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  • Banquet des dix ans du Parti de la France

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

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    Le légendaire Roger Holeindre, Président d'Honneur du Parti de la France, Président du Cercle National des Combattants, interviendra lors du Banquet des 10 ans du Parti de la France qui se déroulera à Paris le 11 mai prochain.

    Attention, ne tardez pas à réserver, les places sont limitées et le nombre de participants augmente de jour en jour !

    https://www.facebook.com/events/2060639270908090/

  • Hommage à Marie-France Stirbois

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

     
     
    Hommage à Marie-France Stirbois
    Il y a treize ans, disparaissait l'une des figures les plus attachantes et des plus combattantes du Mouvement National, Marie-France Stirbois. Elle qui n'a jamais rien renié, ni rien cédé aux sirènes illusoires de la dédiabolisation, reste dans la mémoire des militants nationaux comme un modèle d'engagement et de fidélité.
     
    Marie-France Stirbois, présente !
  • Affaire Bardella : ce qu’on lui reproche est pire que pour Fillon !

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

    Une bombe. Tout simplement une bombe. Dans un article paru ce jeudi 18 avril, Challenges révèle que Jordan Bardella — tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes — aurait été l’assistant à mi-temps de Jean-François Jalkh, eurodéputé FN et par ailleurs adorateur du maréchal Pétain, du 16 février au 30 juin 2015. Une expérience dont il n’a jamais fait référence oralement, dans son CV, sa page Wikipedia ou ses tweets.

    Et pour cause : le Parlement européen le soupçonne d’avoir été un emploi fictif ! Le magazine Challenges révèle que son nom apparaît dans un listing daté du 25 avril 2017 où l’institution recense les assistants des eurodéputés RN pour lesquels il craint « un usage irrégulier de l’indemnité ». Comment en effet, à 19 ans, M. Bardella aurait-il pu être tout à la fois assistant parlementaire de M. Jalkh, secrétaire départemental du FN en Seine-Saint-Denis et « chargé de mission » au pôle veille et prospective du Front national pour la rondelette somme de 2 600€ par mois ?

    Aymeric Chauprade, ancien eurodéputé mis en cause dans cette affaire déclarait aux enquêteurs que M. Bardella occupait ni plus ni moins qu’un emploi fictif. « Concernant Jean-François Jalkh, M. Jordan Bardella a-t-il réellement exercé des fonctions d’assistant parlementaire local ? » demandait le 28 mars 2017 l’officier de police judiciaire à M. Chauprade. « Pour moi, non, répondait-il alors. Il s’agit d’une personne s’occupant de la communication de M. Philippot, il n’est pas dans l’environnement de M. Jalkh et n’est pas sur des activités parlementaires mais plutôt dans les réseaux sociaux ».

    Challenges révèle également que le supérieur hiérarchique direct de Jordan Bardella sur l’organigramme du parti en 2015 était Loup Viallet, lui-même suspecté d’avoir été un emploi fictif au Parlement européen alors qu’il s’occupait dans le même temps de la prospective du FN, ce qu’il avait reconnu devant les enquêteurs, admettant une « ambiguïté » entre ses deux fonctions.

    Il doit renoncer à être tête de liste

    Entre l’émotion nationale autour de Notre-Dame et le weekend pascal à venir, ce soupçon d’emploi fictif concernant Jordan Bardella risque de passer quelque peu inaperçu. Ce qu’on lui reproche est pourtant pire que les accusations portées à l’encontre de François Fillon début 2017 ! François Fillon, c’était sa femme qui était soupçonnée d’emploi fictif, pas le candidat lui-même. Là, l’accusé numéro un, c’est la tête de liste RN pour les européennes et personne d’autre !

    M. Bardella n’est à l’heure actuelle coupable de rien ni même inquiété par la justice et nous sommes attachés à la présomption d’innocence. Mais les révélations du magazine Challenges doivent conduire les juges à interroger M. Bardella dans le cadre de l’enquête sur les emplois fictifs du FN au Parlement européen, comme ils ont interrogé Mme Le Pen hier.

    Mais sans même attendre la justice, Jordan Bardella doit renoncer à conduire la liste RN pour les européennes. Au nom de la transparence et de l’exemplarité en politique. Au nom du respect des électeurs. Les faits dont il se serait rendu coupable sont gravissimes et portent directement atteinte à notre démocratie en entachant la confiance des citoyens envers ses représentants élus. La tolérance 0 que le RN revendique à tout bout de champ, il doit d’abord se l’appliquer lui-même !

    Car oui, petite parenthèse, vous les trouverez toujours pour dénoncer chez les autres des agissements bien moins répréhensibles que ceux pour lesquels on les accuse. Mais c’est qu’avec eux, aucune responsabilité ne saurait être engagée de leur part : ils se posent sans cesse en position de « victimes » d’un « système » qui ne chercherait qu’à les détruire, souvenez-vous du cirque permanent des 500 signatures à l’élection présidentielle ou du financement de leurs différentes campagnes. Mais revenons au sujet qui nous intéresse.

    Bardella complice d’un système de fraude généralisé ?

    Les révélations de Challenges viennent encore apporter une lumière supplémentaire sur un véritable système mafieux mis en place par le FN vis-à-vis du Parlement européen et dont Marine Le Pen aurait été une des principales instigatrices selon Sophie Montel. Ce système, c’était celui visant à détourner les fonds européens pour permettre de payer des salariés qui travaillaient en réalité pour le parti d’extrême droite et non pour le Parlement européen, ce qui est totalement interdit comme vous pouvez l’imaginer.

    Toutes les personnalités de premier plan du RN, ancien FN, sont mêlées de près ou de loin à ce système de fraude, qui vient s’ajouter par ailleurs à d’autres magouilles comme l’affaire des packs de communication surfacturés à destination des candidats du parti frontiste aux diverses élections locales. Depuis l’arrivée de Marine Le Pen, la dette du FN/RN a explosé de 787% ! Cette gestion catastrophique a obligé les cadres frontistes à trouver divers dispositifs pour tenter de renflouer les caisses, de l’emprunt populaire à la mise en place de fraudes.

    Bardella est donc sans aucun doute mouillé, comme toutes les autres personnalités qui ont fait partie de l’équipe RN depuis 10 ans. Un exemple : parmi les candidats du Rassemblement national pour les élections européennes à venir, on trouve Dominique Bilde, Catherine Griset ou Nicolas Bay, tous mis en examen dans cette affaire des emplois fictifs du Parlement européen. Et on ne parle pas de faits mineurs : Nicolas Bay a vu son accusation requalifiée en juin dernier « d’abus de confiance » à « détournements de fonds publics », excusez du peu.

    Et hier, mercredi 17 avril, c’était carrément Marine Le Pen qui était entendue par les juges chargés de cette même enquête. Elle aussi mise en examen pour « détournements de fonds publics », elle est soupçonnée d’avoir rémunéré sa cheffe de cabinet au FN et son garde du corps entre 2009 et 2016 en utilisant son enveloppe d’ancienne eurodéputée. Elle est aussi accusée d’avoir « donné des instructions » afin de mettre en place « de manière concertée et délibérée » ce que ces juges d’instruction appellent un « système de détournement »

     

    Source : medium.com

  • Lilian Thuram trouve « bizarre » que l’incendie de Notre-Dame suscite plus d’émotions que la situation des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

    Par  le 18/04/2019

    L’ancien défenseur des Bleus, Lilian Thuram, en Corse pour parler racisme avec des élèves, a jugé « bizarre » ce jeudi les « hiérarchies » existant entre l’émotion suscitée par l’incendie de la cathédrale Notre-Dame et celle concernant les migrants.

    (…) Lors d’un point-presse organisé à l’issue de rencontres avec des collégiens et lycéens à Sartène, Propriano et Ajaccio mardi, mercredi et jeudi pour lutter contre les préjugés et stéréotypes, Lilian Thuram s’est dit « interpellé » par la vague immense de solidarité suscitée par l’incendie de Notre-Dame de Paris.

    « (…) On a l’impression que, parfois, il y a des hiérarchies qui s’installent dans l’émotion »« Il y a des gens qui meurent en voulant traverser la Méditerranée et en fait, le monde n’est pas ému comme ça », a-t-il noté.

    « Il y a des gens qui veulent faire des murs pour qu’il y ait des personnes qui ne viennent pas, mais en fait, ils sont capables d’envoyer des tweets pour dire : ‘est-ce que vous avez besoin d’aide pour éteindre le feu?’, comme l’a fait Donald Trump. C’est bizarre », a souligné l’ancien champion du monde, aujourd’hui très actif dans la lutte contre le racisme via sa fondation.

    RMC Sport via fdesouche

  • La justice confirme le droit de porter un voile islamique dans le secteur privé

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2019

    Par  le 18/04/2019

    La cour d’appel de Versailles a donné raison ce jeudi à une salariée licenciée en 2008 pour avoir refusé de retirer son voile.

    La cour d’appel de Versailles (Yvelines) a tranché ce jeudi. On a le droit de porter le voile islamique dans une entreprise privée. Après plus dix ans de procédure, elle a donné raison à Asma Bougnaoui, renvoyée en 2008 d’une société de conseil informatique de Levallois (Hauts-de-Seine) parce qu’elle refusait d’ôter ce morceau de tissu. Les magistrats ont annulé le licenciement et condamné la société Micropole à verser à leur ex-employé une somme de plus 23 000 euros.

    Elle avait refusé de retirer son voile

    Ingénieur informatique chez Micropole, Asma Bougnaoui avait été licenciée un an après son embauche, car Groupama, un client chez qui elle intervenait, à Toulouse (Haute-Garonne), s’était plaint. Non pas de son travail : selon l’assureur, la venue de cette femme voilée dans ses locaux engendrait de la gêne parmi ses collaborateurs. Ses responsables avaient demandé qu’elle le retire lors de ses prochaines interventions chez eux, mais la salariée avait refusé et Micropole l’avait mise à la porte.