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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 174

  • Lormont (33) : un migrant afghan interpellé pour l’agression sexuelle d’un enfant néerlandais de 5 ans dans les toilettes d’une aire d’autoroute

    Publié par Guy de Laferrière le 23 août 2024


    Un migrant afghan de 27 ans a été interpellé pour agression sexuelle sur un enfant de 5 ans à Lormont, près de Bordeaux, ce jeudi vers 15h00, indique une source policière.

    Saisis pour une rixe dans les toilettes par le gérant de la station service de l’aire de Fontbelleau sur la N230, les policiers de la CRS autoroutière Aquitaine sont tombés sur un touriste hollandais qui maintenait un individu pour l’empêcher de fuir, l’accusant d’avoir touché le sexe de son fils de 5 ans qui se trouvait seul dans les sanitaires.

    Le mis en cause, en situation régulière sur le territoire national avec une attestation de dépôt de demande de carte de séjour valable jusqu’au 17 janvier 2025, inconnu au TAJ, a été placé en garde à vue.

    Amaury Brelet – Valeurs actuelles

  • Emmanuel Macron a toujours du mal avec l’histoire !

    Publié par Guy de Laferrière le 22 août 2024

    Voici quelques jours, nous célébrions le 80e anniversaire du débarquement en Provence.
    Comme il est naturel, Emmanuel Macron fit, à cette occasion un discours. Pour une fois, je dois reconnaître qu’il a montré un peu de reconnaissance envers nos aïeux, un peu de cette piété filiale qui manque si cruellement dans le monde postmoderne dont il est trop souvent une caricature. Son éloge des héros a été d’assez belle tenue.
    Mais pourquoi diable veut-il toujours se saisir des commémorations pour donner à ses contemporains des leçons de moraline, fondées sur une compréhension approximative, pour ne pas dire falsifiée, de l’histoire ? Pourquoi nous rappelle-t-il sans cesse sa haine de notre histoire ?
    C’est ainsi qu’évoquant l’armée d’Afrique, il ne peut s’empêcher de contrefaire la vérité, non pas en mentant, mais en occultant des pans entiers de l’histoire réelle.
    On chercherait en vain dans son discours le nom du général Weygand, sans lequel cette armée d’Afrique n’aurait pas pu faire grand-chose – et qui paya son patriotisme au prix fort puisqu’il ne quitta la prison où le gardaient les Allemands depuis l’invasion de la zone libre en novembre 1942 que pour être accusé de haute trahison !
    Le souvenir du débarquement en Provence devrait être l’occasion de réunir ceux qui ont servi la France en suivant le maréchal Pétain et ceux qui l’ont servie en suivant le général De Gaulle. Mais, non, Emmanuel Macron, qui pourtant prétend servir l’unité nationale, continue cette absurde guerre civile que nous ont imposée les communistes – qui devaient faire oublier leur attitude de collaboration avec l’Allemagne nazie jusqu’à l’invasion de l’Union soviétique.
    Plus étrange encore, il commet manifestement un contresens sur la signification de l’armée d’Afrique.
    D’abord, il fait mine de croire qu’elle était presqu’intégralement composée d’Africains, alors que plus de 40 % des effectifs étaient des Européens, notamment des pieds-noirs – vous savez, ceux qui, selon Macron, ont commis un « crime contre l’humanité » en Algérie !
    Il n’est pas question d’oublier le sacrifice des Africains.
    Mais l’on ne peut pas insulter à longueur de temps nos compatriotes d’Algérie française et ne les mentionner que furtivement quand nous commémorons la libération du territoire.
    Cependant, cette évocation de l’armée d’Afrique sert surtout à Jupiter pour vanter « la part d’Afrique en France ». Le sens de cette étrange expression n’est pas clair, mais le contexte laisse supposer que l’Afrique devenue non-française et même souvent anti-française aurait des droits sur nous. Mais à quel titre ? Parce que des milliers de Français sont morts, parce que des milliards ont été investis par la France, pour construire des routes, des hôpitaux, des ports dans ces pays dont la plupart n’existaient pas avant l’arrivée des Européens ?
    Peut-être cette « part d’Afrique » en nous est-elle aussi une façon de dire que la France est « terre africaine » depuis des temps immémoriaux – et que les descendants de Gaulois y sont moins légitimes que les Africains !
    Dernière remarque : le président part, en fin de discours, dans une envolée lyrique sur les « valeurs ». On se doute que la cible principale – non nommée – est Vladimir Poutine, mais, ce faisant, l’orateur condamne ce qu’il appelle en mauvais franglais le « double standard ». Se rend-il compte qu’il condamne ainsi ses propres turpitudes ? Car, enfin, qui condamnait le PiS polonais lorsqu’il révoquait certains juges et applaudit Donald Tusk qui fait la même chose ? Il existe des occasions où se taire est la meilleure option !

     

    Source : les4verites

  • TOUT CE QUI EST "RACINES" EST BON ! 

    Publié par Guy de Laferrière le 22 août 2024

    lafautearousseau

    TOUT CE QUI EST "RACINES" EST BON ! En France et dans toute l'Europe... Bravo à nos frères et amis hongrois qui ont rappelé, d'une façon "ultra-moderne", leurs racines chrétiennes ! L'Europe et la France sont chrétiennes 

     

    ET ELLES LE RESTERONT !

     

    Dans Réalité actuelle :

    "Hongrie : A Budapest, une immense croix faite de drones suspendue au-dessus du Danube pour célébrer Saint-Étienne premier roi de Hongrie."

    (extrait vidéo 0'32)

    https://x.com/ReaActuelle/status/1826051866238791743

     

    Hongrie : une grande croix de drones pour la saint Étienne

     

  • Après le covid, voilà la variole du singe, la nouvelle peur sanitaire

    Publié par Guy de Laferrière le 21 août 2024

    La variole du singe, après le Covid, c’est un autre virus, et une nouvelle peur sanitaire, qui prouvera notre « infantilisme irrécupérable ».

    Nous y sommes, c’est maintenant le tour de la variole du singe. Déjà vers la fin de la malheureuse « ère Covid », on en parlait, maintenant la question revient sur le devant de la scène, même si nous ne l’espérons pas.

    Variole du singe, premières alarmes du « nouveau Covid »

    Ton sarcastique et critiques utiles, le journaliste italien Stelio Fergola a pondu un article qui vaut la lecture. L’infantilisme d’une génération d’adultes dont l’intelligence n’est plus en péril de mort mais bel et bien morte y est décortiqué avec une pointe de sévérité et de tristesse :

    « Il y a « jusqu’à » 1 157 infections par la variole du singe. Et « enfin » deux morts. Ce qui génère évidemment des « alarmes » dans le monde tordu du 21e siècle, dans lequel nous ne comprenons même pas ce que signifie combattre et où une pandémie ou une présumée telle qui a touché de très faibles pourcentages de la population mondiale est appelée « guerre ». Évidemment, la « pandémie » était celle du Covid, mais maintenant nous devons nous concentrer sur la variole, car ces deux décès (et ceux qui surviendront dans le futur) seront ou pourraient être un prétexte pour ne même pas échanger le signe de paix dans l’Église, peut-être encore par une partie de ceux qui croient au corps du Christ, à la vie éternelle après la mort, à l’avènement de Notre-Seigneur il y a plus de deux mille ans. Ou du moins, qui dit y croire. De toute évidence, les catholiques et les chrétiens en général ne sont qu’une partie du cirque sans fin qui pourrait se dérouler. Un cirque contre la grâce, qu’elle soit de Dieu ou non, contre l’être humain et son essence même. Cela n’arrive pas forcément, évidemment, mais on ne peut s’empêcher de s’alarmer d’avance. Dans l’attente d’observer des données plus cohérentes qui ne nous racontent pas une énième fois la prétention folle et enfantine de cette société de ne jamais mourir. Pas rarement, ni sporadiquement, mais absolument jamais. Zéro contagion ni mort, mais faire semblant d’être vivant. Et qui sait si ce ne sera pas encore ainsi.

    Une société d’enfants attachés à l’immortalité terrestre

    « Le mot « terrestre » pourrait engendrer les malentendus habituels qu’il convient d’éclaircir immédiatement. Ce n’est pas une question religieuse : il y a ceux qui croient en Dieu et ceux qui n’y croient pas. C’est une banalité, mais il faut le souligner car nous vivons à une époque où des questions évidentes sont discutées en détail comme s’il s’agissait de traités de physique thermonucléaire. Après tout, nous vivons une époque où même les organes sexuels élémentaires deviennent l’objet de débats embarrassants et paradoxaux. D’où le recours évident aux « moyens évidents » pour poursuivre notre discussion.

    « Nous vivons dans un monde, dans une société où les hommes ne réalisent pas qu’ils sont mortels. Au moins consciemment, il est évident qu’ils ne peuvent pas répondre autrement à une question « directe ». Un univers paradoxal d’enfants éternels – élément que j’ai souligné à plusieurs reprises par le passé – encore incapables de devenir des hommes au-delà de quarante ans. Quelqu’un, comme Emanuele Ricucci dans son texte du même nom Revenons aux hommes, l’a souligné de manière détaillée. Le soussigné a beaucoup apprécié la définition de « l’infantilisme » dans diverses déclinaisons – dont celle idéologique – mais force est de constater qu’il s’agit ici de la vie quotidienne. D’être humain, mais aussi mature. Et la maturité – la bonne – consiste à comprendre que nous périssons et qu’il ne sert à rien de frapper du pied. Nous nous incinérons et disparaissons, pour diverses raisons. À cause d’une vieillesse très naturelle, à cause d’un accident, à cause d’une maladie mortelle.

    « Nous ne savons pas si la variole du singe suivra le chemin très triste et douloureux de cet exemple de misère qu’on appelle « Covid ». Nous ne savons pas si des illusions comparables suivront. Cependant, nous sommes certains des prémisses, c’est-à-dire des prémisses débilitantes des communautés modernes mentionnées ci-dessus, parmi lesquelles malheureusement aussi la communauté italienne. Les mêmes qui, pour un peu plus d’un millier de personnes infectées et deux – au nombre de deux – décès, pourraient nous conduire à une énième poursuite inutile de la « maladie zéro », au mépris du sacro-saint droit à la vie (la vraie, certainement pas cette caricature bon marché) et à tous les risques – même minimes – que cela comporte. Les mêmes dans lesquelles même les « croyants » (strictement entre guillemets et parlant oui, dans ce cas, d’un groupe de personnes qui devraient croire en Dieu) ont refusé pendant deux ans d’utiliser le bénitier dans l’église pour ne pas alimenter la contagion. Quelque chose qui doit faire se retourner Jésus-Christ dans les cieux d’une manière qui n’est pas sans rappeler celle avec laquelle Il observe les misères d’un pauvre pécheur comme moi. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info