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  • Nuit de violences à Oyonnax (01) : des scènes de guérilla urbaine en plein cœur de la ville, 3 policiers blessés, les habitants sous le choc (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

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    07/11/2020

    Les images sont impressionnantes. Des poubelles brûlées, feux d’artifice, pétards, des scènes de guérilla urbaine en plein cœur d’Oyonnax. Des voitures ont même été brûlées. Dans la soirée de vendredi d’importantes échauffourées ont opposé la police et des habitants non loin du Stade Charles-Mathon, à proximité du quartier de la Plaine, vers le cours de Verdun. La police et les pompiers sont intervenus pour éteindre les divers incendies et disperser les individus. La BAC a dû être appelé en renfort, tout comme le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Valserhône et Bourg-en-Bresse. L’heure n’est pas encore au bilan, mais beaucoup de mobiliers urbains ont été dégradés.

    La Voix de l’Ain


    Les tirs de mortiers d’artifice ont blessé trois policiers, dont l’un s’est vu prescrire 30 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT) selon l’AFP. La Brigade Anti-Criminalité de Bourg-en-Bresse est venue prêter main forte à leurs collègues. Les faits se sont déroulés à proximité du Stade Charles-Mathon, du cours de Verdun et de la rue Normandie-Niemen, dans le quartier de la Plaine.

    Selon des sources policières, ces faits pourraient s’expliquer par un contre-coup du confinement. Des petites bandes pourraient “s’amuser” le soir en créant des “provocations“, pour s’occuper.

    (…) France 3


    06/11/2020

    Les tirs de mortiers et jets de cocktails Molotov se sont multipliés, certains d’entre eux auraient visé les policiers. Leurs collègues de la BAC de Bourg-en-Bresse ont été appelés en renfort.

    Plusieurs feux, au moins six, se déclarent sur la voie publique, l’intervention des pompiers a longtemps été compliquée voire périlleuse. Plusieurs véhicules ont été calcinés, notamment à proximité du centre social ouest, et le mobilier urbain a été dégradé.

    Vers 22 heures, le harcèlement des forces de l’ordre par les tirs de feux d’artifice se poursuivait, de façon intermittente mais soutenue.

    Le Progrès

  • A l’unanimité, les députés français bradent le patrimoine inaliénable de nos musées.

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Le 6 octobre 2020, après avoir été présenté en Conseil des ministres et approuvé à l’unanimité par les commissions de la culture et des affaires étrangères, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité des présents (où étaient les députés du RN et ceux de la « droite de conviction » ?), le scandaleux projet de loi n°3221 sur rapport de M. Yannick Kerlogot, dérogeant au principe d’inaliénabilité du patrimoine national.

    députés français,musées,patrimoine inaliénableComposée de deux articles, cette loi stipule qu’à compter de l’entrée vigueur du texte, 26 œuvres d’art provenant du trésor du grand chef esclavagiste Béhanzin, roi d’Abomey (voir à ce sujet mon livre « Esclavage, l’histoire à l’endroit ») conservés au musée du quai Branly, cesseront de faire partie des Collections nationales.

    Or, il faut savoir que ce texte a été présenté en procédure accélérée, en loi d’exception, et non en loi de portée générale, ce qui signifie qu’il ne passera qu’une seule fois devant les deux chambres. Où était donc l’urgence en ces « temps de guerre » contre le terrorisme islamiste et le Covid ?

    Cette loi qui déshonore ceux qui l’ont votée mais également ceux qui, par leur absence se sont rendus complices du vote alors qu’ils n’ignoraient pas que sa discussion allait venir en séance, concrétise une promesse unilatérale faite par Emmanuel Macron le 28 novembre 2017 quand, lors d’une visite d’Etat au Burkina Faso, il déclara : « D’ici à cinq ans, je veux que les conditions soient réunies pour des restitutions temporaires ou définitives du patrimoine africain à l’Afrique ».

    Allant vite en besogne, et en violation flagrante du principe d’inaliénabilité des biens inscrits aux Inventaires nationaux, le 17 novembre 2019, à Dakar, le « sabre d’el-Hadj Omar » fut remis au président sénégalais Macky Sall - d’ethnie toucouleur comme el-Hadj Omar -, par le Premier ministre français Edouard Philippe. Or, cette arme qui, soit dit en passant, n’a rien d’africain puisqu'il s’agit d’un sabre d’infanterie de l’armée française modèle 1821 forgé à Kligenthal, en Alsace, honore la mémoire d’un conquérant « sénégalais » qui mit en coupe réglée et vendit comme esclaves les ancêtres de 90% de la population de l’actuel Mali…et d’une partie de celle du Burkina Faso...Un beau geste de paix dans l’actuel contexte de jihadisme…

    Dans la foulée de sa visite au Burkina Faso, le président Macron demanda un rapport sur les « restitutions » à Felwine Sarr de l’Université de St-Louis du Sénégal et à Bénédicte Savoy, historienne de l’Art et militante engagée que la sénatrice Catherine Morin-Desailly qui fut présidente de la commission de la culture au Sénat qualifie d’ « activiste ».

    Rendu le 23 novembre 2018, le rapport proprement surréaliste tant il est caricatural par son aveuglement idéologique et son ignorance historique, recense 46.000 (!!!) œuvres africaines qui devraient être « restituées » sur les 90.000 conservées dans les musées français ….

    Dans ce rapport, l’on peut lire que « les collections africaines conservées dans les musées occidentaux (sont) une frustration née de la colonisation (… et) une sorte de totem de cette souffrance ». Pour Bénédicte Savoy, toute œuvre d’art africaine conservée en France et plus généralement en Europe est en effet postulée être le produit d’un pillage…

    Une telle impudence a entraîné la vive réponse d’Hermann Parzingzer, président de la Fondation du patrimoine prussien qui gère de très nombreuses collections africaines et qui a qualifié le rapport « de jargon dominé par une idéologie d’expiation et de pénitence ».

    Cette présomption de « pillage » va donc contraindre les musées français à démontrer le caractère « légal » des acquisitions. Mais comment établir la traçabilité des achats, des échanges, des commandes datant parfois de plusieurs siècles, et des dons de collectionneurs, ces derniers constituant plus de 50% des collections ? 

    Alors que l’on attendait une vive réaction du Sénat, le 4 novembre 2020, ce dernier, tout en protestant, a lui aussi voté à l’unanimité (où étaient les sénateurs RN et ceux de la « droite de conviction ?), se contentant d’amender le texte en changeant simplement le mot « restitution » signifiant « rendre quelque chose que l’on possède indûment » par « retour »… Une grande marque de « virilité » qui constitue une garantie pour l’avenir de nos musées…

    La boite de pandore ayant été imprudemment et idéologiquement ouverte par Emmanuel Macron, cinq pays africains se sont immédiatement engouffrés dans la brèche offerte par la loi, en réclamant dès à présent 13.000 objets qui sont pourtant autant de biens inaliénables du patrimoine français.

    Mais plus encore, de nuit, en catimini, quasi clandestinement, la couronne du dais de la reine Ranavalona conservée au musée de l’Armée depuis 1910 et qui n’est pas une prise de guerre, mais le don d’un particulier, a été « restituée » à Madagascar. Qui avait autorité pour autoriser une telle sortie d’un bien inaliénable inscrit aux Inventaires nationaux ? Qui a donné l’ordre de cette inadmissible spoliation ?

    Quelle association habilitée osera porter l’affaire devant les tribunaux afin que toute la lumière soit faite sur ce scandale ? D'autant plus que la convention de l’UNESCO de 1970 concernant les œuvres d’art conservées dans les musées n’est pas rétroactive. 

    Précision ne manquant pas de « sel », la couronne de la reine Ranavalona, une superbe pièce en vermeil ornée de sept fers de lance représentant les sept maisons princières et surmontée d’un aigle était conservée dans le palais d’Andafiavaratra à Antananarivo… où elle a été volée en 2011…

    La « restitution » des œuvres d’art à l’Afrique est donc un gage de pérennité… Nous l’avons d’ailleurs observé avec les manuscrits de Tombouctou détruits par les jihadistes ou avec le pillage des collections du musée de Butare au Rwanda au moment du génocide… Si toutes ces collections avaient été abritées dans des musées européens, elles existeraient encore …

    Bernard Lugan

    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/

  • Le Toulousain Antoine Dupont élu meilleur joueur du Tournoi des VI Nations...

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    antoine dupont,meilleur joueur du tournois des 6 nations,toulousain

    Mal en point depuis bien trop d'années, le Rugby français a relevé la tête, ces derniers mois, et a fait un très bon Tournoi, qu'il aurait même pu gagner.

    Le public a son mot à dire, depuis quelques temps déjà, dans le sport, et c'est très bien ainsi : on se souvient que le magnifique but de Benjamin Pavard, lors du dernier Mondial de foot, avait été élu "plus beau but de la Compétition" par un vote des supporteurs du monde entier.

    C'est la même chose pour le Rugby: les supporteurs, d'où qu'ils soient, donnent leur avis et élisent "le meilleur joueur de la Compétition". Cette fois-ci, Il n'y a pas eu photo !. Après avoir survolé le Tournoi de VI Nations, le joueur du Stade Toulousain, Antoine Dupont (23 ans) a logiquement été élu meilleur joueur de la compétition par le public.

    Alors qu'il faisait face à cinq autres joueurs dont l'ouvreur du Stade, Romain Ntamack, et le Gersois Grégory Alldritt, Antoine Dupont a récolté à lui seul 46% des suffrages. Une juste récompense pour le demi de mêlée qui a ébloui le Tournoi de sa classe. 

    En plus des trois joueurs français, les 44.000 votants avaient aussi le choix entre l'Irlandais CJ Stander et les deux Anglais Maro Itoje et Ben Youngs, pourtant vainqueurs de la compétition avec le XV de la Rose. 

    (éléments d'information : La Dépêche)

     

    Source : lafautearousseau

  • “Est-ce qu’on a raté quelque chose ?” : les difficultés des services de renseignement face aux derniers attentats islamistes en France

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Les assaillants des trois attaques perpétrées depuis septembre étaient passés sous le radar des services. Des failles structurelles sont-elles en cause dans ces ratés ? Si le phénomène d’un jihadisme de proximité n’est pas nouveau, le contexte dans lequel il s’inscrit dépasse la seule problématique de la détection.

    On parle beaucoup des services [de renseignement] comme des institutions. Moi je travaille depuis sept ans avec des hommes et des femmes de conviction. Ils ne sont pas rentrés là parce qu’ils ont vu de la lumière. Chaque attentat est ressenti comme un échec pour nous“, lâche-t-il derrière l’écran qui masque son visage. Au même moment, les téléphones portables se mettent à vibrer dans la salle d’audience : un homme vient d’attaquer au hachoir deux personnes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. […]

    Un haut gradé de la DGSI reconnaît que le “travail d’initiative pour détecter ceux qui ne sont pas connus” des services doit être renforcé, en plus du suivi des 8 000 personnes déjà surveillées pour radicalisation islamiste. Mais il observe que si le mode opératoire des assaillants n’est pas nouveau – un jihad de proximité dit “low cost” avec une attaque isolée à l’arme blanche – leur profil l’est davantage : “On a affaire à des individus très déterminés qui ne justifient pas leur action au nom d’une organisation terroriste, mais au nom de leur religion, avec une atteinte portée au prophète.” Selon ce fonctionnaire, le contexte politique et diplomatique, avec une opinion dans certains pays musulmans très hostile à la France, peut expliquer l’origine étrangère de ces combattants, plus difficiles à détecter. […]

    Pour ce spécialiste, la question récurrente de la détection réactive les tensions “entre libertés et sécurité”. “L’idée même que tous les individus puissent être détectés et évalués en termes de menace renvoie à un autre régime politique que le nôtre...” estime Benjamin Oudet. “Nous avons tout sous les yeux, mais nous sommes en difficulté d’en déduire un référentiel d’action, car cela soulève des questions douloureuses : politique migratoire, politique de la ville, mémoire de la colonisation, politique étrangère ou encore opérations militaires extérieures françaises.” Des problématiques qui dépassent de loin les fonctions du renseignement.

    francetvinfo via fdesouche

  • Allah avant Marianne, c’est bien normal

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Depuis quelques heures, mais ce n’est pas la première fois, je vois des hommes de mon camp se plaindre du fait que les musulmans préfèrent leur dieu à la République. Mais, loin d’être étonnante, cette « information » est absolument normale.

    En effet, la République est un régime détestable, né dans le sang des royalistes et des catholiques, qui n’a à proposer aux habitants de France que des valeurs hautement décadentes, comme l’avortement, l’homosexualité, l’antiracisme et la pornographie. J’espère que tous les catholiques de France placent le salutaire décalogue au-dessus des détestables droits de l’homme.

    Il y a deux choses à comprendre à ces sondages si l’on veut continuer à penser droit, et pas se retrouver à défendre le « régime » de Gérard Larcher face aux sectateurs de Mahomet. Tout d’abord, il est absolument normal que des peuples fiers, enracinés et identitaires conchient la République, cette parodie de régime qui a remplacé la patrie de nos pères par la patrie des idées des clubs et des loges. Ensuite, que les musulmans préfèrent la religion de leurs pères plutôt que la doctrine de professeurs qui montrent Mahomet le cul à l’air sur des dessins d’adolescents attardés c’est bien normal, mais à vrai dire on s’en fout, car la place des musulmans… c’est dans un pays musulman, donc hors de France !

    Au lieu de s’inquiéter du peu d’intérêt des musulmans pour la République maçonnique et apatride, les hommes de la droite nationale feraient mieux de se focaliser sur l’essentiel : rendre la France aux Français et donc, notamment, inverser les flux migratoires.

    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France