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réchauffement climatique

  • Le réchauffement climatique : un phénomène naturel et cyclique plus qu’une responsabilité humaine avérée

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2024

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    En cette journée mondiale du climat, il n'est pas inutile de rappeler quelques vérités.
    1. Le réchauffement climatique : un phénomène naturel et cyclique plus qu’une responsabilité humaine avérée
    Le climat terrestre a toujours été sujet à des variations naturelles majeures bien avant l’ère industrielle. Les cycles de Milankovitch, l'activité solaire, et les changements des courants océaniques sont autant de facteurs qui influencent les températures sur des échelles de temps longues. Des périodes comme l’optimum climatique médiéval ou le petit âge glaciaire démontrent que des fluctuations climatiques significatives se sont produites sans intervention humaine.
    Si l’augmentation récente des températures est corrélée avec l’industrialisation et les émissions de gaz à effet de serre, cela ne prouve pas une causalité directe. La climatologie, domaine complexe et encore en évolution, repose sur des modèles qui, bien que sophistiqués, restent imparfaits. La sensibilité climatique au CO₂ fait encore débat, et certains scientifiques considèrent que les forces naturelles pourraient jouer un rôle plus important que ce que l’on affirme généralement. La tendance à attribuer systématiquement le réchauffement au facteur anthropique ignore presque toujours ces dynamiques naturelles.
    2. Une climatologie transformée en culte culpabilisateur
    Au fil des années, la climatologie semble avoir dérivé vers une idéologie quasi-religieuse. Les discours alarmistes et apocalyptiques, portés par certaines ONG et médias, contribuent à instaurer une culture de la peur. Cette stratégie culpabilise principalement les pays occidentaux qui se voient désignés comme les grands responsables des désastres climatiques, malgré les efforts significatifs qu’ils ont déjà réalisés.
    Les gouvernements occidentaux imposent des taxes punitives sous prétexte de réduire l'empreinte carbone mais ces politiques fiscales frappent principalement les classes moyennes et populaires, tout en épargnant souvent les grands pollueurs mondiaux. Parallèlement, l’angoisse climatique instillée chez les jeunes générations crée un sentiment d'impuissance et un désespoir qui affecte leur santé mentale. Cette rhétorique anxiogène détourne les véritables objectifs écologiques au profit d’une croisade idéologique où la vertu apparente masque souvent des intérêts économiques et politiques.
    3. La France : un modèle parmi les pays les moins pollueurs
    La France est l’un des pays au monde qui génère le moins d’émissions de gaz à effet de serre par habitant. Son mix énergétique, dominé par le nucléaire, lui permet de produire une électricité à faible empreinte carbone, contrairement à des nations comme l’Allemagne qui dépendent encore lourdement du charbon. Par ailleurs, les politiques environnementales françaises imposent déjà des normes très strictes voire abusives dans les domaines de l’agriculture, des transports, et de l’industrie.
    Ces efforts contrastent fortement avec des pays comme la Chine ou l’Inde, dont les émissions de CO₂ augmentent massivement. Pourtant, les discours internationaux tendent à homogénéiser les responsabilités, plaçant un fardeau disproportionné sur des pays comme la France, qui contribue pourtant peu à la pollution mondiale. Cette asymétrie dans les discours et les mesures nourrit un légitime sentiment d’injustice.
    4. Une écologie capturée par des idéologues extrêmes
    L’écologie, concept noble et nécessaire, a été détournée par des idéologues radicaux qui cherchent à transformer la défense de l’environnement en outil de contrôle social. Sous couvert de sauver la planète, ces militants imposent des contraintes liberticides, érodent les libertés individuelles et fragilisent les économies. Leur approche manichéenne empêche un débat serein et rationnel sur des solutions équilibrées.
    Le Parti de la France estime que la défense de l’environnement ne doit pas être synonyme de régression ou de sacrifices inutiles. Elle doit s’appuyer sur le progrès technologique, une gestion durable des ressources et une répartition équitable des responsabilités à l’échelle mondiale. En rejetant les discours extrémistes et en privilégiant des solutions pragmatiques, il est possible de protéger la planète sans sacrifier les populations sur l’autel d’une idéologie dogmatique.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Écologisme

    Publié par Guy de Laferrière le 26 avril 2023

    Des communicants, d’un excellent niveau théorique, sont parvenus à nous faire présumer que le « réchauffement climatique » serait lié à l’activité humaine : le CO2 est aujourd’hui l’ennemi !

    Pour eux, l’Humanité va être responsable de la destruction de la vie sur notre planète. Rien moins.

    Pour mémoire : il y a environ 2.5 milliards d’années, la vie sur terre se résumait à des bactéries anaérobies (détruites par l’oxygène) : l’oxygène était un poison mortel. Puis, il y a 800 millions d’années, les bactéries aérobies ont « pris le pouvoir » et les anaérobies sont devenues l’exception (elles existent toujours et sont les plus dangereuses). Sans ce « cataclysme », nous ne serions pas là. Mais il a quand même fallu quelques centaines de millions d’années.

    Or, je viens de m’apercevoir tout à fait par hasard d’un détail non pris en compte par ces camelots de l’apocalypse à (peut-être) venir :

    En l’an 2000, j’ai fait construire une maison. Son grand axe a été défini par la boussole de l’architecte : Nord-Sud strict. Et j’avais remarqué en emménageant que l’ombre du toit était strictement parallèle aux murs. (Ô joie !) Par hasard, j’ai fait une constatation stupéfiante hier : l’ombre du toit s’écarte largement des mêmes murs. (Ô surprise ?) L’inclinaison de la terre s’est donc modifiée en 20 ans. Tout le monde connaît ce phénomène. Mais personne ne vient nous dire que cette réalité pourrait être à l’origine de changements climatiques comme la terre en connaît depuis son origine. Un seul exemple suffit : la « petite ère glaciaire » du Moyen Âge.

    J’en conclus donc tout de bon, comme vous, que l’« écologisme » actuel tient plus du (fort) désir d’un système politique totalitaire de certains que d’une vérité scientifique.

     
     
  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2021

    Chronique des cinglésLe Figaro concurrence Le Gorafi :

     

    Source : lesalonbeige

  • La folie des khmers verts

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2019

     
    POSTÉ LE 02 AVRIL , 2019, 10:54

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    Allons-nous vers la fin du monde ? Oui et avec certitude … Dans quelques milliards d’années!

    L’être humain annonce régulièrement une fin du monde prochaine: méchants extraterrestres qui veulent notre destruction, bouleversements géologiques, volcans se réveillant, etc. D’ailleurs la vie sur terre a failli, dans sa longue histoire, disparaître plusieurs fois sans intervention de l’homme.

    Mais, jusqu’à maintenant, ces « chevaliers de l’apocalypse» se sont tous trompés.

    Pourtant, cette fois, c’est sûr, ce sera la bonne: «Nous allons tous mourir du réchauffement climatique.» Pas de discussion possible, le GIEC a parlé et aucune contradiction n’est envisageable sous peine de licenciement (Philippe Verdier à FR2), d’excommunication ou de mise au ban de la société pour non-respect du sacro-saint principe de précaution. Pour moi, le seul fait d’interdire toute contestation me renforce dans la suspicion d’une manipulation.

    Oui, la Terre est en phase de réchauffement, mais c’est principalement dû à un cycle climatique. L’homme y contribue sûrement, mais à un niveau de 0,03 à 0,04% d’augmentation de la concentration du CO2 dans l’atmosphère en un siècle!

    Voici quelques exemples de manipulations perpétrées par nos «politiciens» pour nous faire avaler une hausse d’impôt au nom d’une écologie bien venue pour renflouer nos caisses.
    – Super-taxes sur les ­énergies (dont seulement 20% seront affectés à la lutte contre le réchauffement) qui ont mis la France dans la rue.

    – Mort programmée du diesel pour «nocivité avérée». Ce qui est vrai pour les voitures vieilles de 20 ans, mais faux pour les plus récentes. Il suffit de consulter les prix des voitures neuves: les malus touchent beaucoup plus les voitures à essence qui émettent 20% de plus de CO2. Un dossier dans «Auto Plus» du 29 mars confirme que les nouveaux diesels sont moins polluants que l’essence dans tous les domaines. La mauvaise foi de l’État devient donc évidente lorsqu’il refuse la vignette «Crit’air 1» aux véhicules diesel récents, alors qu’ils sont moins polluants!

    – La France émet seulement 1 % de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère ; la concentration naturelle de CO2 dans l’air est de 0,04%. Même si nous n’émettions plus du tout de CO2 cela ne représenterait qu’un gain de 0,00004 %. Sachant que, dans le même temps, la Chine en rejette 29 fois plus, les USA 15 fois plus, l’Inde 7, la Russie 5, le Japon 3,5 et l’Allemagne 3!

    – Alors que le transport (camions compris) représente 25% des émissions CO2, la France s’acharne sur l’automobiliste qui n’en émet que 6% («vache à lait» bien connue).

    – La construction de centrales nucléaires, neutres en émission de CO2, augmente partout. Mais nous, nous voulons réduire leur production de 75 à 50%. Cherchez l’erreur! Surtout si, comme en Allemagne, le nucléaire est remplacé par la plus polluante des énergies : le charbon.

    Comment faire confiance aux « études du GIEC» qui, en l’espace d’une décennie, nous ont annoncé «l’apocalypse» pour 2100, avant de ramener cette date à 2050, voire 2030 dernièrement! C’est bien la preuve que leur système de calcul est erroné et qu’il est manipulé pour augmenter la frayeur d’une population crédule.

    Bientôt, on ira à la maternelle demander l’avis des enfants pour nous éclairer sur l’avenir de notre planète. Toute sympathique que soit Greta Thunberg, on peut difficilement croire qu’elle ait converti, à 9 ans, ses parents à l’écologie. D’autant que cette histoire paraît «juteuse»: des millions de dollars ont déjà été levés.

    Suite à l’intervention de Greta, les étudiants du monde entier font grève contre le réchauffement. Je leur conseillerais de le faire pour dénoncer l’augmentation hallucinante de la dette car ce sont eux qui devront payer et ce sera beaucoup plus douloureux que l’augmentation supposée de quelques degrés!

    Pour lutter contre le réchauffement, des minorités veulent absolument nous imposer une réduction drastique de la production agricole, voire de ne plus faire d’enfants!

    D’après nos «Khmers verts», nous aurions donc le choix entre une «mort hypothétique» due à la chaleur insupportable en 2100 ou une mort certaine, de faim celle-là, en 2050.

    J’ai fait mon choix. Vous devinez lequel. Et je préconise de faire confiance à l’homme et à l’éducation des citoyens pour que chacun d’entre nous respecte la nature à son niveau, ce sera beaucoup plus efficace et surtout moins onéreux!

     

    Source : les4verites