur la montagne.

    La pauvreté fut bien le premier trait du Dieu de Bethléhem ; et qui donc apparut plus doux que l’enfant de Marie ? qui pleura pour plus nobles causes, dans la crèche où déjà il expiait nos crimes apaisait son Père ? Les affamés de justice, les miséricordieux, les purs de cœur, les pacifiques : où trouveront-ils qu’en lui l’incomparable exemplaire, jamais atteint, imitable toujours ? Jusqu’à cette mort, qui fait de lui l’auguste coryphée des persécutés pour la justice ! suprême béatitude d’ici-bas, en laquelle plus qu’en toutes se complaît la Sagesse incarnée, y revenant, la détaillant, pour finir avec elle aujourd’hui comme en un chant d’extase !

    L’Eglise n’eut point d’autre idéal ; à la suite de l’Époux, son histoire aux divers âges ne fut que l’écho prolongé des Béatitudes. Comprenons, nous aussi ; pour la félicité de notre vie sur terre, en attendant l’éternel bonheur, suivons le Seigneur et l’Église.

    Les Béatitudes évangéliques élèvent l’homme au-dessus des tourments, au-dessus même de la mort, qui n’ébranle pas la paix des justes, mais la consomme. C’est ce que chante l’Offertoire, dans ces lignes empruntées au livre de la Sagesse.

    Offertoire (Sap. 3, 1, 2 et 3.) :
    Les âmes des Justes sont dans la main de Dieu, et le tourment de la mort ne les touchera pas ; aux yeux des insensés, ils ont paru mourir, cependant ils sont en paix, alléluia.

    Comme l’exprime la Secrète, le Sacrifice auquel il nous est donné de prendre part glorifie Dieu, honore les Saints, et nous concilie la bonté suprême.

    Secrète :
    Nous vous offrons Seigneur, ces dons de notre piété ; faites que vous étant présentés en l’honneur de tous vos Justes, ils vous soient agréables et qu’ils nous soient rendus salutaires grâce à votre miséricorde.

    Écho de la lecture évangélique, l’Antienne de Communion, ne pouvant énumérer à nouveau la série entière des Béatitudes, rappelle les trois dernières, et, ce faisant, les rapproche toutes avec raison du Sacrement divin où elles s’alimentent.

    L’Église demande, en la Postcommunion, que cette fête de tous les Saints ait comme résultat de porter ses fils à les honorer toujours, pour toujours aussi bénéficier de leur crédit près de Dieu. »

  • Lyon : des commerçants de la Croix-Rousse menacent de monter un groupe d’autodéfense contre les incivilités causées par les livreurs à scooter

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

    Lyon : des commerçants de la Croix-Rousse "prêts à se défendre pour ne pas devenir le nouveau Guillotière"

    Après les quartiers de la Presqu’île, la Guillotière ou encore du 1er arrondissement de Lyon, c’est cette fois à la Croix-Rousse que s’élèvent des voix de commerçants pour dénoncer l’insécurité.

    Plusieurs gérants de commerces se sont réunis ce vendredi matin rue du Mail, en plein cœur du 4e arrondissement, pour mettre le doigt sur un problème bien précis : les livraisons à scooter qui se sont multipliées dans le secteur.

    Le tenancier d’un bistrot évoque, “depuis début juin, des aires de stationnement pleines à craquer de 11h30 à 15h puis de 18h à 2h. Le tout accompagné par le comportement inacceptable des livreurs qui s’assoient sur les voitures, jettent leurs déchets à même le sol, dégradent nos vitrines ou encore urinent partout”.

    Pire pour le boucher du coin, “les remontées de rues en sens interdit, la circulation sur les trottoirs, et les trafics de drogue liés à cette activité. Un jour il y aura un grave accident, un gamin va se faire renverser”.

    Et quand les commerçants font des remarques aux jeunes livreurs, un rapport de force est tout de suite engagé. “Mercredi, j’ai demandé à ce que les scooters ne soient pas posés contre une voiture, pour éviter de la rayer, on m’a répondu ‘nique ta mère, on va brûler ton magasin'”, explique toujours l’un des gérants les plus touchés par le phénomène.

    Certains font désormais état d’un chiffre d’affaires en baisse et menacent de “régler les problèmes par eux-même en créant un groupe d’autodéfense pour ne pas devenir le nouveau Guillotière”. Désormais “prêt à se défendre”, le collectif en colère demande l’aide de la mairie et des autorités. En plus d’une présence accrue de policiers sur le terrain, ils espèrent l’installation de caméras de vidéosurveillance. (…)

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