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  • La plus grande défaite militaire de l’Occident collectif vient peut-être d’avoir eu lieu sous nos yeux

    Publié par Guy de Laferrière le 10 novembre 2024

    lesmoutonsrebelles

    Depuis le début du mois d’octobre, après la frappe iranienne contre les sites israéliens, Israël, les États-Unis et leurs fidèles partenaires se préparaient à attaquer l’Iran.

    Selon le contre-amiral Habibollah Sayyari, commandant adjoint de l’armée iranienne pour la coordination, les quatre compères habituels, Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France (les quatre cavaliers de l’apocalypse ?) ont effectué des vols dans l’espace aérien irakien pendant 25 jours consécutifs, dans le cadre de préparatifs pour lancer une attaque contre la République islamique d’Iran.

    Les dernières frappes contre l’Iran n’étaient pas un simple raid «de représailles» limité comme le clament les autorités israéliennes et les médias aux ordres. Un engagement mobilisant plus de 100 avions, dont des F35, avec des ravitailleurs et des avions espions, ferait plutôt penser à une offensive aérienne de grande envergure destinée à détruire le système de défense de l’armée iranienne et à soumettre ensuite le pays à des bombardement intensifs par vagues successives comme savent si bien le faire les armées anglo-sionistes.

    Mais voilà, rien n’a fonctionné comme prévu. La défense anti-aérienne iranienne a fait des merveilles, fonctionnant comme une sorte de dôme de fer (vrai celui-là). Les bombardements massifs prévus, comme pour l’Irak ou la Serbie, n’auront pas lieu. La durée de l’opération, initialement prévue à 10 heures, va être écourtée et stoppée net au bout de 3 heures. Les moyens militaires de l’Occident combiné ont été purement et simplement neutralisés par un système de défense anti-aérien efficace. L’armée Anglo-Otano-Sioniste se révèle n’être qu’une armée de livreurs de bombes. Pour les neutraliser, il suffit de perturber leurs systèmes et moyens de livraison.

    Il ne restait plus aux autorités israéliennes qu’à trouver un narratif plausible pour camoufler ce fiasco, encore plus terrible que celui du 1er octobre, et espérer que l’Iran, qui n’a pas trop souffert, se contente de savourer sa victoire en silence et ne cherche pas à riposter, auquel cas Israël se trouverait dans un réel embarras.

    Source : reseauinternational

  • Les cloches de Notre-Dame : première sonnerie depuis l’incendie

    Publié par Guy de Laferrière le 10 novembre 2024

    lafautearousseau

    En exclu, @BVoltaire vous fait écouter les cloches de Notre-Dame, première sonnerie depuis l’incendie ! (Essai pour les 8 cloches de la tour nord, restaurées en 2023-24 et remontées en septembre. Elles sonneront de nouveau à la réouverture ) 
     
    (extrait vidéo 0'34)
     
     
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  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 10 novembre 2024

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  • Amateurisme

    Publié par Guy de Laferrière le 10 novembre 2024

    Amateurisme

    « Le Monde » a retrouvé plusieurs des prétendants Rassemblement national à la députation lancés sans préparation dans la campagne. Ils racontent leur recrutement, leur vécu et l’ingratitude des chefs du RN : encadrement fantôme, absence de formation minimale, improvisation, absence de militants de terrain, abandon des candidats, amateurisme. Le RN aurait beaucoup à apprendre de la campagne de terrain de Donald Trump…

    Désignant Jordan Bardella, l’un des ex-candidats RN déclare :

    « Je lui en veux beaucoup. J’ai rendu service, c’était pas facile, et quand ça se passe mal, il sort des mots comme “brebis galeuse” ? A La France insoumise, ils défendent leurs candidats. Dans une entreprise, on défend ses salariés. Je garde de l’affection pour Marine. Mais tout ça, ça m’a refroidi… »

    « Je n’avais pas d’équipe. J’étais au collage, au tractage, au marché, je faisais des kilomètres, j’étais épuisé, c’était impossible de se concentrer sur le débat. »

    Depuis sa défaite, il n’a reçu aucun appel du siège du RN, sauf un, pour lui reprocher d’avoir participé à un débat télévisé.

    « Ils m’ont dit que je n’aurais pas dû y aller. J’ai dit : “Un, M. Armand [devenu ministre de l’économie] m’a invité à débattre devant les caméras, et deux, c’est le second tour, alors j’y vais.” »

    L’ex-candidat rappelle que la formation prodiguée par le parti de Jordan Bardella s’était résumée à des généralités en visio :

    « Arriver à un niveau professionnel avec ça, c’était impossible… Et puis, quand Bardella change d’avis sur le marché de l’électricité, ça aurait été sympa de prévenir les candidats ! »

    Une autre témoigne :

    « Quand j’ai demandé : “Ça se passe comment, candidate ? C’est difficile ?”, on m’a répondu : “Non, tu vas voir, c’est tranquille.” Tu parles que c’est tranquille ! Ils m’ont envoyée à la morgue. Ça a été inhumain. »

    Depuis, elle n’a plus aucune nouvelle du RN : « Que dalle ! Enfin si, plein de mails et de messages » pour lui demander de se « bouger » pour clore ses comptes de campagne. «

    Une autre candidate doit faire campagne en solo. Pas une âme pour tracter, pas de militants pour l’accompagner lors de son unique déplacement.

    « J’ai révisé toute seule. Je zappais de CNews – j’adore Pascal Praud – à BFM-TV et à La Chaîne parlementaire, pour avoir la contradiction. J’ai lu tous les programmes de chaque candidat, les lois, la Constitution. J’ai vécu politique, j’ai mangé politique, j’ai dormi politique. Le débat aussi, je l’ai préparé dans mon coin. Ou plutôt je ne l’ai pas préparé. »

    Dans la panique, elle se perd sur le chemin de France 3 et arrive en retard.

    « On ne m’avait pas dit qu’on avait le droit aux documents, donc je suis arrivée sur le plateau avec rien dans les mains. On m’a jetée dans la fosse aux lions, et j’étais morte de trouille. » « On m’a jetée dans le grand bain, et j’ai tout appris en accéléré. Jusqu’à la fin. J’ai compris que la politique c’est du théâtre, des grosses comédies avec des acteurs. » « J’ai été la bonne poire et je n’ai rien reçu en retour. J’aurais bien aimé soit un texto, soit un mail de Jordan Bardella, “Je vous remercie…” Ça m’aurait fait plaisir de rencontrer Marine Le Pen, je l’écoute quand elle parle à la télé. Au final, elle sait même pas que j’existe. »

     

    Source : lesalonbeige