Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2025

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Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2025

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2021
La chronique de Philippe Randa
Les accusations d’ignominies sexuelles – et la pire de toutes, l’inceste ! – se suivent, se ressemblent, mais les mis en cause ne réagissent pas tous de la même façon. Le silence d’Olivier Duhamel n’a pu qu’accréditer sa culpabilité, alors que l’acteur Richard Berry, accusé – ainsi que son ancienne épouse la chanteuse Jeanne Manson – de viol et d’agressions sexuelles plus de trente ans auparavant par sa fille aînée Coline, a immédiatement clamé son innocence, démenti tout acte incestueux de sa part et écrit au Procureur de Paris pour qu’une enquête soit ouverte, malgré la prescription des faits.
Faisant monter une pression médiatique qui ne demande que cela, Me Karine Shebabo, avocate de la « présumée victime » Coline Berry, n’a pas hésité à affirmer que si l’on interroge le personnel de la protection de l’enfance, membres de la brigade des mineurs ou juges, « ils vous diront qu’à 99,99 %, il est très rare d’avoir des dénonciations mensongères quand on parle d’infractions sexuelles sur mineur au sein des familles. »
Elle se demande par ailleurs quel enfant « inventerait » de telles accusations contre un parent uniquement par vengeance ?
Avec de telles affirmations péremptoires, pourquoi continuer de gâcher l’argent du contribuables à diligenter enquête et procès, la cause étant entendue (à 0,01 % d’erreur, on ne va pas chipoter pour si peu, n’est-ce pas !) : une accusation vaudrait donc automatiquement condamnation.
N’en doutons pas, Me Karine Shebabo aurait fait merveille au procès d’Outreau, resté célèbre pour ses dysfonctionnements, la majorité des accusés ayant été innocentés après plusieurs années de prison ou de détention préventive !
Quant à la famille proche, belle-famille, ex de l’un ou ex de l’autre et « pièces rapportées » – de Josiane Balasko à Jeanne Manson – elle se déchire désormais à qui mieux-mieux dans les médias, soutenant le « présumé coupable » ou la « présumée victime »… et démontrant que les haines, les jalousies et les règlements de compte au sein d’une famille « people » n’ont vraiment rien à envier à ceux d’une famille du fin fond des bords de la Vologne (Affaire du petit Grégory)…
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Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2020

L’ignoble LICRA (puissante officine communautaire qui traque les Français auteurs de propos politiquement incorrects pour les envoyer au tribunal) essaie de créer et maintenir un climat de terreur en France.
Elle tache d’envoyer les dissidents en prison, ou au moins de les ruiner.
On apprend ainsi que :
« L’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné par la cour d’appel de Paris à payer 134.400 euros à la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) pour avoir remis en vente un ouvrage jugé antisémite, selon une décision consultée samedi par l’AFP.
Paru pour la première fois en 1892, l’ouvrage Le Salut par les Juifs de Léon Bloy avait été réédité par la maison d’édition de Soral et mis en vente sur son site Internet en 2013 […].
La Licra avait saisi la justice et le tribunal de Bobigny avait ordonné le retrait de quinze passages jugés antisémites, sous peine d’une amende de 300 euros par jour de retard. La maison d’édition avait estimé « impossible » de « caviarder » l’ouvrage pour en retirer les passages incriminés et l’avait retiré de la vente pendant plusieurs années.
Mais en 2018, le site Internet avait indiqué sur la page dédiée au livre que « les ouvrages que la Licra et d’autres veulent faire caviarder par décision de justice sont toujours en vente dans leur version non censurée ».
La Licra saisit alors le juge de l’exécution du tribunal de Bobigny pour faire appliquer la décision de 2013. Ce dernier leur donne raison, ainsi que la cour d’appel de Paris, qui fixe dans sa décision de jeudi le montant de l’amende à 134.400 euros. » (source 20 Minutes)
Le pire, dans cette histoire, c’est que :
1) Ce livre de Léon Bloy est une défense des Juifs lors d’une époque où l’hostilité à leur endroit se généralise, et se veut une réponse – plus ou moins – convaincante, à La France juive, énorme best-seller d’Edouard Drumont. Mais pour la LICRA, l’ouvrage de Léon Bloy est encore trop nuancé !
2) Ce livre n’a pas cessé d’être réédité depuis 140 ans, et jamais il n’y a eu de procès (et pour cause) : tout dépend donc de qui le commercialise ! D’autres maisons d’édition l’éditent sans être aucunement inquiétées mais certains n’ont donc pas le droit de le faire.
Une ahurissante « justice » !
PS : pour ceux qui s’intéressent au judaïsme – en particulier avec un point de vue catholique comme a essayé de faire Léon Bloy –, nous ne pouvons que conseiller le livre de l’abbé Rioult, une remarquable synthèse.
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 21 février 2020

« On ne peut pas jugé deux fois l’auteur d’un crime ou d’un délit », résume Me Luc Abratkewicz, qui réagit ce vendredi à la remise en liberté par les juges de la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’ici, du meurtrier d’un étudiant, poignardé sur le parking de la résidence Chantebrise, sur l’avenue de Lodève, entre les Tonnelles et Celleneuve, à Montpellier.
Âgé de 25 ans, il avait fui en Algérie, le lendemain des faits, où il avait été localisé, emprisonné et condamné à 10 ans de prison. Il a été remis en liberté après huit ans de détention.
(…)
Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2019
Communiqué du Parti de la France
Dans plusieurs villes de France, notamment à Lyon, Nantes ainsi qu'en Gironde, des saboteurs d'extrême-gauche affiliés à des syndicats rouges et soutenus par la CGT ont procédé à des coupures d'électricité pénalisant ainsi en plein hiver des milliers de foyers et compromettant, par la rupture de toute une série de services publics, la sécurité de nos compatriotes.
Le Parti de la France demande aux différents Parquets territorialement compétents de se saisir de ces cas délictueux et de procéder à l'ouverture d'une enquête préliminaire.
Le Parti de la France rappelle que l'article R323-37 du code de l'énergie prévoit une amende de 1.500 euros pour de tels faits et que les auteurs d'actes de sabotage, de destruction ou de détérioration de matériels ou d'équipements publics, dès lors qu'ils portent atteinte aux intérêts de la Nation sont, quant à eux, en vertu de l'article 441-9 du code pénal, passibles de quinze ans de détention criminelle.