Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

cités éducatives

  • Éducation prioritaire : 1,7 million d’élèves bénéficiaires dans les quartiers prioritaires et prochainement, 24 territoires ruraux.

    Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2021

    1,7 million d’élèves bénéficie de l’éducation prioritaire, notamment via les Cités éducatives dans les quartiers de la politique de la ville. Désormais, une initiative similaire est expérimentée dans des territoires ruraux. Avant « Le Printemps des Cités éducatives », du 24 mai au 4 juin prochain, Nathalie Élimas expose les enjeux de l’éducation prioritaire. Une politique publique que l’ANCT contribue à faire vivre.

    Que recouvre l’éducation prioritaire et quels en sont les enjeux, surtout dans le contexte de crise actuel ?

    L’éducation prioritaire, c’est donner plus à ceux qui partent avec moins. Il s’agit d’un zonage dans lequel on distingue :

    • les réseaux d’éducation prioritaire (Rep), qui ont un certain nombre de moyens supplémentaires ;
    • les réseaux d’éducation prioritaire renforcés (Rep+), qui reçoivent un encore plus grand nombre de moyens supplémentaires.

    Concrètement, 1,7 million d’élèves bénéficie des dispositifs issus de cette politique, plus que jamais nécessaire dans une période de crise comme celle que nous connaissons, où les inégalités ont tendance à s’accroître. C’est d’ailleurs pour accentuer cette lutte contre les inégalités scolaires que l’expérimentation des contrats locaux d’accompagnement sera lancée, à partir de la rentrée prochaine, dans le but d’accueillir de nouveaux publics dans la carte de l’éducation prioritaire.

    L’un des dispositifs phares de l’éducation prioritaire, c’est le dédoublement des classes de CP et de CE1, désormais réalisé sur tout le territoire. Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, m’a confié la tâche d’aller encore plus loin, en dédoublant progressivement les classes de grande section de maternelle.

    Notre objectif est de renforcer ainsi l’apprentissage des savoirs fondamentaux : lire, écrire, compter, respecter autrui.

    Le Comité interministériel des villes a décidé d’élargir le nombre des Cités éducatives à 126, cette année, puis 200, en 2022. Une montée en puissance qui répond à une attente forte des territoires. Quels premiers résultats observez-vous dans les 80 cités actives, aujourd’hui ?

    Les Cités éducatives sont un exemple d’alliance éducative nouée autour de nos élèves et jeunes pour les accompagner vers la réussite, par une prise en charge de la petite enfance jusqu’à l’insertion professionnelle, sur le temps scolaire et en-dehors. Je souhaite, ici, saluer tous les personnels de direction des collèges qui sont engagés dans le pilotage des Cités éducatives au quotidien….

    Une initiative similaire est en cours d’expérimentation dans 24 Territoires éducatifs ruraux. À quels besoins répond-elle ?

    Les territoires éducatifs ruraux sont l’équivalent des Cités éducatives dans des territoires périphériques ou isolés. Ils reposent, dans la même logique, sur une coopération des acteurs éducatifs pour renforcer les synergies au niveau local….

    Les territoires éducatifs ruraux visent donc à lutter contre le manque d’informations, d’opportunités de mobilité géographique et, plus globalement, contre toute forme d’autocensure chez les élèves.

    Suite sur ANCT via fdesouche

  • Cités éducatives : le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.

    Publié par Guy Jovelin le 07 mai 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Cités éducatives : le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.
    On les croyait mortes et enterrées. Il n'en est rien.
    Les recommandations formulées voici un an par l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo dans le cadre de son plan banlieues resurgissent petit à petit, les unes après les autres, discrètement, presque en catimini, faisant mentir ceux qui affirmaient qu’Emmanuel Macron, commanditaire et destinataire du rapport, en avait balayé les conclusions d'un revers de main.
    Ce n'est une bonne nouvelle ni pour notre cohésion nationale ni pour nos finances publiques.
     
    Au moment où le gouvernement cherche désespérément le moyen de financer les promesses du Président de la République, ce n'est, en effet, pas moins de 100 millions d'euros qui seront jetés par la fenêtre entre 2020 et 2022 pour mettre en place les cités éducatives dont la création constituait un des points majeurs du plan Borloo destiné à remédier aux dysfonctionnements urbains et à développer la mixité sociale (sic).
    On l'aura compris, nous sommes dans le cadre de la ruineuse, désastreuse et anti nationale politique de la ville qui, depuis 1970 a coûté plus de 90 milliards d'euros aux contribuables français dans le seul but de favoriser les populations issues de l'immigration en prétendant entretenir en pure perte leurs quartiers séparatistes dans une optique de préférence étrangère.
     
    Le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie, s'est ainsi rendu jeudi à Arras et à Lens pour dévoiler officiellement la liste des quartiers présélectionnés. Premiers de la liste, outre les deux villes visitées : Le Val-Fourré à Mantes la Jolie, La Grande Borne à Grigny, Les Tarterêts à Corbeil Essonne… Autant de cités plus souvent présentes dans les colonnes des journaux pour les trafics divers qui s'y déroulent (toutes trois sont considérées comme des quartiers pivots de la drogue), pour le taux de déscolarisation (40 % en moyenne), pour une forte imprégnation salafiste, pour la violence des bandes qui y règnent, et pour les règlements de comptes qui en découlent.
    Porté par des technocrates aveugles à ces réalités et encouragé par des politiques idéologues adeptes de la « discrimination positive » qui n’est, au fond, que la discrimination tout court à l'encontre des nationaux de souche, le concept de Cités éducatives vise pourtant à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu'à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », rappelle le dossier de presse du ministre. L'ambition « n'est pas d'être un dispositif de plus mais l'occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants » (scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l'école, repas à la cantine à 1 euro). Discours connu, tenu depuis des décennies avec pour seule conséquence le développement des zones perdues de la souveraineté nationale. Ce plan fumeux prétend ainsi s'appuyer, comme tous ceux qui l'ont précédé, sur des actions concrètes déjà existantes dans des domaines divers, qu'il s'agisse de la petite enfance, de la formation ou du décrochage scolaire dans une soixantaine de « quartiers » qui recevront ce label à partir de juillet, attribué aux territoires « qui montrent leur détermination à faire de l'éducation une grande priorité partagée ».
    Cette grande « priorité partagée » n'est évidemment pas celle de l'instruction publique dans une perspective nationale de la cohésion territoriale. Elle n'est pas celle de la reconstruction de notre école dans une vision globale de la formation de nos enfants dans un souci du bien commun, de l’intérêt général et du relèvement de la Nation.
    Elle est la « grande priorité non partagée » par l'immense majorité de nos compatriotes mais délibérément choisie par la caste immigrationniste, donnée au développement du processus remplaciste et colonisateur.
  • Politique de la ville: 80 quartiers présélectionnés pour les « cités éducatives »

    Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2019

    Par  le 01/05/2019

    Mesure-phare du rapport Borloo sur la politique de la Ville, les « cités éducatives » visant à intensifier la prise en charge scolaire et périscolaire ouvriront dans des quartiers défavorisés, avec une première liste de 80 territoires éligibles dévoilée mercredi.

    Val-Fourré, La Grande Borne, Tarterêts… il s’agit là de quartiers d’habitat social « de plus de 5.000 habitants » présentant « des dysfonctionnements urbains importants » avec « des enjeux de mixité scolaire », en bref les quartiers « les plus dans le besoin », ont précisé Jean-Michel Blanquer et Julien Denormandie.

    Les « cités éducatives » visent à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire » : scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l’école…).

    In fine « une soixantaine de quartiers » recevront ce label à partir de juillet. Ils pourront pour cela bénéficier d’une enveloppe de 34 millions d’euros de crédits par an, soit « près de 100 millions d’euros de 2020 à 2022 », attribués par le ministère de la Ville.

    (…) Le Figaro via fdesouche