Publié par Guy de Laferrière le 21 mai 2023
aïd el-fitr
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Aïd el-fitr Toulouse
Des policiers ont demandé aux chefs d’établissements scolaires de Toulouse de leur indiquer le nombre d’élèves absents le jour de l’Aïd el-FitrCette décision a mis en émoi la classe politique toutes tendances confondues dans la ville "rose", classes politiques qui surfent sur la vague communautaire lors des diverses élections.Le parti de la France Occitanie salue cette initiative et dit que l’école de la République doit faire respecter les principes de laïcité.Si cette démarche est maintenue, les chiffres démontreront de la montée de l’Islam à Toulouse, et du « grand remplacement » qui en découle.Toulouse, 4ème ville de France avec près de 500000 habitants, sera le miroir de ce qui arrive partout en France depuis des décennies avec la complicité des différents gouvernements de la « République laïque ».Mais ne rêvons pas, les magouilleurs de la « République laïque » sauront faire avorter le projet.Au « Parti de la France » nous disons : « Pas d’Islam en France et en Europe et du « grand remplacement » qui s’installe.Quand nous seront au pouvoir ce sera l’un de nos principaux projets.La France et l’Europe sont des pays chrétiens et le resteront, nous y veillerons.Guy Jovelin délégué du Parti de la France Occitanie, membre du bureau politique du Parti de la France -
Seine-Saint-Denis : des maires regrettent l’interdiction de fêter l’Aïd el-Fitr hors des lieux de culte
Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2021
Les maires de Saint-Denis et Bobigny ont fait part de leur regret de ne pouvoir mettre à disposition de la communauté musulmane des lieux publics, notamment extérieurs, pour fêter Aïd el-Fitr, ce jeudi.
Une interdiction que regrettent notamment Mathieu Hanotin, le maire (PS) de Saint-Denis, et Abdel Sadi, son homologue (PCF) de Bobigny. Dans un courrier envoyé dans la foulée au ministre de l’Intérieur, le premier se plaint d’une décision « lourde de conséquences.“
Hakim Rebiha, porte-parole de l’Association de la grande mosquée de Saint-Denis, exprime le même regret. S’il dit comprendre l’interdiction d’exercer le culte dans les lieux publics fermés, il déplore qu’elle concerne aussi les sites ouverts en extérieur.
« Il y a deux poids deux mesures pour les règles appliquées dans les espaces extérieurs. Les manifestations syndicales sont déjà autorisées dans les rues, sans jauge, ni même distanciations sociales ! »
Le Parisien via fdesouche