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fraude sociale

  • Fraude sociale

    Publié par Guy Jovelin le 29 août 2025

    Revenons sur "les deux jours fériés" qui sont ou seraient, d'après les journalistes, l'un des points centraux de l'opposition des Français au "plan" (?) Bayrou. Nous l'avons dit, supprimer le 8 Mai (qui fait doublon avec le 11 Novembre et qui est une récente mesure démagogique, due à Mitterand) serait une bonne chose, pour donner un peu d'air à l'économie, en Mai, qui est un mois sinistré. Par contre, pas question de toucher au Lundi de Pâques : ce ne sont pas les jours fériés de ceux qui travaillent qu'il faut supprimer mais certaines aides sociales de ceux pour qui c'est férié tous les jours !. Suivez notre regard...

    Dans Libé (pour une fois !)

    Fraude sociale : est-il vrai que 84 millions de personnes, dont 3 millions  de centenaires, ont un numéro Insee ? – Libération

     

    Source : lafautearousseau

  • Les clandestins en ligne de mire : comment le gouvernement lutte contre la fraude sociale en Seine-Saint-Denis ?

    Publié par Guy de Laferrière le 03 mars 2023

    La lutte contre la fraude sociale engagée par Gérald Darmanin commence à porter ses fruits. Et en Seine-Saint-Denis, où la fraude aux aides s’élève à 15 millions d’euros, les premiers résultats sont édifiants. À sa demande, les préfets ont mis en place le croisement des fichiers des Caisses d’allocations familiales avec ceux du ministère de l’Intérieur.

    Les pouvoirs publics ont détecté plus d’1,5 milliard d’euros de fraude sociale en 2022. Urssaf, Assurance maladie, Caisse d’allocations familiales, l’ensemble des branches de la protection sociale est touché par le phénomène. (source)

    Les chiffres de la fraude par département en 2020

    Gérald Darmanin fait la chasse aux fraudeurs clandestins. À sa demande, les préfets ont mis en place le croisement des fichiers des Caisses d’allocations familiales avec ceux du ministère de l’Intérieur. Objectif : supprimer les prestations sociales aux personnes dont le titre de séjour a été retiré. Il faut rappeler qu’une personne en situation irrégulière n’a pas droit à ces prestations. En Seine-Saint-Denis, les premiers résultats sont édifiants : sur 120 personnes en situation irrégulière qui bénéficiaient de prestations sociales, seules 19 continuent à les percevoir.

    Parmi elles, douze ont touché au total plus de 123.000 euros de prestations indues, et par exemple, l’une d’elle a perçu jusqu’à 21.000 euros. Des chiffres qui peuvent paraître édifiants alors que ce département est déjà connu pour ses fraudes à la Caisse primaire d’assurance maladie qui flirte chaque année avec les 15 millions d’euros.

    Pour aboutir à ce résultat, le préfet a croisé les fichiers de la Caisse d’allocations familiales avec la liste des étrangers dont les titres de séjour ne sont plus valides, en grande partie pour des troubles à l’ordre publicUne procédure automatisée a été mise en place. Résultat : dès qu’une demande est faite auprès de la Caf, les agents vérifient si les titres de séjour sont toujours valables. Selon nos informations d’Europe 1, des procédures de recouvrement vont être lancées. Les contrôles doivent se généraliser sur l’ensemble du territoire.

    Europe 1 via fdesouche

  • Il dénonce les fraudes et fait l’objet d’une enquête

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Il dénonce les fraudes et fait l’objet d’une enquête

    Charles Prats dénonce les milliards de fraude sociale liée à l’immigration.

    Résultat : il est visé par une enquête administrative pour… d’éventuels manquements au «devoir de réserve».

    Le juge, connu pour ses travaux sur la fraude sociale et fiscale en France, dénonce une pression d’ordre politique.

    Selon une source proche du dossier au Figaro, «les prises de position publiques, les tweets» du juge sont en cause, ces éléments illustrant parfois «des positions politiques». «La question se pose de l’impartialité, du devoir de réserve d’un magistrat» poursuit la source, citant également les mots «engagés» utilisés par le juge, qui dénonce parfois publiquement ceux qu’il qualifie de «nervis d’extrême-gauche, antifas, black blocs».

    Interrogé par Le Figaro, Charles Prats dénonce une pression d’ordre politique :

    «Si les gens veulent savoir pourquoi le gouvernement lance cette enquête administrative, ils n’ont qu’à lire le tome 2 de mes livres sur les fraudes en France. Ils vont comprendre».

    Charles Prats publie régulièrement des travaux sur l’ampleur, sous-estimée selon lui, de la fraude sociale et fiscale en France. Son premier livre, «Le cartel des fraudes», avait été publié en 2020, et le deuxième tome est paru le 14 octobre.

     

    Source : lesalonbeige