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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 66

  • Algérie : Trente élus français de gauche et du centre vont participer à une cérémonie officielle

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025


    Selon Le Figaro, une délégation d’environ trente élus français – principalement de la gauche (PS, écologistes, communistes), de l’extrême gauche (ex-LFI) et du centre (centristes, radicaux, ex-Renaissance) – se rendra en Algérie à l’occasion des 80 ans des massacres du 8 mai 1945. Une cérémonie est prévue à Alger le jeudi 8 mai, suivie d’une visite à Sétif le samedi 10 mai.

    Parmi les participants :

    • Laurent Lhardit (PS), président du groupe d’amitié France-Algérie ;
    • Fatiha Keloua Hachi (PS), présidente de la commission des affaires culturelles ;
    • Danielle Simonnet (ex-LFI, aujourd’hui chez les écologistes) ;
    • Stéphane Peu (PCF), président du groupe communiste à l’Assemblée ;
    • Belkhir Belhaddad (ex-Renaissance, non-inscrit) ;
    • Raphaël Daubet (centriste, Lot) ;
    • Sophie Briante Guillemont (centristes, Français de l’étranger) ;
    • Ahmed Laouedj (radical, Seine-Saint-Denis) ;
    • Adel Ziane (PS, Seine-Saint-Denis) ;
    • Akli Mellouli (divers gauche, binational) ;
    • Sabrina Sebaihi et Karim Ben Cheikh (écologistes).

    Ils sont accompagnés d’une vingtaine d’élus, dont plusieurs membres du Cercle Émir Abdelkader, comme son président Rafik Temghari (élu de Rueil-Malmaison).

    Cette commémoration concerne la répression des manifestations indépendantistes à Sétif, Guelma et Kherrata par les forces coloniales françaises le 8 mai 1945. Le bilan humain reste controversé : environ 1 500 à 20 000 morts selon les sources françaises, et jusqu’à 45 000 selon les autorités algériennes.

    Malgré une crise diplomatique aiguë – marquée par l’expulsion mutuelle de douze agents diplomatiques – cette visite est interprétée à Alger comme « un signal positif fort » : « On les laisse venir alors même que le Conseil de la Nation a rompu ses relations avec le Sénat français », déclare une source algérienne.

    De son côté, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot reste ferme : « À ce stade la situation est bloquée et c’est la responsabilité des autorités algériennes. »

  • Le Ministère de l’Intérieur illustre une campagne contre les « rodéos urbains » avec un Blanc lambda

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2025

    Le Ministère de l’Intérieur (et ce n’est pas le seul :  RATP, SNCF, ministères en tous genres sont coutumiers du fait) s’acharne à désigner les Français moyens dans des campagnes qui dénoncent des comportements dont ils ne sont quasiment jamais responsables, mais qu’ils subissent de la part d’étrangers…

    Cette fois, c’est à l’occasion d’une communication contre les « rodéos urbains » :

    en vrai :

    extrait d’un clip de rap



    Source : contre-info
  • Enfin ! Gérald Darmanin, ce petit préfet de la Macronie, a fini par lâcher le morceau.

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2025

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    Enfin ! Gérald Darmanin, ce petit préfet de la Macronie, a fini par lâcher le morceau. Après deux ans de mensonges, de dérobades, d’accusations mensongères contre les supporters anglais — qui n’étaient que des boucs émissaires commodes — il admet ce que tout le monde savait dès le lendemain de la finale de la ligue des champions : les véritables responsables des violences du 28 mai 2022 aux abords du Stade de France, ce n’étaient pas des hooligans de Liverpool, mais bien cette racaille locale, ce lumpenprolétariat du 93, ultra-violent, vomissant la France mais protégé par la religion d’État qu’est devenu l’antiracisme.
    Darmanin n’a pas « commis une erreur ». Il a menti sciemment, pour ne pas nommer l’ennemi intérieur. Par lâcheté, par soumission idéologique, et par peur de stigmatiser ces « territoires perdus de la République » que plus personne n’ose appeler par leur nom. Le Stade de France, en mai 2022, c’était une démonstration éclatante de l’effondrement de l’autorité, de l’impuissance de l’État et du remplacement progressif d’un ordre républicain par la loi du plus fort — en l’occurrence, celle des bandes.
    Le dispositif policier était non seulement insuffisant, mais volontairement mal orienté : on préférait contrôler des pères de famille anglais plutôt que de risquer l’émeute dans les cités voisines. Toute cette affaire est le symptôme d’un pays qui abdique, d’une classe dirigeante qui préfère calomnier les Anglais plutôt que d’assumer l’évidence : il y a une fracture raciale majeure dans notre société et elle explose au grand jour à chaque événement d’ampleur.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • “Mon petit cœur lui restera français” : tifo patriotique des supporters lyonnais à l’occasion d’OL-RCL

    publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    Avant le 8 mai – jour férié en France pour célébrer la victoire des Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale -, les supporters de l’Olympique Lyonnais ont, ce dimanche 4 mai, tenu à rendre hommage à l’armée française. En marge du coup d’envoi de la rencontre de la 32e journée de Ligue 1 entre l’OL et le RC Lens, au Groupama Stadium, les Bad Gones ont déployé un grand tifo aux couleurs bleu-blanc-rouge avec le message suivant : «Mon petit cœur lui restera français».

    «Dunkerque», «La Marne», «Verdun»… plusieurs lieux faisant référence à des moments clés des deux Guerres ont été écrits sur le drapeau tricolore. Sublimé par la représentation de quatre unités de l’armée française, dont un Poilu et un militaire (avec la mention «BG87» faisant référence au groupe de supporters des Bad Gones).

    Le Figaro via fdesouche

  • Gauriaguet (33) : un conseiller municipal tabassé avant de perdre connaissance en voulant mettre fin à un rodéo

    Publié par Guy Jovelin le 05 mai 2025

    L’élu était venu à la rencontre d’une «quinzaine de motards», sur le terrain de ball-trap de la commune, après avoir failli se faire renverser par une moto. Il a été roué de «nombreux coups» au sol avant de perdre connaissance.

    Une enquête a été ouverte après l’agression samedi d’un élu de Gauriaguet (Gironde) alors qu’il tentait de mettre fin à un rodéo urbain dans la commune, a fait savoir dimanche soir le parquet de Libourne.

    L’élu était venu à la rencontre d’une «quinzaine de motards», sur le terrain de ball-trap de la commune, après avoir failli se faire renverser par une moto, un peu avant 18H00 dans une rue du village, selon ses propos dans le quotidien régional Sud Ouest . Le ton monte et l’élu indique avoir ensuite été «violemment frappé par l’un d’entre eux avec un objet métallique», écrit le magistrat. Une fois au sol, il est ensuite roué de «nombreux coups» avant de perdre connaissance, de même source. […]

    Le Figaro via fdesouche