Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
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le Système continue de poubelliser la France, et donne une prime aux tueurs !
Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
Incroyable, mais vrai ! C'est dans Ouest-France : le Système continue de poubelliser la France, et donne une prime aux tueurs ! Mahmoud Abdi Mohamed, ancien pirate somalien impliqué dans la prise d’otages du voilier breton Tanit en 2009, a obtenu gain de cause devant la cour administrative d’appel de Nantes ce vendredi 14 février 2025. Condamné à neuf ans de prison pour sa participation à cette attaque qui avait coûté la vie au skipper Florent Lemaçon, il avait été libéré en 2015 pour bonne conduite. Installé en Bretagne, il s’est intégré via la communauté Emmaüs et travaille dans la restauration. Contestant une interdiction de retour sur le territoire français, il a bénéficié du soutien de la maire de Hédé, d’Emmaüs, et de Chloé Lemaçon, veuve de la victime. La préfecture d’Ille-et-Vilaine, qui le considérait comme une menace pour l’ordre public, a vu sa requête rejetée par la cour...
À part "ça", tout va bien !
Poubellisez, poubellisez encore, il en restera toujours quelque chose, comme dirait Voltaire...
Source : lafautearousseau
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Attentat en Autriche
Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
Attentat en Autriche : le Syrien rigolard qui vient de planter 4 personnes, la fliquette à gros cul complètement dépassée. Allégorie parfaite de l'Europe de l'ouest en 2025... -
Prison de Seysses (31) : le service de massages proposé aux détenus pour la Saint-Valentin met les surveillants en colère
Publié par Guy Jovelin le 16 février 2025
Selon La Dépêche, des détenus de la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse, ont bénéficié de massages et de cours de danse country à l’occasion de la Saint-Valentin. Ces activités, destinées à favoriser le bien-être des prisonniers, ont suscité l’indignation des surveillants pénitentiaires. Jérôme Combelle, secrétaire FO pénitentiaire Seysses, a déclaré : « Je trouve ça choquant qu’un violeur, qu’un kidnappeur puisse bénéficier de ça. Ils sont punis pour des faits graves, nous devons aussi penser aux victimes. » Les surveillants dénoncent également un manque de moyens et estiment que ces initiatives se font à leur détriment. David, membre du Syndicat Pénitentiaire des Surveillant(e)s, confie : « Quatre surveillants ont dû payer le repas, faute d’un budget nécessaire. » Il regrette que « les délinquants semblent passer avant la société ».