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  • Nagasaki fut « choisie » et rasée par le franc-maçon Truman, parce qu’elle était la capitale du catholicisme au Japon.

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2022

     
    Nagasaki fut « choisie » et rasée par le franc-maçon Truman, parce qu’elle était la capitale du catholicisme au Japon.

    « Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page. »

    Quand le 9 août 1945 le président américain Truman (ancien petit commerçant droguiste newyorkais qui ayant fait faillite, finit par « entrer » en politique), franc-maçon et grand maître de la loge du Missouri, a choisi la ville de Nagasaki pour le largage de la deuxième bombe atomique “fat man”, cela- contrairement aux idées reçues- ne fut pas motivé par des raisons militaires et techniques mais parce que c’était la capitale du catholicisme au Japon.

    En rasant Nagasaki, Truman fit d’une pierre trois coups:

    1) Il mit certes fin à la guerre (encore que la guerre était au fond déjà gagnée par les USA)
    2) il affirma sa supériorité technologique vis-à-vis de Staline et de l’URSS, et ce, pour être en position de force lors des négociations à venir.
    3) Il se débarrassa de l’Église Catholique au Japon qui était justement très florissante dans la ville de Nagasaki.

    Notons, en outre, que même Hiroshima était une des villes japonaises qui comptait une importante communauté catholique…Eh oui, les deux villes martyres japonaises, étaient aussi les deux villes catholiques. Étrange hasard, non ?

    Étant donné, à ma connaissance, que j’ai été le seul à faire le lien entre la haine maçonnique contre l’Église (dont Truman était le représentant du moment) et le choix de Nagasaki comme deuxième ville japonaise à être rayée de la carte, j’ai décidé de réaliser cette vidéo. Je précise en outre que la fameuse phrase de l’ancien ministre français Vincent Peillon «tant qu’il y aura des catholiques en France, ce pays ne pourra pas être libre» (qui, en creux, était une sorte d’invitation au meurtre à peine voilée), m’a probablement aidé à avoir ce déclic.

    Bien évidemment le peuple américain, pas plus que le peuple français, n’est responsable de la trahison de ses élites. Mes critiques ne s’adressent donc pas au “peuple” mais à ses dirigeants.

    Jean-Pierre Aussant