Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

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Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
C’est le triomphe d’un oxymore contemporain : celui de la «prison en milieu ouvert». Selon une étude de l’Institut pour la Justice, transmise en exclusivité au Figaro, l’industrialisation des aménagements de peine de prison ferme atteint des niveaux inédits, suscitant l’incompréhension d’une société en recherche de fermeté judiciaire.
À partir des chiffres des condamnations et des incarcérations de 2016 à 2020 issus du ministère de la Justice, l’association conservatrice a abouti à un chiffre clé : seulement 59 % des condamnés à une peine de prison ferme mettraient réellement les pieds en prison. Pour arriver à ce pourcentage, l’Institut a comparé les peines avec les entrées effectives en détention. Un calcul forcément approximatif, car ne prenant pas en compte les détentions provisoires, les différés d’application… Mais qui, sur plusieurs années, donne un vrai indice de l’effectivité réelle de la prison ferme en France. Contactée, la chancellerie ne se montre pas surprise par ce pourcentage, qu’elle juge «cohérent» : «cela correspond à la part d’aménagement de peine, qui regroupe la semi-liberté, les placements extérieurs ou l’usage du bracelet électronique, apparu en 1997 sous Chirac et Jospin, et qui a connu son essor sous Nicolas Sarkozy», retrace-t-elle, reconnaissant une augmentation continue de ces alternatives depuis vingt ans.
[…]L’IPJ souligne que le système est en opposition avec la société : en juillet dernier, un sondage avançait que les Français sont 65% à estimer que les juges ne sont «pas assez sévères» . Le public, s’il ne suit pas l’application des peines dans chaque dossier, voit en effet se multiplier les faits divers impliquant des multirécidivistes souvent sortis bien avant terme de leur incarcération. La note cite ainsi un procureur qui remarquait au sujet d’une personne ayant renversé et gravement blessé une douanière : «cinq bracelets électroniques, un sursis libre, une libération conditionnelle, autant d’aménagements qui ont pour but la réinsertion […] et voilà le résultat : une douanière qui aurait pu être tuée !». Un «sentiment d’inapplication» sur lequel l’IPJ met enfin un chiffre.
[…]Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
Environ 800 millions de personnes dans le monde souhaitent migrer vers des foyers et des emplois en Amérique ou en Europe, selon un sondage Gallup annoncé le 31 janvier.
“En 2021, 16% des adultes dans le monde – ce qui correspond à près de 900 millions de personnes – ont déclaré qu’ils aimeraient quitter leur propre pays de façon permanente”, a rapporté Gallup.
“Un peu moins d’un migrant potentiel sur cinq (18 %) – soit environ 160 millions d’adultes dans le monde – a désigné les États-Unis comme sa future résidence souhaitée”, précise le rapport. Cet afflux ajouterait un migrant pour chaque employé aux États-Unis.
Leur migration ferait grimper les profits des investisseurs, mais elle entraînerait également une baisse des salaires et une hausse des coûts de logement pour des centaines de millions d’Américains et d’Européens. Cet énorme transfert de richesse rendrait également beaucoup plus difficile pour les familles américaines et européennes d’acheter des maisons et d’avoir des enfants.
Les 16 % voulant migrer n’étaient que 12 % – soit 750 millions – en 2018.
Les nouveaux chiffres sont basés sur des entretiens de 2021 avec près de 127 000 adultes dans 122 pays, a indiqué Gallup.
Selon le sondage Gallup, c’est en Afrique australe et dans les pays situés au sud du Mexique que l’on trouve la plus forte proportion de candidats à l’immigration.
[…]Les populations jeunes de ces pays pauvres connaissent une croissance rapide, ce qui augmentera probablement le nombre de candidats à l’immigration au cours des prochaines années.
Par exemple, environ 40 % des habitants de l’Afrique subsaharienne sont âgés de 0 à 14 ans, selon Statista.com.
[…]Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
La direction de BFMTV a lancé une enquête interne pour comprendre l’origine de contenus diffusés par la chaîne dans des circonstances troubles. Au moins l’un porte sur le Maroc, a appris POLITICO de multiples sources internes. Une dizaine de contenus suspects ont été identifiés. Selon une source au fait de l’enquête, la direction s’interrogerait aussi sur l’influence d’autres Etats.
Plus précisément, des images et propos n’ayant pas suivi les circuits de validation habituels ont été diffusés pendant l’émission Le journal de la nuit, un journal télévisé diffusé à partir de minuit, laissant soupçonner une ou plusieurs opérations d’influence dont l’origine n’a pas été officiellement identifiée, selon une dizaine de sources internes informées de l’audit. Des auditions ont notamment été lancées auprès des collègues du présentateur Rachid M’Barki, qui n’est plus apparu à l’antenne depuis la mi-janvier.
“Une enquête interne a été ouverte il y a deux semaines suite à des informations reçues concernant un journaliste de notre chaîne”, a confirmé auprès de POLITICO Hervé Beroud, directeur général délégué d’Altice média, la maison mère de BFMTV. “Ce journaliste est en dispense d’activité depuis le début de cette enquête et pour tout le temps de cette enquête. BFM est probablement victime dans cette affaire et nous ne pouvons tolérer aucune suspicion sur le travail de l’ensemble de notre rédaction et de nos 300 journalistes”, a-t-il déclaré.
[…]Plusieurs membres de la rédaction ont en tête la diffusion d’un reportage présenté par Rachid M’Barki, à propos du forum économique de Dakhla, une ville du sud du Maroc où se sont réunis des investisseurs espagnols en juin 2022.
Sur fond d’images promotionnelles de l’événement, le présentateur y fait référence au “réchauffement des relations diplomatiques” entre l’Espagne et le Maroc, facilité, dit-il, par la “reconnaissance espagnole du Sahara marocain”. Une expression inhabituelle dans les médias français pour faire référence à la situation du Sahara occidental, au cœur d’une grave crise diplomatique entre le Maroc et l’Algérie. Le Maroc fait pression sur la France pour qu’elle sorte de la position de neutralité qu’elle a jusqu’ici préféré adopter sur la question.
En juillet 2019, Rachid M’Barki, invité à une célébration du 20e anniversaire de l’accession au trône du roi du Maroc, parlait de ses liens avec le pays dans un entretien vidéo mis en ligne par le média marocain Le 360, considéré comme proche du pouvoir.
Interrogé sur sa participation à un rapprochement “à travers des ONG” entre la France et le Maroc, le journaliste affirmait vouloir “rester très discret là-dessus”, ajoutant : “J’essaye d’agir à ma manière à mon petit niveau pour faire briller le Maroc.”
Il était alors déjà présentateur à BFMTV et un visage familier de l’antenne.
[…]Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023
Parce que la sécurité est la première des libertés, le Parti de la France s'engage à la rétablir sur tout le territoire. Pour cela, consignes et moyens supplémentaires seront donnés aux forces de l'ordre pour neutraliser la racaille qui pourrit la vie des Français. La peur changera de camp !