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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 604

  • En pleine tourmente judiciaire, la directrice communication de McKinsey s’apprête à « prendre la fuite »

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

     

    En pleine tourmente judiciaire, la Dircom (directrice de communication) de McKinsey s’apprête à quitter son poste à la fin de l’année. Cette information a été révélée ce 14 décembre, date à laquelle une perquisition a été menée au siège parisien du cabinet de conseil américain visé par une enquête du PNF (Parquet national financier).

    Les rats s’apprêtent-ils à quitter le navire ? Cette question se pose au moment où l’étau se resserre autour du cabinet de conseil McKinsey et de ses relations très suspectes avec le gouvernement français. Et c’est dans ce contexte houleux qu’un poids lourd du cabinet de conseil américain va quitter son poste à la fin de l’année.

    Cette personnalité n’est autre que Charlotte Pasternak, nommée directrice de la communication du cabinet McKinsey en France en mai 2021. D’après le média Consultor spécialisé en cabinets de conseil, Pasternak a tout simplement décidé de quitter ses fonctions.

    « Charlotte Pasternak, une ancienne de Danone (dont McKinsey est un consultant de choix) et du PMU (dont la DG est également une ancienne du cabinet), arrivée aux fonctions de directrice de la communication de McKinsey en France en mai 2021, quittera ses fonctions à la fin de l’année, a appris Consultor. Elle a eu à gérer une des plus importantes crises de réputation de l’histoire de la firme depuis qu’elle s’est implantée dans l’Hexagone en… 1964 », révèle la source.

    Et Consultor d’ajouter : « ainsi, encore tout récemment, apprenait-on que Charlotte Pasternak avait initié un appel d’offres pour protéger sa réputation ». En effet, il y a moins d’un mois, le média d’investigation Lettre A révélait que le cabinet de conseil américain avait lancé un appel d’offres pour nettoyer sa réputation.

    « Le numéro un mondial du conseil, McKinsey, a lancé un marché début novembre pour améliorer son image, en réaction à la divulgation de son recours à l’optimisation fiscale. Plusieurs agences planchent sur l’e-réputation de la marque, qui affronte une nouvelle tempête judiciaire sur le financement de la campagne d’Emmanuel Macron », nous a appris Lettre A le 25 novembre dernier.

    Il faut dire que cette tentative de redorer son image intervient dans un contexte extrêmement difficile pour la multinationale américaine secouée par de nombreux scandales en France, aux États-Unis mais aussi dans d’autres pays du monde, tels que l’Afrique du Sud.

    En France, le cabinet est accusé de favoritisme et d’avoir touché plusieurs millions d’euros de l’État français qui n’a cessé de recourir à ses services. D’ailleurs, en novembre dernier, il a été révélé que l’État français a dépensé 28 millions en cabinets de conseil lors de la pandémie et de cette somme, 6,7 millions sont allés tout droit dans les poches de McKinsey.

    C’est du moins ce que nous a appris le média Marianne. En effet, d’après cette source qui cite un rapport du sénat français, 28 millions d’euros ont été dépensés en cabinets de conseil lors de la pandémie à Coronavirus. La source précise que l’information est apparue dans le rapport « Santé » du Budget de l’État et a été confirmée par la députée Véronique Louwagie.

    Les cabinets ayant bénéficié de cette immense ont été cités. Il s’agit de : Citwell Consulting, Accenture, CGI (comprenant sa filiale française CGI France) et McKinsey, qui travaillait avec sa société Orphoz. Et les dépenses ont connu une hause vertigineuse lors de la période allant de mars 2021 à mai 2022.

    « En novembre 2021, Véronique Louwagie avait évalué à 11,2 millions d’euros, le montant de la première facture liée au recours aux consultants entre mars 2020 et février 2021. Au total, ce sont ainsi 28,6 millions d’euros qui ont été dépensés par l’exécutif auprès de cabinets privés pour gérer la crise sanitaire », renseigne la source. Et sans surprise ! Le cabinet américain McKinsey a touché le jackpot en empochant 6,7 millions d’euros pour trois missions réalisées entre mars et août 2021.

    « Le cabinet de conseil américain, champion de l’évasion fiscale, était notamment venu en appui de la task force de vaccination du ministère de la Santé. Pour compléter le podium : Accenture a remporté 19 appels d’offres, pour un montant global de 5,3 millions d’euros, suivi juste derrière de la société Citwell, qui a empoché 3 millions d’euros. Cette dernière avait été appelée en renfort, d’avril à juillet 2021, pour l’accompagnement logistique et la distribution des vaccins contre le Covid-19 », détaille le rapport.

    Le départ de Charlotte Pasternak est certainement dû à la crise qui secoue le cabinet de conseil sous le feu des critiques depuis le début de la pandémie. D’ailleurs, ce 14 décembre, son siège parisien a été perquisitionné par la justice française qui mène une enquête sur ses liens avec la campagne présidentielle de Macron en 2017.

    source : Le Courrier du Soir

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

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  • Zelensky annonce qu’il envisage de rejoindre le Forum économique mondial de Davos, de signer de nouveaux prêts d’après-guerre avec BlackRock

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

     

    « Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », indique le post.

    Mercredi, il a été révélé que le gouvernement du président ukrainien Volodymyr Zelensky se prépare à participer au Forum économique mondial (FEM) de Davos en janvier, et que le dirigeant ukrainien est en pourparlers avec Larry Fink, PDG de BlackRock, concernant les efforts de reconstruction après la guerre avec la Russie.

    Selon Bloomberg, M. Zelensky a déclaré lors d’un discours à la nation en soirée : « Les spécialistes de cette société aident déjà l’Ukraine à structurer le fonds pour la reconstruction de notre État. »

    Zelensky aurait eu un appel vidéo avec Fink en septembre. Il n’a pas révélé s’il assisterait au FEM en personne ou virtuellement.

    Selon un message publié mercredi sur le site officiel du président ukrainien, M. Zelensky a déclaré : « Conformément aux accords préliminaires conclus au début de l’année entre le chef de l’État et Larry Fink, l’équipe de BlackRock travaille depuis plusieurs mois sur un projet visant à conseiller le gouvernement ukrainien sur la manière de structurer les fonds de reconstruction du pays. »

    « Volodymyr Zelenskyy et Larry Fink ont convenu de se concentrer à court terme sur la coordination des efforts de tous les investisseurs et participants potentiels à la reconstruction de notre pays, en canalisant les investissements vers les secteurs les plus pertinents et les plus impactants de l’économie ukrainienne », ajoute le post.

    « Au cours de la conversation, il a été souligné que certains dirigeants de BlackRock prévoient de se rendre en Ukraine au cours de la nouvelle année », poursuit le post. « Le président a remercié Larry Fink pour le travail de l’équipe professionnelle que BlackRock a chargée de conseiller sur la structuration des projets de reconstruction. »

    Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche

  • Ukraine et accords de Minsk : après les aveux de duplicité de Merkel, ceux de Hollande

    Publié par Guy de Laferrière le 01 janvier 2023

    Auteur : 

    Les accords de Minsk n’auraient été qu’une vaste opération télécommandée par les Etats-Unis pour « donner du temps à l’Ukraine » et non un véritable accord en vue de la paix, c’est ce qu’a laissé entendre Angela Merkel il y a quelques semaines, et ce qu’est venu corroborer François Hollande.

     

     

    Les accords de Minsk,  « donner du temps » à Kiev

    Lors de la signature des Accords de Minsk en 2014, médiés par la France et l’Allemagne, convenus entre l’Ukraine et la Russie et acceptés par les États-Unis et les Nations Unies, la chancelière allemande et le président français de l’époque étaient désignés comme les garants de leur application. Une application qui, si l’on en croit les aveux de l’ancien chef d’Etat allemand du 10 décembre dernier, n’était pas envisagée à long terme, le véritable objectif révélé par Merkel étant de « donner du temps » à Kiev.

    Le 28 décembre dernier, François Hollande a soutenu auprès The Kyiv Independent que la version d’Angela Merkel est la bonne : « Oui, Angela Merkel a raison sur ce point », les protocoles de Minsk ont donné à l’Ukraine un temps précieux afin de se renforcer militairement en vue d’une confrontation future avec Moscou.

    « Depuis 2014, continue Hollande, l’Ukraine a renforcé sa posture militaire. En effet, l’armée ukrainienne était complètement différente de celle de 2014. Elle était mieux entraînée et équipée. C’est le mérite des accords de Minsk d’avoir donné cette chance à l’armée ukrainienne. »

     « Selon Hollande, est-il écrit dans le journal ukrainien, les réunions au format Normandie, lancées en juin 2014 et comprenant les dirigeants de la France, de l’Allemagne, de l’Ukraine et de la Russie, ont donné à l’Ukraine du temps pour se préparer, tandis que les accords de Minsk qui ont suivi ont tenté de pousser Poutine vers une voie diplomatique. »

    Les accords de Minsk « qui peuvent être ressuscités pour établir un cadre juridique déjà accepté par toutes les parties »

    Concluant son entretien, François Hollande suggère que la guerre peut se terminer par des négociations ayant comme base les accords de Minsk « qui peuvent être ressuscités pour établir un cadre juridique déjà accepté par toutes les parties ».

    Ces propos dénotent soit une grande naïveté soit un profond orgueil chez l’ancien président de la République française. Pense-t-il réellement que Vladimir Poutine, qui a souligné la tromperie manifeste de l’occident, va considérer les accords de Minsk comme une base solide ? Le dirigeant russe a pourtant prévenu, après les aveux de duplicité d’Angela Merkel, que trouver un terrain de négociation sera difficile à l’avenir :

    « La confiance est presque inexistante, mais après de telles déclarations, une question de confiance se pose : comment négocier, sur quoi, et s’il est possible de négocier avec quelqu’un, et quelles sont les garanties ? ».

    Les confidences des deux anciens chefs d’Etat sont loin d’aider à une solution diplomatique, tout au contraire elles créent du côté russe un juste sentiment de défiance vis-à-vis de la partie occidentale.  

    L’année 2022 se clôt, mais la guerre en Europe n’est pas près de prendre fin, en ce début de nouvelle année 2023. Les   

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info