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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1619

  • Risques de corrections boursières, de krachs obligataires et d’actions en 2021

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2022

    Le CAC 40 a fini en net repli de 1,07 %, ce vendredi, en dessous des 6.000 points, à l’issue d’une semaine volatile, perturbée par les craintes inflationnistes et les taux d’intérêt américains à 10 ans. Les taux obligataires états-uniens, qui semblaient s’assagir, sont repartis à la hausse jusqu’à 1,74 %. L’irrationnel s’empare des esprits dans un monde instable, surendetté, qui croule sous les liquidités des banques centrales. 

    L’or surréagit à la baisse avec des cotations autour de 1.730 dollars l’once, trop sensible à la hausse nominale des taux d’intérêt, tandis que le Bitcoin spéculatif prend son envol vers des sommets à plus de 60.000 dollars, même si la camarde l’attend au bout du chemin. Selon Jean-Claude Trichet, la bulle des crypto-actifs ressemble à la célèbre bulle des tulipes néerlandaises au XVIIe siècle. Un projet de loi qui a de grandes chances d’être adopté au Parlement indien vise à interdire le négoce, le minage et la détention du Bitcoin  et de toutes les cryptomonnaies dans l’ensemble du pays. En , le minage est d’ores et déjà interdit.

    Quant à l’or, il attend, au contraire, patiemment son heure. La Pologne veut encore acquérir 100 tonnes du métal précieux, après avoir déjà doublé ses réserves. La Banque centrale polonaise pourrait supplanter la Banque d’Angleterre en termes de réserves d’or. De plus, les règles de Bâle III devaient entrer en vigueur le 28 juin 2021 : l’or physique sera alors considéré comme un actif bancaire de niveau 1. Il aura alors le même poids, dans le bilan d’une institution financière, que des espèces en euros ou des obligations souveraines d’État. Jusqu’à présent, l’or était considéré par les banques centrales comme un actif de niveau 3, ce qui signifiait une décote de 50 % par rapport à un actif de niveau 1. Les banques centrales seront donc d’autant plus intéressées à acheter de l’or physique pour le mettre en réserve dans leurs coffres.

    Aux États-Unis, la masse monétaire M2 augmente à la verticale tandis que la vitesse de circulation de la monnaie diminue tout aussi rapidement d’une façon opposée. Les sommes énormes engagées par  pour stimuler l’économie seront payées par une hausse de la fiscalité aussi bien par les entreprises (impôts sur les sociétés à 28 %) que par les particuliers (impôts sur le revenu, taxes sur les plus-values) ou par l’. La croissance, en 2021, pourrait être de 6,5 % aux États-Unis avec une inflation de 2,4 %. Le déficit budgétaire a atteint 17 % du PIB, en 2020, et la dette américaine n’est pas soutenable à long terme, si l’on ne modifie pas la trajectoire des dépenses publiques.

    En France, le coût de la crise sanitaire, en 2020, pour l’État est au minimum de 160 milliards d’euros, selon le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt. La commission Arthuis, chargée d’un rapport sur les finances publiques, nous met en garde : l’endettement de la France devrait atteindre 133 % du PIB, en 2030, et 150 % du PIB, en 2045. Une remontée des taux d’intérêt serait mortelle pour la France. 1 % de taux d’intérêt supplémentaire représentera 28,8 milliards d’euros, en 2030. 10 % de taux d’intérêt supplémentaires… les recettes totales du budget de l’État français ne suffiraient alors pas à payer, sans inflation, les seuls intérêts de la dette ! La France de Macron est un pays au bord de la banqueroute.

    À terme, une forte inflation semble donc inévitable pour rembourser la dette en monnaie de singe. La monétisation de la dette par la BCE est une première forme d’effacement de la dette. La politique budgétaire de la fuite en avant continue. Patrick Artus estime que nous sommes au tout début d’une bulle sur les actions et l’immobilier, les banques centrales n’ayant plus comme seule solution, afin d’éviter l’effondrement, que d’empêcher la baisse des actifs et donc de créer des bulles. Ray Dalio, le fondateur de Bridgewater, estime qu’il faut être stupide pour investir aujourd’hui dans des obligations ; il faut acheter des actifs tangibles. Rabobank, de son côté, prédit des augmentations de prix bibliques à venir pour les denrées alimentaires. Pour l’instant, le président de la Fed Jerome Powell ne souhaite rien faire pour éviter l’inflation ; une surchauffe à venir de l’économie américaine est donc probable.

    À terme, la Fed devra cependant essayer de maîtriser les taux afin qu’ils ne montent pas trop vite. La BCE a déjà annoncé son désir de stopper la hausse des taux obligataires en contrôlant la courbe des taux. La seule chose certaine, c’est que le pacte de stabilité de Maastricht est enterré. Une correction boursière est possible dans les semaines qui viennent, suivie d’un krach obligataire, avec ensuite un krach possible des actions à partir du mois d’août, si l’on en croit les prévisions du Forum monétaire de Genève.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
     
  • Pourquoi les Noirs ne font-ils pas de ski ? La faute au racisme systémique, selon un socoiologue

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2021

    Un professeur de sociologie a écrit un livre dans lequel il affirme que le "racisme systémique" est responsable du fait que les Noirs ne profitent pas des activités de plein air.

    Le livre affirme que les Afro-Américains sont donc privés "d'expériences esthétiques qui sont au cœur de la condition humaine."

    […]

    Dan Krymkowski, professeur de sociologie à l'université du Vermont, a écrit un livre intitulé The Color of Culture : African American Underrepresentation in the Fine Arts and Outdoor Recreation (La couleur de la culture : la sous-représentation des Afro-Américains dans les beaux-arts et les loisirs de plein air), qui soutient que "les différences socio-économiques raciales et ethniques, ainsi que la discrimination historique et contemporaine, qu'elle soit manifeste ou subtile", entraînent une sous-représentation des Afro-Américains dans certains domaines culturels.

    "Ces causes sont enracinées dans le racisme systémique qui continue de sévir aux États-Unis", explique la description du livre. "Le manque d'occasions de participer à ces formes culturelles prive les Afro-Américains d'expériences esthétiques qui sont au cœur de la condition humaine, et cela a des implications à la fois sur la santé et sur l'accumulation de capital culturel et social."

    Le service de presse officiel de l'université du Vermont, UVM Today, a fait la promotion de ce livre, publié en janvier.

    […]

    Article original : Why don't Black people ski? One prof blames systemic racism

    Traduction automatique de l’article entier

  • Jean-Luc Mélenchon : “Nos mœurs vont changer. La créolisation est l’avenir du monde !”

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2021

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1373606060599218176

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    Source : fdesouche

     
  • Les chiens, pires que les SUV pour la planète : Et s’il fallait rendre son toutou végétarien?

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2021

    Les chiens, pires que les SUV pour la planète

    Et s’il fallait rendre son toutou végétarien? L’impact environnemental de la consommation de viande des animaux de compagnie est conséquent, même si les scientifiques ne sont pas d’accord sur les chiffres

    Votre gentil toutou plus néfaste pour le climat qu’un SUV? Cette thèse iconoclaste est pour le moins contestée, mais malgré tout, des scientifiques appellent les amoureux des chiens et chats à ne pas faire l’autruche: leur animal a un impact sur la planète.

    En 2009, le livre Il est temps de manger le chien de Brenda et Robert Vale provoquait la colère des propriétaires de compagnons à quatre pattes. Sa conclusion était sans appel: l’énorme consommation de viande par un chien de taille moyenne a un impact sur la planète deux fois supérieur à celle d’un SUV conduit sur 10 000 km.

    Dix ans et plusieurs études plus tard, les scientifiques ne s’accordent pas sur l’ampleur de l’empreinte carbone des chiens et des chats, principalement liée à leur alimentation.

    www.letemps.ch via fdesouche

  • C’était un 21 mars…

    Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2021


    contre-info.

    220px-Execution_of_the_duke_d_Enghien.jpg1804 : enlevé à Ettenheim et ramené à Paris, le fils unique du dernier prince de Condé et espoir des royalistes, Antoine Henri de Bourbon, est fusillé dans les fossés de Vincennes à l’âge de 31 ans.

    Dès 1789, quelques jours après la prise de la Bastille et devant les troubles révolutionnaires, il avait, à l’âge de 17 ans, rejoint l’Armée des « émigrés » qui se formait outre-Rhin sous le commandement de son grand-père, le prince de Condé et de son père, le duc de Bourbon, pour rétablir la royauté.

    En 1804, l’Europe est apaisée mais Napoléon veut assoir son pouvoir et craint les royalistes : il décide donc de cet assassinat politique, qui scandalise l’Europe entière et fait basculer Chateaubriand dans l’opposition à l’« Usurpateur ».

    Source : contre-info