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taxés

  • Pas mal, pour illustrer et dégonfler le bobard de "l'essence chère"...

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2022

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    En gros, pour un plein de cent euros, on ne met que quarante euros d'essence, mais soixante euros de taxes, prélevées par le Système sur-taxeur, voleur, spoliateur...

    Une telle sur-taxe d'un produit, quel qu'il soit, cela ne se voit nulle part au monde...

     

    Source : lafautearousseau

  • Automobile : les Français font partie des plus taxés, loin devant de nombreux pays européens

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2020

    Par  le 17/08/2020

    L’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA), citée par Le Parisien, estime qu’en 2019, l’État français a récupéré 83,9 milliards d’euros de taxes automobiles. Ce qui place la France en deuxième position au niveau européen après l’Allemagne, qui trône avec un montant de 93,4 milliards. En moyenne un automobiliste français paie à 2.619 euros de taxes.

    Dans le détail, en France, 42,8 milliards sont dus aux carburants, ce qui place l’Hexagone en tête de cette catégorie. 18,5 milliards sont récoltés par la TVA, 12,6 milliards avec les péages, 5,1 milliards avec les taxes sur les assurances, et enfin 4,9 milliards pour ce qui est des autres taxes, les cartes grises notamment.

    Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’argent récolté par les différentes infractions routières ne rapporte «que» 1,7 milliard d’euros à l’État. […]

    cnews via fdesouche

  • Convention citoyenne : Taxes. Interdictions. Obligations. Bisous.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Posté par h16  Il y a 16 heures

    Convention citoyenne : Taxes. Interdictions. Obligations. Bisous.

    Poussé par le Président Macron et parrainé par le CESE, le Conseil Econotruc, Sociamachin et Enviromentable pendant plus de neuf mois, la « Convention Citoyenne pour le climat », assemblage hétéroclite de citoyens prétendument tirés au hasard, est en train d’accoucher de ses premières propositions.

    Comme tout accouchement après neuf mois de gestations intestines et picrocholines, la douleur est déjà sensible dans les rapports qu’en font les folliculaires : le choix des propositions qu’il a fallu écarter montre déjà quelques fractures dans nos citoyens conventionnés, et on sent que celles qui ont pour le moment été retenues promettent d’apporter du grain à moudre aux rédactions journalistiques, aux frémissants plateaux-télé et aux trépidantes émissions de radio dont on va inévitablement nous abreuver les prochains jours.

    Le mandat, définit en fin d’année dernière, était aussi clair qu’on peut l’être lorsqu’on parle environnement, climat, pollution, énergies « renouvelables » et autres gimmicks acidulés du moment : proposer des mesures visant à « réduire d’au moins 40% les émissions des gaz à effet de serre d’ici à 2030 dans une logique de justice sociale ». Difficile de faire à la fois plus large, plus inclusif, plus conscientisé et plus pertinent au moment où le pays peine à se relever d’une crise sanitaire puis économique mémorable et dont on imagine sans mal qu’elle va laisser de profondes blessures.

    Et pour s’en convaincre, il suffit de parcourir la liste des fameuses propositions citoyennes (150, sapristi, faisons péter la volumétrie) qui devraient réduire les gaz à effet de serre de 40% d’ici 2030 : contraindre la durée légale du travail à 28 heures par semaine (proposition étonnamment rejetée en ces temps de déroute économique complète), interdire dès 2025 la vente de véhicules neufs « très émetteurs » de CO2, taxer pour lever des fonds afin d’améliorer le forfait mobilité durable, les bonus-malus écologiques, les aides à la location longue durée pour véhicules propres, interdire les centres-villes aux véhicules « polluants », limiter la vitesse à 110km/h sur l’autoroute, contraindre fortement la publicité et interdire leurs panneaux dans l’espace public extérieur, bannir la publicité pour des produits à fort bilan carbone, taxer lourdement l’alimentation ultra-transformée, interdire les semences OGM, taxer fortement les engrais azotés, contraindre une forte diminution de leur utilisation ainsi que celle des pesticides et interdire les plus dangereux d’ici 2035, interdire les terrasses chauffées ou l’éclairage des magasins la nuit, taxer les dividendes des sociétés pour financer la transformation de l’outil productif, taxer, interdire, contraindre, etc…

    On le comprend : le citoyen ne s’est pas laissé berner par les discours ultra-libéraux de tous les journaux, toutes les radios, toutes les télévisions, de tous les politiciens qui n’en peuvent plus de vouloir toujours plus de liberté et de laisser-aller ou de laisser-faire. Au moins les propositions de ces citoyens conventionnés pour le climat sont, elles, enracinées dans le bon sens paysan de l’interdiction tous azimuts, de la taxe en pluie drue et des contraintes multiples qui ne laissent enfin plus libre cours aux idées libérales folles dans lesquelles (à l’évidence) se meurt le pays !

    150 propositions dont le potentiel à se transformer en autant de belles lois bien solides, avec sanctions, interdictions, obligations et taxations à la clé, c’est du pain béni pour un Emmanuel Macron qui, autrement, était acculé à devoir réformer un pays dont tout indique qu’il ne le veut surtout pas.

    Cerise constitutionnelle sur le gâteau citoyen : la Convention penche lourdement pour l’inscription dans la Constitution de la préservation de la biodiversité, de l’environnement et de la lutte contre le dérèglement climatique, d’une part parce que cette préservation est à la fois simple à définir et encore plus simple à mettre en oeuvre, et surtout parce que le principe de précaution, précédente modification constitutionnelle d’importance, n’a en effet pas suffit pour paralyser totalement le pays pendant la crise sanitaire où toutes les administrations, tétanisée par la peur de n’avoir justement pas pris assez de précautions, ont noyé tout le monde dans les règlements et interdictions.

    Un monde à l’arrêt total est possible, ne nous laissons pas stopper en si bon chemin !

    Parions que cette idée géniale de constitutionnaliser un concept flou remportera un vif succès, tout comme il était évident – comme je l’avais prédit il y a quelques temps déjà – que nous n’échapperons pas à la sanctuarisation du concept dangereusement idiot d’écocide avec inscription dans le code pénal et sanctions afférentes.

    Ah, décidément, cette Convention citoyenne machin-bidule va probablement débouler au mieux sur des douzaines d’articles de lois mal torchés écrit par quelques Tâcherons En Marche, au pire sur un référendum bancal et ajouter plusieurs paires de lourds boulets législatifs à un pays qui n’en peut plus de sombrer dans des contraintes, des taxes et des interdictions délétères.

    Le pompon est que, sachant qu’un arrêt presque complet de l’économie pendant 3 mois n’a pas réussi à faire baisser les gaz à effet de serre (ils ont benoîtement continué d’augmenter, lançant un joli pied de nez aux écolos hystériques), on se doute que l’empilement de ces bondieuseries (bien plus communistes qu’écolos au passage) n’aura aucun impact de ce côté-là.

    Dans un monde où chaque gain de richesse se traduit directement par une baisse de la pollution, la France et son peuple contrariant a paradoxalement choisi l’appauvrissement, la décroissance, le repli sur soi et la misère (énergétique, industrielle et surtout intellectuelle) en feignant de croire que ça lui permettrait d’être plus « verte », plus « propre », plus « conscientisée ».

    Pour cette France totalement déconnectée du réel, le « Monde d’Après » sera résolument serein, tendre et cotonneux, rempli de cette délicieuse insouciance que les enfants partagent lorsque les soucis n’existent plus. En attendant, il semble que la seule solution pour y arriver soit de taxer, d’interdire, d’obliger et (bientôt, ne vous inquiétez pas) de passer par les armes ceux qui s’y opposeront.

    En toute gentillesse solidaire, bien sûr.

     

    Source : ndf

  • Fiscalisme : plus Darmanin parle de baisses,     plus les taxes augmentent.

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2019

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    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans

     

    Dans le Journal Du Dimanche, le ministre des comptes publics, Gérard Darmanin affirme et claironne que, depuis l’arrivée à l’Élysée d'Emmanuel Macron, la pression fiscale exercée sur les Français et sur nos entreprises n'a cessé de baisser.

    Les retraités qui subissent une augmentation de 1,7 % de la CSG, sans aucune contrepartie mais avec gel de l’indexation sur le rythme de l’inflation, les automobilistes sur lesquels pèse toujours l’épée de Damoclès de l’augmentation de la taxe sur les carburants qui n'a été, par l’action des Gilets jaunes, supprimée que pour l’année 2019, et l’ensemble de nos compatriotes à qui le gouvernement avait promis la suppression de la taxe pour 2021 et qui constatent que cette mesure est bel et bien repoussée jusqu’à 2022 au plus tôt, apprécieront
    Sans même évoquer le poids de la fiscalité sur le tabac (80 % du prix du paquet de cigarettes) qui a rapporté à l’État 15 millions d'Euros en 2018, ce n'est pas moins de 10 taxes, impôts ou contributions nouvelles qui, depuis mai 2017, ont été créés ou fortement relevés par la République macronnienne.
     
    • La taxe inondation
    En vigueur depuis le 1er janvier 2018, la taxe Gemapi (gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations) qui sert à l'entretien des ouvrages de protection contre les crues (comme les digues ou les bassins de rétention). Ces missions - et donc leur collecte - ont d’ailleurs été transférées aux intercommunalités ce qui nullement Bercy de prélever sa dîme.
     
    • La taxe soda
    En vigueur depuis le 1er juillet 2018, elle vise les boissons non-alcoolisées comme les sodas et les jus de fruits à partir de 5 g de sucre par 100 ml. À partir de 8 g, le montant de la taxe double et à partir de 10 g, il triple.
     
    • La taxe additionnelle à la taxe sur les cartes grises
    En vigueur depuis le 1er janvier 2018, cette taxe peut coûter jusqu'à 8 000 €. Elle sert à limiter les émissions de gaz à effet de serre causées par les véhicules à moteur. Le montant dépend du nombre de chevaux fiscaux du véhicule.
     
    • L’IFI, l'impôt sur la fortune immobilière
    Depuis le 1er janvier 2018, l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) a été transformé en un impôt sur la fortune immobilière (IFI). Tout particulier est soumis à l'IFI si la valeur nette de son patrimoine immobilier excède 1,3 million €. Celui-ci comprend tous les biens et droits immobiliers détenus directement et indirectement au 1er janvier. Impôt injuste, punitif et incantatoire au droit de chacun à se constituer un patrimoine et de le transmettre à ses enfants
     
    • La taxe sur la vente de logement par les offices HLM
    La taxe sur les plus-values réalisées par les bailleurs sociaux (offices HLM et SEM) s'ils revendent un logement social à un particulier. Elle sera versée à la Caisse de garantie du logement locatif social qui la reversera au Fonds National des aides à la pierre.
     
    • La taxe sur l'exploration des hydrocarbures
    Mise en place au 1er janvier 2018, elle concerne les titulaires du permis de recherches d'hydrocarbures liquides ou gazeux.
     
    • La taxe sur l'exploration des gîtes géothermiques à haute température
    Elle sert à financer le développement des énergies renouvelables et concerne les titulaires des permis de recherches de gîtes géothermiques à température élevée.
     
    • La taxe "papier"
    La taxe pour le développement des industries de fabrication du papier, du carton et de la pâte de cellulose concerne les fabricants de certains produits. Cette taxe est reversée aux collectivités locales en charge de l'élimination et du recyclage des déchets. Les entreprises de presse peuvent remplacer la contribution financière par des prestations en nature (comme insérer des encarts publicitaires).
     
    • Les taxes additionnelles pour les sociétés
    Elle concerne les entreprises qui payent l'impôt sur les sociétés (IS) et ont été mises en place par deux lois de finances rectificatives votées dès le début du quinquennat. Elles peuvent aller jusqu’à peser sur 30 % du bénéfice des entreprises.
     
    • La taxe « Abri de jardin » 
    qui concerne un très grand nombre de nos compatriotes propriétaires. Elle vient de subir une forte hausse de 3,8 % au 1er janvier 2019, après une augmentation de 3 % en 2018.