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  • Baisser le chauffage, éteindre les lumières ? PLUTÔT RÉ-OUVRIR FESSENHEIM !

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2021

    Les escrolos, qui ne représentent que fort peu de chose, ont imposé à Macron, qui a accepté ce marché de dupes, la fermeture de Fessenheim.

    Résultat : l'hiver étant plus rigoureux que d'habitude, cette année, on va frôler la rupture d'approvisionnement.

    Et que (nous) demandent les escrolos ? De baisser le chauffage, d'éteindre les lumières !

    C'est hors de question !

    Si Barbara Pompili et sa secte verte rêvent d'un retour à l'âge des  cavernes, veulent s'habiller de peau de bête et manger leur steack de soja cru, c'est leur affaire, pas la nôtre !

    Nous, nous payons des impôts, et nous voulons avoir le services qui vont avec, en retour. Nous ne voulons pas vivre dans le noir, chez nous, ni avoir froid, ni ne plus cuire nos tartiflettes, choucroutes et autres cassoulets. 

    La secte verte a exigé que l'on ferme Fessenheim - cette folie ! - et Macron a stupidement et follement obéi à cette injonction insensée. 

    En attendant la mise en service de Flamanville, la seule solution raisonnable est de ré-ouvrir Fessenheim, puisque c'est uniquement du point de vue réglementaire que sa ré-ouverture est impossible.

    Mais, un règlement, cela se change...

    Les soi-disant Verts dussent-ils en devenir... verts de rage; ou y voir rouge, au choix, ce qui correspondrait mieux à leur vraie couleur politique !

     

    Source : lafautearousseau

  • Argentan (61) : les patrons d’une crêperie se mobilisent pour tenter d’empêcher l’expulsion de leur employé, un clandestin ivoirien qui dit avoir 18 ans

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2021

    En décembre 2020, Sekou Keita, jeune Ivoirien employé en apprentissage dans une crêperie d’Argentan (Orne), s’est vu signifier son obligation de quitter le territoire français (OQTF). La préfecture de l’Orne stipule que cette décision a été prise car le dossier du jeune homme « ne donne pas la garantie de la véracité des éléments qu’il avance ».

    En décembre 2020, Sekou Keita, jeune Ivoirien employé en apprentissage dans une crêperie d’Argentan (Orne), s’est vu signifier son obligation de quitter le territoire français (OQTF). Ses patrons, Yannick et Esthelle Lelièvre, se mobilisent sur les réseaux sociaux pour contester cette décision.

    Sollicitée, la préfecture de l’Orne indique les raisons de cette décision : « L’étranger qui sollicite la délivrance d’une première carte de séjour doit présenter les justificatifs justifiant de son état civil et de sa nationalité, conformément au Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. En l’état, le dossier de cette personne, constitué des éléments qu’elle a fournis, ne donne pas la garantie de la véracité des éléments qu’elle avance. »

    Ouest-France via fdesouche

  • Les vaccins peuvent faire disparaître le virus, mais pas la crise

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2021

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    Marc Rousset

    La Bourse de Paris a fini au-dessus des 5.700 points, ce vendredi, portée par les perspectives optimistes de reprise économique, suite à la vaccination. Wall Street a également clôturé sur des records, ignorant les mauvais chiffres de l’emploi américain. En décembre, 140.000 emplois ont été perdus, alors que les analystes tablaient sur 112.000 emplois créés. Quant à la folie Tesla, elle continue puisque l’action s’est approchée des 900 dollars, faisant d’Elon Musk l’homme le plus riche du monde, la capitalisation boursière de Tesla (834 milliards de dollars) représentant 80 fois celle de Renault et dépassant celle de Facebook.

    Certains se pâment d’admiration devant les nouveaux cours record du Bitcoin, qui s’approche des 40.000 dollars, alors que d’autres peuvent y voir, au contraire, une preuve supplémentaire de folie spéculative. Le cours anormalement élevé du Bitcoin est un canari dans la mine, qui annonce des explosions à venir. Acheter du Bitcoin consiste, en effet, à acheter du rien, avec de la monnaie de singe des banques centrales créée à partir de rien.

    Tous les boursiers dans le monde parient sur une forte reprise en été au plus tard mais, même si la pandémie disparaît, l’économie ne renaîtra pas, tel le phénix, de ses cendres. Il y a, déjà, 650.000 chômeurs de plus en France, soit 3 millions de chômeurs au total ; 25 % des Français seraient déjà dans la précarité. En 2020, la France a perdu plus de 250 milliards d’euros de PIB, avec une dette qui a davantage augmenté. Viendra le moment où l’État retirera l’assistance respiratoire aux entreprises ; ce sera alors le temps des faillites et des destructions massives d’emplois.

    La croissance, en 2021, peut très bien être proche de zéro, en France, avec des conséquences catastrophiques pour les finances publiques et l’endettement. Quant aux États-Unis, le marché du travail vient de retrouver son niveau du début des années 70, avec 60 % seulement de la population sur le marché du travail, au lieu de 67 % de 1990 à 2010. On assiste, en fait, à la destruction des classes moyennes, aussi bien aux États-Unis qu’en Europe, et lorsque les aides seront supprimées, il y aura des suicides et des descentes aux enfers effroyables pour un trop grand nombre de malheureux.

    Bruno Le Maire ne partage pas l’analyse de ceux qui pensent qu’après une année 2020 catastrophique, 2021 sera fantastique. Il pense que « le plus difficile est devant nous : avec un virus qui persiste et qui mute, plus de faillites, de destructions d’emplois et d’incertitudes politiques ». Il pèche, cependant, par optimisme en prétendant croire que la France peut se redresser en 2021 et afficher une croissance économique de 6 %, sans augmentation d’impôts.

    La dette de la France atteint, désormais, 120 % du PIB, soit une augmentation, en 2020, de 20 points (500 milliards d’euros), alors que celle de l’Allemagne est passée seulement de 60 % à 70 % du PIB. Comme d’autres États, la France émet de la dette qui est, en fait, achetée par la BCE. Le bilan de la BCE a explosé, à 7.000 milliards d’euros, soit 69 % du PIB, contre seulement 35 % du PIB pour le bilan de la Fed aux États-Unis. Cette augmentation bilantielle correspond aux augmentations de la masse monétaire. Il paraît impossible de faire le pari que les taux d’intérêt resteront à des niveaux aussi bas pendant des années

    Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, vient de déclarer qu’il ne fallait pas s’attendre à ce que la BCE maintienne les bas taux d’intérêt pour toujours, avec une mise en garde : « Nous ne prendrons pas en considération les coûts du service de la dette souveraine », ce qui signifierait la banqueroute immédiate pour la France et l’Italie et la fin du « quoi qu’il en coûte » pour Emmanuel Macron. Il faudra donc bien rembourser les dettes. Aux États-Unis, les taux obligataires sont en hausse, à 1,06 %, ce qui correspond à des anticipations d’inflation plus élevées.

    Une autre source d’inflation sera l’augmentation de la très basse vitesse actuelle de circulation de la monnaie, après la fin de la crise sanitaire. On ne peut créer de la monnaie sans conséquence.

    La crise ne finira pas en 2021 ; un retour de l’inflation est possible. Il n’y a, en fait, personne capable de prévoir, malgré le vaccin, ce qui se passera très exactement dans les mois à venir.

     

    Source : synthesenationale