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balle dans le pied

  • Des militants de Greta Thunberg se tirent une balle dans le pied.

    Publié par Guy Jovelin le 01 jullet 2021

    Le mouvement initié par  devient raisonnable. Au terme d’une prise de tête sans précédent, la section néo-zélandaise a décidé de se saborder.

    Le résultat de l’introspection fut implacable : ils étaient racistes. Infréquentables. Dignes de finir dans les poubelles de l’. L’autodissolution s’imposait.

    balle dans le pied,changement climatique,greta thunbergPartant du constat selon lequel « les communautés du BIPOC (personnes de couleur) sont affectées de manière disproportionnée par le changement climatique, donc la lutte pour la  climatique devrait être menée par leurs voix et leurs besoins », la présence de Blancs à la tête de l’organisation devenait intenable. Que faisaient-ils là ? Révolté par la situation, un responsable s’est -empoigné par le col de sa veste et s’est jeté dehors.

    À la suite de cette décision, deux camions d’excuses furent livrés à qui de droit. « Pour la blessure, l’épuisement et le traumatisme. » Et le supplément gratuit offert par la maison : « Pour le traumatisme supplémentaire causé par notre lenteur à assumer nos responsabilités. » Non content de se suicider, le groupe estime qu’il ne l’a pas fait assez vite. Du bobo haut de gamme ! Sur ce modèle, Jean-Luc Mélenchon pourrait un jour s’auto-enfariner. Promptement. Dès le petit déjeuner. Une deuxième couche à midi pour réaffirmer sa honte d’être blanc. Le tout sur recommandation de .

    Selon l’angle de vue, le sens de cette autodissolution peut être compris à l’envers. Que dire de militants qui détruisent leur mouvement au prétexte qu’ils s’estiment moins concernés par le problème ? Exprimé trivialement, la démarche peut s’énoncer comme suit : « Que les Noirs se démerdent avec leurs problèmes de réchauffement. » L’ poussé jusqu’à l’hystérie aboutit au résultat inverse de celui qu’il s’était fixé. L’arrêt du combat. À terme, Greta au point mort. Trop ceci, pas assez cela. Disparition. L’écolo réchauffiste est soluble dans sa propre idéologie.

    L’opposant se voit ainsi dispensé de toute argumentation. Économie d’énergie, utilisation des pulsions naturelles de l’adversaire… La planète sera sauvée.

     

    Jany Leroy

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Culpabilisation énergétique : La France se tire une balle dans le pied.

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

    Culpabilisation énergétique : La France se tire une balle dans le pied.

    Le 27 novembre dernier, Emmanuel Macron, présentant la Programmation pluriannuelle de l'énergie pour les dix ans à venir annonçait le triplement du nombre d’éoliennes, la multiplication par cinq de l’électricité photovoltaïque, et la volonté d’investir « 7 à 8 milliards d'euros » par an dans les énergies renouvelables. Le tout au nom de la désormais sacro-sainte transition énergétique élevée au rang de principe de sauvegarde universelle. 

    Cette électricité ainsi produite étant largement plus coûteuse que le prix de marché, la différence sera bien évidemment payée par le consommateur. Deux taxes ont été instituées à cet effet qui viennent alourdir considérablement les factures : la CSPE (Contribution au service public de l’électricité) et le TURPE (Tarif d’utilisation des réseaux publics électricité). 

    Il s’agit d'une véritable escroquerie d'État. 

    Alors que 86 députés de la majorité, toute honte bue et toute prudence évanouie, réclament, dans une tribune publiée le 14 février, la relance de la taxe carbone abandonnée en décembre grâce à la mobilisation anti fiscale des Français, rappelons la réalité des choses : 

    • En l'espace d’un siècle, le taux de CO2 dans l’air que nous respirons est passé de 0,03 % à 0,04 %, soit de 3 à 4 particules sur 10 000. C'est tout. Et ce serait cette infime augmentation qui, selon le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), devrait nous conduire à l’apocalypse, à une hausse des températures de 4 à 5 degrés d’ici 2100, générant toute une série de catastrophes (désertification, montée des eaux, cyclones, etc.). Pour les idéologues fanatiques et totalitaires de cet organisme international détenteur autoproclamé de la vérité planétaire, cette perspective impose de limiter l’augmentation de la température à 2 degrés en réduisant les émissions de CO2 « de 40 à 70 % entre 2010 et 2050 ».
    • Qu’en est-il pour la France de cette « urgence » à réaliser la transition énergétique ? La part qu'elle doit y prendre est-elle si importante qu’elle conduise à te tels efforts à consentir pour État, pour les ménages et pour les entreprises ? Tout cela repose sur un mensonge. La part de la France dans les émissions planétaires de CO2 est infime et celle des Français en tant que personnes physiques, dérisoire. On sait que l’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet à la Chine, à l’Inde et aux pays émergents de continuer à augmenter leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite. Les efforts que fera alors la France, qui ne pèse que 1 % des émissions de CO2 dans le monde, seront insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.

    C'est donc sur cet ensemble de contre-vérités éhontées qui poussent bobos et jeunes écervelés à défiler dans les rues d'un monde occidental toujours plus docile face à sa propre stigmatisation et toujours plus masochiste dans sa reconnaissance de culpabilité, que le gouvernement se base pour mener une transition énergétique coûteuse et inutile qui pèsera sur les ménages comme sur la compétitivité des entreprises là où la France, par sa politique nucléaire avait su à la fois conquérir son indépendance énergétique, assurer une forme de compétitivité en ce domaine, affirmer son exemplarité environnementale et offrir aux consommateurs une électricité peu coûteuse. 
    C'est ce qui s'appelle se tirer plusieurs balles dans chacun des deux pieds.