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singapour

  • Singapour : viande artificielle dans l’assiette

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Dans leur « monde d’après », gris, triste, orwellien, le monde cauchemardesque des plus « beaux » rêves des écolos bobo radical chic à gauche toute où l’antinature est reine, même la nourriture perdra de sa substance naturelle.

    Et puisque les belles grosses vaches dans nos prés sont un facteur pour ces apprentis-sorciers transhumanistes œuvrant à la naissance d’un homme nouveau du « réchauffement » climatique, fini le bon steak de bœuf, bien saignant et odorant, qui heurte la sensibilité exacerbée des sectaires vegans, place à la viande artificielle !

    Singapour donne le coup d’envoi en autorisant la vente de viande artificielle, une première mondiale.

    « Des nuggets à base de viande de poulet fabriquée en laboratoire par la start-up californienne Eat Just pourront bientôt être vendus dans les restaurants de Singapour après une autorisation délivrée, mercredi 2 décembre, par les autorités sanitaires du pays, qui les ont jugés sans danger pour la consommation » lit-on dans Le Monde.

    Le produit « a été déclaré propre à la consommation dans les quantités prévues et a été autorisé à la vente à Singapour comme ingrédient des nuggets Eat Just », a ajouté l’agence. Le produit conçu à partir de cellules animales restera pendant au moins vingt ans sous la surveillance de l’autorité sanitaire.

    C’est « une première mondiale », a affirmé Eat Just dans un communiqué reçu mercredi 2 décembre. La start-up a déclaré auprès de la BBC espérer que d’autres pays prennent la même décision. Eat Just, qui travaille depuis plusieurs années sur le développement de ce produit, a indiqué avoir fabriqué plus de 20 lots de viande de poulet artificielle dans des bioréacteurs de 1 200 litres avant de soumettre sa production à des tests de qualité et de sécurité.

    Selon l’entreprise, la consommation de viande devrait augmenter de 70 % d’ici 2050. Or selon la doxa scientifiquement et climatiquement correctes la consommation de viande est l’un des principaux moteurs du changement climatique. « Je suis persuadé que l’autorisation du régulateur pour notre viande cultivée sera la première d’une série à Singapour et dans d’autres pays dans le monde », a relevé Josh Tetrick, cofondateur et PDG de Eat Just.

    Bienvenu dans le “monde d’après” où l’artificiel est roi…

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Dans un parc de Singapour, un chien robot pour faire respecter la distanciation sociale (video)

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2020

    La tyrannie liberticide par le moyen de la technique se profile chaque mois un peu plus, et les chocs psychologiques sur la  population (terrorisme – accepté par l’Etat soit dit en passant –, pandémie…) sont l’occasion de faire avancer soudainement le projet…

    « Il doit être “une sorte d’ambassadeur des distances de sécurité”, dans le contexte de l’épidémie de Covid-19, explique The Straits Times : depuis vendredi 8 mai, un chien robot nommé Spot “patrouille” dans le parc de Bishan-Ang Mo Kio, à Singapour, pour “rappeler aux gens les mesures de distanciation sociale”.

    Dans une vidéo mise en ligne par le journal, on peut voir l’appareil de couleur jaune avancer à quatre pattes, d’une démarche un brin mécanique. Et diffuser un message pré-enregistré à l’adresse des visiteurs du parc, leur enjoignant, d’une voix féminine, de respecter une certaine distance entre eux, “pour votre sécurité et celle de ceux qui vous entourent”. »

    « Le robot a été déployé dans le cadre d’un “essai pilote”, détaille l’article. Il est “équipé de caméras”, qui “grâce à un système d’analyse vidéo développé par le gouvernement”, doivent “aider” l’exécutif de la cité-État “à estimer le nombre de visiteurs dans les parcs”“Cependant”, assure le quotidien, ces caméras “ne pourront pas suivre ou reconnaître des individus spécifiques, ni collecter de données personnelles”.

    “Comme (le chien robot) est contrôlé à distance”, poursuit The Straits Times, la surveillance du parc “nécessite moins de personnel, ce qui contribue à réduire les contacts physiques entre les employés (…) et les visiteurs du parc. Cela permet de réduire leur risque d’exposition au coronavirus.” »

    Source Straitstimes
    via Courrier international