Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

délit

  • Herrou blanchi : les juges ont décidé que violer la loi n’est plus un délit !

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2021

    ripostelaique

     

    Cédric Herrou, la madone des migrants, le laquais des bien-pensants, le lèche-babouche des envahisseurs, a gagné. Il est définitivement blanchi. Il va pouvoir renforcer sa florissante petite entreprise qui va chercher des migrants en Italie, à deux pas de chez lui, et les emmène en France. Le métier de passeur a le vent en poupe. […]

    Cet article Herrou blanchi : les juges ont décidé que violer la loi n’est plus un délit ! est apparu en premier sur Riposte Laïque.

     

    Extrait de: Source et auteur

    Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

  • Covid-19 : le Conseil constitutionnel valide le délit de violation du confinement

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2020

    Par  le 26/06/2020

    Le Conseil constitutionnel a validé, ce vendredi 26 juin, l’infraction pénale de violation du confinement Le délit est jugé précis et donc «conforme» à la Constitution. 1,1 million d’amendes ont été dressées pour plus de 20 millions de contrôles, selon le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

    Le Conseil «juge que le législateur a suffisamment déterminé le champ de l’obligation» faite aux citoyens et «écarte le grief tiré de la méconnaissance du principe de légalité des délits et des peines», explique-t-il dans un communiqué.

    Le délit, créé par l’article L.3136-1 du code de la santé publique, prévoit qu’une personne verbalisée à plus de trois reprises pour violation du confinement dans un délai de 30 jours est passible d’une peine de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende. […]

    Les «sages» étaient saisis par la Cour de cassation, qui a examiné en mai plusieurs questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) visant cet article. La plus haute juridiction judiciaire a relevé que le législateur avait «créé un délit caractérisé par la répétition de simples verbalisations», «susceptible de porter atteinte au principe de légalité des délits et des peines qui résulte» et au «principe de la présomption d’innocence». […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Délit de « blackface » : la Ligue de Défense Noire empêche la représentation d’une pièce de théâtre d’Eschyle à la Sorbonne

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2019

    Délit de « blackface » ! C’est l’accusation portée par la Ligue de Défense Noire, la Brigade anti-négrophobie et le Conseil représentatif des associations noires (CRAN)contre une représentation des Suppliantes d’Eschyle, mise en scène par Philippe Brunet,  et qui devait avoir lieu à la Sorbonne le 25 mars dernier.

    Les manifestants, incultes patentés, protestaient contre l’usage de masques et maquillages noirs par des acteurs blancs. Leur expliquer que ce n’était là qu’une fidélité à la pratique théâtrale antique a été vain !

    Pour Louis-Georges Tin, le président d’honneur du CRAN, cette représentation était « racialiste » un point c’est tout :

    «  Nous avons interpellé Philippe Brunet dès vendredi sur les réseaux sociaux, et il n’a pas réagi à nos sollicitations. Je ne mets pas en doute ses intentions, mais nous disons : l’erreur est humaine, la persévérance est diabolique. »

    « Il n’y a pas un bon et mauvais “blackface”, de même qu’il n’y a pas un bon et un mauvais racisme. En revanche, il y a un “blackface” conscient et un “blackface” inconscient. Le racisme n’est pas seulement une idéologie réservée à l’extrême droite. Ce serait trop simple. C’est pour cela que nous luttons. »

    Pour le metteur en scène Philippe Brunet, c’est une censure a priori, qu’il comprend d’autant moins qu’il est un des tenants culturels de l’africanisation du théâtre grec :

    « On est face à une forme de radicalisation qui ouvre une brèche très dangereuse pour la liberté d’expression, pour l’art dans son ensemble. Je voulais qu’ils regardent la pièce, et qu’ils jugent après, mais ce sont des censeurs qui décident a priori. On ne peut pas nous couper de l’Afrique. Nous sommes profondément africains. C’est ce que raconte Hérodote. Ces gens-là vont juste nous séparer.»

    De son côté, la direction de la Sorbonne a dénoncé « solennellement » cette annulation forcée de la pièce de théâtre tout en réaffirmant ses valeurs « profondément humanistes et anti-racistes ».

    Mais comme le souligne un intervenant sur Twitter :

    « Le théâtre antique ne peut donc plus être joué en Sorbonne. Mais le monde de la culture ne serait-il pas en partie coupable de cette situation ? »

    Voir l'image sur Twitter
    Pierre Téqui@Pierretequi
     Mise en scène accusée de racialisme, « Les suppliantes » d’Eschyle ne peut être représentée en Sorbonne.

    Le théâtre antique ne peut donc plus être joué en Sorbonne.
    Mais le monde de la culture ne serait-il pas en partie coupable de cette situation ?
    Déroule 

     
     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info