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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 500

  • Le défi de la conservation de l’échelon communal et de la préservation de nos églises

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023

    Ce mardi 14 mars 2023 soir, j’ai participé au conseil municipal  de mon petit village de 383 habitants en tant que membre de droit.

    A chaque fois, nous prenons des délibérations que je qualifie d’« inutiles » car les dés sont déjà joués ou pipés. L’Etat, avec les différentes lois de décentralisation ou autres, déconstruit les communes, seul échelon proche des habitants. Déshumaniser, centraliser localement avec des barons appliquant les principes libéraux de la franc-maçonnerie, diviser, désorganiser, appauvrir, telles sont les actions en cours pour démonter le niveau communal. Seules les grandes métropoles des « copains » ont englouti les communes limitrophes pour limiter leurs actions. L’intercommunalité en campagne demande aux différents conseils municipaux de valider leurs propres pertes de pouvoir au profit d’un « machin » de 44 communes où les plus importantes font la pluie et le beau temps et laissent des miettes aux petites, approfondissant le fossé pour mieux enterrer les communes rurales. Pertes de compétences de la gestion de l’eau et de l’assainissement, d’une partie de la voirie, des transports scolaires, des décisions concernant le plan local d’urbanisme (PLU) ou carte communale au profit du PLUI (PLU + intercommunal) sont les quelques points majeurs qui quittent le giron de la commune en ce moment. Et que reste- t-il ? Comme disait, de manière un peu crue et plein de bon sens paysan, un conseiller durant la réunion : « les emm..des ».

    Par ailleurs, nous avons abordé un autre point d’achoppement, l’entretien lourd de l’église du village, qui nécessite la réfection de la toiture, un financement important.

    Voyant qu’elle ne « sert pratiquement plus à rien », une conseillère déclame : « pourquoi la conserver, pourquoi ne pas l’utiliser à autre chose, une bibliothèque par exemple, pourquoi conserver  le clocher qui coûte trop cher à entretenir (il faut à chaque fois louer une nacelle à 10 000€ la période), pourquoi ne pas mettre un toit en bacs aciers (moins chers) et des panneaux photovoltaïques dessus, au moins cela rapporterait ? Voilà le genre de questions ahurissantes qui ont été posées par des gens n’ayant plus la foi, complètement laïcisé par l’ambiance actuelle et qui sont pourtant des enracinés !

    Il a fallu que je me batte pour la troisième fois afin de faire entretenir les portes de l’église (ça y est, c’est pris en compte), que je m’insurge contre ces affirmations péremptoires et blasphématoires car dans le village, hormis l’église, il n’y a rien de marquant, de joli, de majestueux. C’est tout simplement le centre du village, le cœur, notre, votre, patrimoine que JE DEFENDS ! 

    Alors, je vous enjoins de vous présenter en 2026 sur les listes électorales de vos petits villages et petites villes pour préserver le peu de bien commun de vos administrés qui reste, sinon, tout va disparaître avec les acariâtres de service.

    Vous pouvez influer dans le conseil, parler d’une voix sûre et forte (vous avez autant la parole que les autres), les secouer, même s’ils sont tous athés, ce qui est mon cas. Et certains par la nostalgie de leurs aïeux, par la crainte de mal finir, vont quand même vous suivre pour entretenir l’église ou la chapelle.

    Aussi, pour ma part, je vais prendre proposer de m’occuper du dossier de la réfection du toit de l’église de notre village pour leur montrer que l’on peut faire quelque chose de beau pour le bien commun, pour préserver l’identité du pays, pour remettre Dieu au centre du village avec un bel édifice qui se nomme église. Il faut aussi leur faire remarquer que leurs aïeux l’ont souvent financée avant 1905 et qu’ils la regardent toujours de leur tombe du cimetière qui n’est pas si loin. Ils en sont donc redevables.

    Anatole Castagne, conseiller municipal de son petit village

     

    Source : medias-presse.info

  • OQTF : plus aucun Algérien ne pourra être expulsé depuis la France

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023

    OQTF : plus aucun Algérien ne pourra être expulsé depuis la France

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    Les laissez-passer consulaires sont ces documents indispensables à l’expulsion des clandestins. Émis par les consulats des pays d’origine des illégaux, ils conditionnent le retour effectif des personnes faisant notamment l’objet d’une obligation de quitter le territoire français – les fameuses OQTF.

    L’Algérie ne délivre plus aucun laissez-passer à la France depuis près d’un mois.

     

    Source : lesalonbeige

  • Callac : Viltaïs traite comme du bétail dix Soudanais imposés à la population

    Publié par Guy de Laferrière le 16 mars 2023

    Bernard Germain 

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    Le 11 janvier 2023, suite à notre action contre le projet Horizon (notamment grâce à l’association « Les Amis de Callac et ses environs »), le maire annonçait l’abandon du projet Horizon qui prévoyait l’arrivée de 70 familles immigrées, dans ce bourg de 2200 habitants.

    Dans notre communiqué annonçant notre victoire nous écrivions :

    « Pour l’instant, Callac est sauvé. A moins que le Préfet ne s’entête et veuille imposer avec Viltaïs ce qui a été évité avec la fondation MERCI et son projet horizon.

    Le plus sage serait que le Préfet en reste là et que Callac retrouve son calme.

    Mais s’il entend continuer, nous reprendrons la mobilisation et il nous trouvera sur sa route.

    L’avenir nous dira rapidement à quoi nous en tenir... »

    Malheureusement nos paroles n’ont pas été entendues par le préfet, et l’association Viltaïs continue à agir à Callac pour l’arrivée de migrants avec la complicité de la municipalité.

    Certes, ces arrivées sont très réduites mais elles méritent toute notre attention.

    En début de semaine, une famille soudanaise est arrivée à Callac, amenée par Viltaïs.

    Cette famille est composée d’un couple et de 8 enfants, soit 10 personnes.

    La femme est enceinte et le mari semble être malade. Ils ne parlent pas français.

    Ce qui est incroyable, c’est les conditions d’installation que Viltaïs a réservées à cette famille.

    Des matelas à même le sol du logement, un peu d’argent … et c’est tout.

    Danielle Le Men, présidente de l’association des Amis de Callac dénonce : 

    « Viltaïs propose l’asile à des migrants mais n’est même pas capable d’accueillir ces réfugiés dans des conditions décentes. Actuellement, ils sont traités comme du bétail. » 

    Faut-il rappeler que Viltaïs a touché 2,5 millions d’€ au titre de 2022, payés en 2023, pour financer son action à Callac ?

    Cet argent reçu par Viltaïs, ce sont des subventions, c’est à dire nos impôts !

    Ils prétendent faire de l’humanitaire, mais en fait se comportent comme des négriers.

    On croit rêver, 2,5 millions de subvention pour fournir quelques matelas à même le sol et un peu d’argent liquide. Ces gens n’ont aucune honte.

    Je rappelle mon article, publié par Riposte Laïque « Le « business » pourri des associations à migrants » publié le 16 février 2023, dans lequel je dénonçais notamment l’association Viltaïs qui d’ailleurs a été épinglée par un rapport de la Cour des Comptes de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour sa gestion très « limite ».

    Callac vient de nous en fournir un nouvel exemple consternant.

    La situation est tellement honteuse et scandaleuse que la mairie de Callac, très gênée par cette situation alors qu’elle soutient l’arrivée de migrants avec Viltaïs, a mandaté le Secours Populaire local pour intervenir et venir en aide à cette famille totalement abandonnée.

    Mais là aussi, le Secours Populaire ne peut vivre et agir que grâce aux subventions perçues, notamment dans le cas d’espèce grâce aux versements de la Mairie de Callac donc avec l’argent des callacois.

    Au final, aucun callacois n’a demandé de faire venir ces pauvres gens. Ils ont même clairement dit qu’ils étaient contre cette immigration qui leur est imposée.

    Pourtant les pro-immigration, notamment parmi les élus municipaux, continuent d’en faire venir via Viltaïs, malgré le rejet du projet Horizon.

    Que va-t-il falloir pour que les élus du conseil municipal de Callac comprennent que les callacois ne veulent pas de ces arrivées d’immigrés ? Que ce soit avec Horizon ou Viltaïs.

    Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que Viltaïs est une association qui « fait de l’argent » grâce aux migrants mais les traite comme du bétail 

    Que va-t-il falloir pour que les élus municipaux de Callac comprennent que depuis les passeurs jusqu’aux associations de terrain telle Viltaïs, il y a toute une chaîne d’intervenants pour lesquels l’immigration n’est qu’un business comme les autres dont l’objet est simplement de gagner de l’argent sur la misère du monde, tout en prétendant défendre de grands principes généreux ?

    Dans le réel, on est très loin des sentiments « généreux » invoqués pour nous faire la morale et culpabiliser et dénoncer comme « fasciste » ou « extrême-droite » quiconque ose s’élever contre cette politique immigrationniste qui va indiscutablement aboutir à détruire la France, sa culture et son identité en la noyant dans une population de plus en plus nombreuse mais qui malheureusement n’a, pour l’essentiel, nullement l’intention de s’assimiler et de vivre en bonne intelligence avec les populations locales.

    Ce triste exemple, qui vient de se produire à Callac, ne fait que nous rappeler que tous les bien pensants sont totalement prisonniers de leur idéologie immigrationniste et n’arrivent même pas à tirer les leçons des évènements qu’ils ont pourtant sous les yeux.

    A l’inverse, ces évènements sont pour nous la confirmation de la justesse de notre combat.

     

    Source : synthesenationale

  • La Chapelle (03). Trois gendarmes grièvement blessés au cours d’une intervention durant laquelle le suspect “très défavorablement connu de la police” est décédé

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

    Trois gendarmes ont été grièvement blessés et un homme qu’ils étaient venus interpeller est décédé dans l’explosion d’une maison mercredi à La Chapelle (Allier).

    “Les gendarmes entrent dans la maison peu avant 13H00 mercredi pour procéder à l’interpellation et pour une raison indéterminée, une explosion se produit”, selon lui.

    Deux gendarmes ont été évacués par hélicoptères vers le centre hospitalier de Lyon spécialisé dans les grands brûlés. Le troisième gendarme, plus légèrement atteint, a été transporté vers le centre hospitalier de Clermont-Ferrand.

    L’homme, âgé de 38 ans, était “très défavorablement connu des services de police”, a poursuivi le procureur. Il devait être interpellé pour des menaces et outrages au personnel pénitentiaire, car il était sous régime probatoire.

    Nice Matin via fdesouche

  • Insécurité

    Publié par Guy de Laferrière le 15 mars 2023

    Voici quelques jours, les religieuses de la Fraternité apostolique bénédictine ont annoncé leur départ de la paroisse Notre-Dame, au centre-ville de Nantes.

    Leur départ est lié à une insécurité croissante et galopante.

    Les religieuses précisent : « Nous ne sommes pas des “franciscains du Bronx” et nous ne sommes pas censées être des agents de sécurité, bien que nous ayons pris quelques leçons d’“autodéfense”. »

    Elles ont été insultées. Des énergumènes leur ont même craché dessus. Elles croisaient régulièrement dans l’église des personnes en état d’ébriété avancée, quand ce n’était pas une odeur de cannabis qui flottait dans l’air en lieu et place de celle de l’encens.

    Ce n’était pas dans le Bronx ou à Mogadiscio, pas même dans le 9-3, mais bien dans le centre-ville de Nantes.

    Et ce n’était pas une lutte entre gangs, mais la petite délinquance qui pourrit la vie des honnêtes gens.

    Naturellement, ni l’État, ni la municipalité socialo-écolo-communiste de Nantes ne sont responsables de rien : c’est la faute à pas de chance !

    Mais la réalité est qu’en France, des religieuses sont obligées par l’ensauvagement à quitter leur paroisse.

    Non, cette France-là n’est déjà plus la France !

    Il faut dire et redire qu’il n’existe pas 36 solutions pour lutter contre cette insécurité : il faut appliquer la « tolérance zéro », mille fois évoquée (et appliquée quand la « cible » est un automobiliste conduisant 2 km/h au-dessus de la limite de vitesse), mais jamais appliquée lorsqu’il s’agit de véritables délinquants.

    Il ne faut pas s’étonner qu’une ville où les tags sont considérés comme de « l’art urbain » devienne rapidement crasseuse et accueille tous les drogués des environs – avec ce que cela entraîne de trafic et finalement de violence.

    Si toute personne prise sur le fait en train de faire un graffiti devait payer instantanément une amende, nos rues seraient propres.

    Et, si nos rues étaient bien tenues, elles seraient moins violentes. Voilà ce que la gauche laxiste refuse d’entendre.

    Naturellement, il faudrait aussi stopper l’invasion migratoire : les millions d’immigrés inassimilés, indifférents à notre patrimoine, et traînant dans les rues ne peuvent, en effet, qu’être évidemment un facteur aggravant de cette « délinquance du quotidien ».

    Autant lutter contre le terrorisme demande de sérieux moyens, autant la lutte contre cette insécurité « de base » ne demande qu’une chose : du courage – mais c’est une denrée fort rare chez les politiciens.