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alain soral

  • Une fois encore, Alain Soral est la cible d’un acharnement politico-judiciaire manifeste

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2025

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    Une fois encore, Alain Soral est la cible d’un acharnement politico-judiciaire manifeste, sur fond d’accusations aussi graves que floues : « provocation au terrorisme », « apologie de terrorisme », et désormais « ingérence pro-iranienne ».
    Que lui reproche-t-on, concrètement ? D’avoir relayé des contenus critiques envers Israël, d’avoir pris fait et cause pour les peuples opprimés du Proche-Orient, ou d’avoir exprimé une ligne politique souverainiste, anti-impérialiste et déplaisant à certains cercles d’influence ?
    On connaît la chanson : quiconque ose critiquer l’État d’Israël est aussitôt suspecté de collusion, de radicalisme ou de menace pour la République. Pendant ce temps, des élus français participent ouvertement à des voyages, à des colloques et à des campagnes organisés par des officines étrangères, notamment israéliennes, sans jamais faire l’objet de la moindre enquête.
    Il devient légitime de poser la question suivante : sommes-nous gouvernés par des députés de la République française ou par des attachés parlementaires de la Knesset ?
    Comment expliquer ce deux poids deux mesures flagrant : quand Soral publie un message virulent sur Telegram, il est recherché à l’international. Quand un élu français défile sous drapeau étranger, promeut des intérêts géopolitiques qui ne sont pas ceux de la France, et s’exprime au nom d’un autre État, il est célébré par les médias.
    On ne défend pas ici un homme pour ses outrances, mais un principe fondamental : l’égalité de traitement devant la loi, et la liberté d’expression – même lorsqu’elle dérange.
    Ce qui se joue à travers cette affaire, c’est la criminalisation de la dissidence, le verrouillage de toute pensée politique alternative et la volonté de bâillonner les oppositions les plus résolues au système occidental atlantiste.
    La justice française ferait bien de regarder d’un peu plus près certains circuits de financement, certaines fidélités troubles, certaines allégeances non assumées, dans l’hémicycle même de l’Assemblée nationale.
    Le peuple français a le droit de savoir.
    Qui parle en son nom ? Qui agit pour son compte ?
    Et qui, au contraire, représente des intérêts qui ne sont pas les siens ?
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Procès suisse : Alain Soral écope d’une amende mais échappe à la prison ferme

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    Auteur : 

    Le jugement a été rendu vendredi par le tribunal de police de Lausanne : l’essayiste Alain Soral a été condamné à payer 1500 francs suisses d’amende pour avoir qualifié une journaliste de la Tribune de Genève de «grosse lesbienne militante». Il doit également verser 500 francs suisses à la journaliste pour le tort moral et payer ses frais d’avocat, à hauteur de 7000 francs suisses.

    La présidente du tribunal de police de Lausanne, Malika Turki, a estimé que les propos de M. Soral relevaient de la diffamation mais pas de l’incitation à la haine à l’encontre de la communauté homosexuelle. Un soulagement pour Alain Soral qui était menacé de prison ferme. Alain Soral, qui réside à Lausanne depuis octobre 2019, a déclaré à la presse, après le verdict, que  «le jugement est assez mesuré», soulignant que «l’homophobie n’a pas été retenue». «Je ne m’attendais pas à une relaxe totale», a-t-il ajouté.

    Début du mois d’avril, Alain Soral avait été condamné par le procureur général du canton de Vaud à trois mois de prison ferme par ordonnance pénale pour «diffamation, discrimination et incitation à la haine», les procureurs suisses ayant le pouvoir de condamner à des peines allant jusqu’à six mois de prison.
    Alain Soral avait fait appel de cette sanction et avait dû passer devant un juge mercredi, lors d’une audience publique.

    Les propos reprochés à Alain Soral avaient été prononcés dans une vidéo critiquant la journaliste qui lui avait consacré un article en août 2021.

    La présidente du tribunal a estimé vendredi que ces propos ne démontraient pas «un état de mépris envers la communauté homosexuelle» ou une «haine farouche envers les homosexuels», mais plutôt «une atteinte ciblée envers une personne». «La juxtaposition des termes de grosse lesbienne, militante, queer, pris dans leur ensemble fait bien apparaitre la journaliste comme une personne méprisable. Les propos sont donc attentatoires à l’honneur», a commenté la présidente du tribunal.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour la réédition d’un livre classique, la LICRA obtient 134 000 euros de condamnations contre Alain Soral !

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2020

    L’ignoble LICRA (puissante officine communautaire qui traque les Français auteurs de propos politiquement incorrects pour les envoyer au tribunal) essaie de créer et maintenir un climat de terreur en France.
    Elle tache d’envoyer les dissidents en prison, ou au moins de les ruiner.

    On apprend ainsi que  :

    « L’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné par la cour d’appel de Paris à payer 134.400 euros à la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) pour avoir remis en vente un ouvrage jugé antisémite, selon une décision consultée samedi par l’AFP.

    Paru pour la première fois en 1892, l’ouvrage Le Salut par les Juifs de Léon Bloy avait été réédité par la maison d’édition de Soral et mis en vente sur son site Internet en 2013 […].

    La Licra avait saisi la justice et le tribunal de Bobigny avait ordonné le retrait de quinze passages jugés antisémites, sous peine d’une amende de 300 euros par jour de retard. La maison d’édition avait estimé « impossible » de « caviarder » l’ouvrage pour en retirer les passages incriminés et l’avait retiré de la vente pendant plusieurs années.

    Mais en 2018, le site Internet avait indiqué sur la page dédiée au livre que « les ouvrages que la Licra et d’autres veulent faire caviarder par décision de justice sont toujours en vente dans leur version non censurée ».

    La Licra saisit alors le juge de l’exécution du tribunal de Bobigny pour faire appliquer la décision de 2013. Ce dernier leur donne raison, ainsi que la cour d’appel de Paris, qui fixe dans sa décision de jeudi le montant de l’amende à 134.400 euros. » (source 20 Minutes)

    Le pire, dans cette histoire, c’est que :
    1) Ce livre de Léon Bloy est une défense des Juifs lors d’une époque où l’hostilité à leur endroit se généralise, et se veut une réponse – plus ou moins – convaincante, à La France juive, énorme best-seller d’Edouard Drumont. Mais pour la LICRA, l’ouvrage de Léon Bloy est encore trop nuancé !
    2) Ce livre n’a pas cessé d’être réédité depuis 140 ans, et jamais il n’y a eu de procès (et pour cause) : tout dépend donc de qui le commercialise ! D’autres maisons d’édition l’éditent sans être aucunement inquiétées mais certains n’ont donc pas le droit de le faire.
    Une ahurissante « justice » !

    PS : pour ceux qui s’intéressent au judaïsme – en particulier avec un point de vue catholique comme a essayé de faire Léon Bloy –, nous ne pouvons que conseiller le livre de l’abbé Rioult, une remarquable synthèse.

     

    Source : contre-info

  • Alain Soral interpellé par la police

    Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2020

    116643612_298616018149953_8382102727879697570_n.jpgNous ne sommes pas, loin s'en faut, toujours en accord avec Alain Soral. Mais ce n'est pas ce qui est le plus important aujourd'hui. Soral exprime lui aussi, à sa façon, une voix dissidente contre le Système et le Système, plus hypocrite que jamais, tente de le faire taire en l'embastillant. Cela, nous ne pouvons pas le tolérer.

    Nous savons que ce qui vient de lui arriver est susceptible d'arriver demain à n'importe quelle autre composante du mouvement national et identitaire. Voilà pourquoi, comme à chaque fois qu'un patriote est injustement victime de la répression, nous tenons à protester et à lui exprimer notre solidarité. 

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale